A Quoi Reconnait On La Vérité

enfants ne commencent-ils à dire « je » que lorsqu’ils deviennent capables d’intégrer l’expérience et le point de vue de l’autre? Si j'étais seul au monde y aurait-il un sens à agi, à me conduire bien ou mal dans la vie? Le terme autrui est d'un usage peu courant mais la réalité et les problèmes auxquels il renvoie sont toujours ancrés dans l'expérience commune. Pourtant, si le souci de placer la conscience de soi ou le « je » passant au cœur de la condition humaine a très tôt constitué un axe

Chapitre 1 : Le rapport des sociétés à leur passé. Introduction : Dans les sociétés actuelles existe un certain intérêt pour le passé, il se traduit pas le devoir de mémoire et également par le patrimoine (43000 monuments historiques protégés). Mémoire et patrimoine relèvent de la subjectivité (rapport affectif au passé) tandis que le travail de l'historien se veut objectif. Le patrimoine dépend de la valeur que lui attribuent les autorités politiques (valeur qui a pu varier selon les époques)

jugements téméraires, et toutes nos vérités, sans exception, sont des erreurs redressées. On comprend que le liseur ne regarde pas à une lettre, et que, par un fort préjugé, il croit toujours l'avoir lue, même quand il n'a pas pu la lire. Descartes disait bien que c'est notre amour de la vérité qui nous trompe principalement, par cette précipitation, par cet élan, par ce mépris des détails, qui est la grandeur même. Cette vue est elle-même généreuse ; elle va à pardonner l'erreur , et il est vrai

L'histoire est-elle une science ? • L'historien répond à une exigence de vérité, le problème étant qu'il raconte un passé auquel il n'a pas été présent. Toutefois cette exigence de vérité ne suffit pas à faire de l'histoire une science. Toute science a pour but de dégager des constantes ou lois  universelles et prédictives. Or, l'histoire est une discipline purement empirique : il n'y a pas de lois universelles de l'histoire comme il y a des lois en physique. • L'histoire peut seulement nous

C'est quoi ma vie ? Plein de gens croit savoir. Ils se trompent tous. Je meprise les donneurs de leçon. De ceux qui croit detenir la verite & finalement sont loin du compte. Moi je ne suis pas pretentieux. Mes textes par exemple ? J'en ai honte & franchement je me fais violence pour publier qqch sur ce blog. Mais j'ecris comme je le sens. Et sans faire de la poesie de supermarché, a 2 balles, comme certain. Pourtant mes tiroirs sont plein d'ecrit que personne, sauf quelqu'un, ne verra 1 jour

Quel rapport avec la science ? s’il y a des degrés de la connaissance, alors le plus haut degré est ce que nous appelons la science. Quelques considérations sur l’usage courant que nous faisons du terme de science. Il en ressort indistinction, ou confusion. La première indistinction concerne le sujet de la science : quel est-il ? Avant, le sujet de la science, c’était celui qui savait, donc le savant. Aujourd’hui, il semble que la science doive renvoyer à une communauté, que l’on doit appeler

Recherches logiques, c'est-à-dire La pensée, publié en 1918/1919. Il est question ici de l'analyse de la vérité d'abord au sein des propositions, des ambiguïtés liées au langage qui peuvent se trouver dans ces propositions et de la pensée en tant que sens des propositions. Ainsi l'auteur, de manière générale, se demande

" Je pris garde que, pendant que je voulais ainsi penser que tout était faux, il fallait nécessairement que moi qui le pensais fusse quelque chose; et remarquant que cette vérité : je pense, donc je suis, était si ferme et si assurée que toutes les plus extravagantes suppositions des sceptiques ne pouvaient l 'ébranler, je jugeai que je pouvais la recevoir sans scrupule pour le premier principe de la philosophie que je cherchais. Puis, examinant avec attention ce que j'étais, et

l’illusion ? Comme le souligne Pascal dans ses Pensées, « tous les hommes recherchent d’être heureux ; cela est sans exception ; quelques différents moyens qu’ils y emploient, ils tendent tous à ce but ». Cependant, comme le souligne Freud dans Malaise dans la culture, « il y a beaucoup moins de difficultés à faire l’expérience du malheur » que du bonheur, tant la souffrance nous menace de tous côtés, en provenance du corps, du monde extérieur ou des relations d’autrui. C’est pourquoi, selon lui, la

de recherche de la vérité, car il en existe bel et bien une qui est universelle pour tout le monde selon lui. Afin d’atteindre son but, il désire élimer l’ensemble des diversités d’opinions afin que tout soit vrai pour tout le monde. Par cela, il sera enfin possible d’acquérir des connaissances qui nous seront utile à la vie, car elles seront complètement vraies et qu’elles reposent sur des bases solides. Il fera de longues réflexions à ce sujet et ces dernières l’amèneront à découvrir qu’il existe