A T On Besoin De Certitude Pour Agir

« Délibérer est le fait de plusieurs. Agir est le fait d'un seul. » Tels étaient les mots du général de Gaulle issus de son œuvre «  Mémoires de guerre ». Pour lui la place dominante du président de la république dans la gouvernance de l’état était incontestable, naturelle. Et c’est selon cette conviction qu’il rédigera la constitution de 1958. Celle-ci régissant le régime républicain actuellement en vigueur en France : La Cinquième République. Le régime de la Cinquième République confère effectivement

souffle qui anime tous les systèmes judiciaires et toutes les réalisations des tribunaux. Fort heureusement, et contrairement à cert aines idées reçues, le leadership n’est pas un mystérieux acte de grâce. Le bon leadership est quelque chose qui s’observe et, dans une large mesure, qui s’apprend. Les débats d’expert sur la différence entre le leadership et la gestion ont mené à un consensus sur la différence bien réelle mais qui n'était nullement affaire d’appréciation entre le « mieux » et le «

DESCARTES Jusqu’à son installation en hollande René Descartes est né en Touraine le 31 mars 1596. Son père, conseiller au Parlement de Bretagne, s’est occupé de l’éducation de son plus jeune fils et a été frappé par la curiosité et la soif de savoir de celui qu’il appelait (déjà !) “ son philosophe ”… Vers sa dizième année, Descartes est envoyé au collège de jésuites de La Flèche qui vient d’être fondé par Henri IV et il suit pendant huit ans le cours des études : études solides, complètes, dirigées

participation aux rituels. Chez Durkheim aussi, on a une socio du sens, mais l’entrée méthodologique n’est pas la même. Les rituels sont plus faciles à observer et à atteindre que les croyances. On n’observe pas la croyance directement, contrairement au rituel. L’objectif de Weber n’est pas d’étudier la religion en tant que telle. Son sujet principal est l’explication de l’émergence du Kisme, des sociétés modernes. Il s’intéresse à la religion car il pense qu’elle a un rôle dans l’émergence de la modernité

prendre conscience uniquement dans la solitude ? N’avons-nous pas besoin du monde extérieur pour prendre conscience de ce que nous sommes vraiment ? La conscience se définit, au sens général, comme la perception chez l'homme de sa propre existence et du monde qui l'entoure. Elle est aussi définie comme la faculté de représentation, cependant, sans aucun critère extérieur, on peut se demander si l’objet représenté existe réellement à l’extérieur de notre esprit. On peut alors se baser sur les cinq

51015202530Introduction Paru en 1951, quelques années à peine après la fin de la seconde guerre mondiale, Mémoires d’Hadrien propose un étonnant récit rétrospectif : l’une des premières autobiographies fictives. Dans un style classique qui se démarque nettement de l’esthétique du Nouveau Roman alors en plein essor, Marguerite Yourcenar, née de Crayencour (son pseudo est en réalité une anagramme de son patronyme), donne à entendre la voix, éteinte depuis le IIe siècle, d’un

Sujet 1, Amérique du Nord, mai 2013, série L Le sujet › Dissertation : Percevoir est-ce savoir ? Le sujet Pas à pas ® Comprendre le sujet Le sens du sujet : Dans ce sujet, il s’agit de se demander si on peut poser une équivalence entre l’acte de percevoir et celui de savoir, deux actes propres à l’homme. L’acte de percevoir désigne la saisie intuitive d’une réalité par la conscience. On le distinguera du simple fait de sentir, plus immédiat. L’acte de savoir désigne la possession d’une

contrairement à avant (1976), ne soudent pas la société dans la désignation d’un émissaire mais la fragmentent, les individus renvoyés à leur solitude face à la société. 1. Qui a peur ? A) les visages de la peur1) Une peur concentrée Tout au long du XXème siècle, la peur est concentrée à des classes d’âges et régions spécifiques. Les populations de l’est, confrontées à la guerre

spéculation mystique allemande du Moyen-Âge personnalisée par Maître Eckhart et celle de l'époque moderne personnalisée par Jakob Boehme. Bien plus qu'une simple inspiration, ces penseurs sont le squelette qui sous-tend tout le système métaphysique qui a vu le jour sous l'idéalisme allemand. Ainsi, comme le soutenait Franz Pfeiffer, qui publia pour la première fois les écrits allemands de Maître Eckhart sous l’influence de Franz Xaver von Baader : « Les mystiques allemands sont les patriarches de la

ordres et des lois. De multiples philosophes se sont contredits quand à leur diverse définition de la liberté. Descartes conçoit la liberté comme pouvoir de choisir entre deux partis sans subir aucune contrainte extérieure ; mais la connaissance du bien l’aide à choisir. Ce concept a été nommé liberté d’indifférence. A l’inverse, Leibniz nie la liberté d’indifférence, et pour Spinoza, la notion de liberté n’est qu’une illusion, due à notre méconnaissance de ce qui nous détermine. Dans le langage courant