A T On Le Droit Se Faire Justice Soi Même

notion de droit face a la notion de justice. Le terme de justice recouvre deux sens : • la justice au sens d’institutions : recours devant les tribunaux • la justice en tant que valeur : ce qui relève d’un jugement de valeur, ce qui est juste et ce qui est injuste. Celui qui va devant la justice, cherche justice. Celui qui va en justice cherche a faire prévaloir une idée devant la justice. Traditionnellement, la justice est le fondement du droit. Saint augustin a développé une théorie

exprimons plutôt un sentiment d’injustice. Implicitement, il signifie que A méritait x et non pas y ou z. En comparons ce que j’ai reçu, avec ce qu’a reçu un autre, je me sens floué : ce n’est pas juste.: j’aurais dû recevoir autant que lui. C’est d’un point de vue moral que nous parlons, celui d’un devoir-être. C’est encore autre chose que de dire : « c’est juste » pour accorder son assentiment, quand une sanction tombe à partir de la loi sur un criminel. « C’est juste » veut dire alors, c’est ce

RECONNAISSANCE Introduction Je remercie vivement l’IHEJ de m’avoir confié la lourde tâche de conclure ce séminaire sur le thème « Justice et reconnaissance ». Dans un premier temps, j’ai accepté cette conclusion, je l’avoue, pour la raison principale de mon ignorance, parce que je ne me sentais pas experte pour proposer à ce sujet une contribution originale, et que j’attendais du séminaire qu’il nous fournisse les pistes d’une réflexion. C’est, je crois, mission accomplie, dans la mesure où les

parler de crise de la justice ? En quoi = affirmation, on ne nous demande pas ici de dire si oui ou non il y a une crise de la justice, c'est un présupposé sur lequel il faut s'appuyer. Il s'agit de faire un constat et de trouver les causes de cette crise de la justice. Comme toujours en dissertation il faut commencer par définir les mots du sujet pour bien le cerner et ne pas faire de hors sujet. Le mot justice tout d'abord. Comme vous l'avez vu en cours le mot "justice" recoupe trois acceptions

Chapitre 1 : Introduction à la philosophie du droit Examen : dissertation en deux heure, deux sujet (technique/transversal) démonstration et exemples. Paradigme entre le positivisme et le juste-naturalisme. La plupart de nos lois sont fondés sur soit l’un soit l’autre. Quel est la raison d’être du droit ? Ces deux paradigmes apportent des réponses très différentes. Le positivisme consiste à penser que le droit positivisme se suffit à lui-même. Il s’impose en tant que tel sans prétendre traduire

INTRODUCTION AU DROIT Qu'est ce que le droit ? Une issue plus pacifique aux conflits, et permet la vie sociale. Lien avec l'organisation sociale, la structure et la regle Etude de regles, les lois, il ny a pas de vie sociale sans les lois, Ubi societas, ubi jus " la ou il y a une societe l y a du droit" Le droit est une discipline vitale, nécéssaire à la vie sociale ( comme la medecine et la vie physique,= / la théologie et la vie spirituelle ... ) Parallelisme entre le droit et la medecine

 Si être libre, c'est céder à tous ses désirs sans se préoccuper d'autrui, la liberté s'oppose à l'idéal d'égalité et de respect que comporte la justice. De plus, on peut aussi noter que la sanction juridique atteint directement la liberté. Les « droits de l'homme » définissent la liberté comme le droit de faire tout ce qui ne nuit pas à autrui. Pourtant, si la justice limite apparemment la liberté, cette dernière n'est-elle pas condition d'existence même cette liberté ? Faut-il alors distinguer

enfin institution sans laquelle la coexistence humaine serait livrée à l’anomie et au chaos,la justice s’impose à nous tout à la fois comme : 1- une espérance, peut-être toujours déçue ; 2- une exigence, ravivée par un constat d’injustice dénoncée comme un scandale qui appelle jugement ; 3- une nécessité. Pourtant à la question, essentielle, philosophique par excellence, puisque ontologique, morale, éthique, sociale, juridique et politique : « qu’est-ce que la justice ? », nous ne pouvons répondre par une définition

L'éviction du juge créateur de droit, une conséquence du légicentrisme Système de Civil Law et légicentrisme La loi, "souveraine" du juge Encadrer le juge : un tissu normatif aux mailles serrées La Révolution et le juge : une production législative très contraignante Le Code Civil s'inscrit dans la continuité mais déjà s'ouvrent des brèches Résumé de l'exposé Si l'on en croit Montesquieu, "les juges de la nation ne sont que la bouche qui prononce les paroles de la loi" . A la veille de la Révolution

c’est-à-dire à la fois lois positives, lois intérieures, et valeurs ? Parlons noux bien de coutumes au sens d’éducation ou des mœurs, des manières, des habitudes sociales, des conduites valorisées ou des modèles ? Ces lois, ces coutumes suffisent-elles pour définir la justice ? Deuxièmement, n'est-ce pas contraire à l'idéal de justice que de n'obéir qu'aux lois et coutumes de son pays ? Enfin, est-ce suffisant d'y obéir extérieurement, ou bien faut-il les appliquer avec sagesse ? La justice est une