A T On Le Droit Se Faire Justice Soi Même

Cette justice ne consiste pas à « récompenser les bons et punir les méchants ». La notion fait intervenir l'idée d'une inégalité ou, plus exactement, d'une proportionnalité dans la « distribution » des biens, des récompenses ou des honneurs qui tient compte de la valeur de chacun. Particulièrement mise en évidence par Aristote, qui, reprenant l'analyse de la vertu de justice, à laquelle s'était attaché son maître Platon, la considère comme le respect de la loi et la poursuite de l'égalité ; la justice

Justice Distributive selon Rawls et Nozick Comme dit Aristote, La justice distributive est la première espèce de la justice particulière qui s'exerce dans la distribution des honneurs ou des richesses ou des autres avantages qui peuvent être répartis entre les membres d'une communauté politique. La justice distributive concerne ce que certains considèrent être socialement juste à l'égard de l’allocation des biens dans une société. Elle s’efforce de résoudre

obéir aux lois ? Introduction : Nous avons tous des droits et des devoirs . La morale nous dicte ce que nous devons faire , le droit définit ce que nous somme permis de faire . La justice est une des vertu principale de la vertu morale . Elle est à la fois une vertus et une institution . La justice désigne le respect de l’égalité entre les hommes, résultant d’un arbitrage équitable et d’un libre état . Mais pourtant , la morale et le droit ne s’emboîtent pas toujours harmonieusement en ce qui

Le droit peut-il faire abstraction de la morale ? ® Il s’agit donc de s’interroger sur la fonction du droit, sur domaine d’application. Le « peut-il » doit s’entendre en deux sens coextensifs l’un à l’autre : d’abord il s’agit de la possibilité de fait (est-il possible qu’un droit soit indépendant de toute morale ?), mais aussi, et plus profondément, sur la possibilité de droit : un droit qui ferait abstraction de la morale serait-il légitime, c’est-à-dire serait-il encore un droit ? ® Il faut

Docteur Droit Privé BIBLIOGRAPHIE * Cornu et foyer, Procédure civile, PUF 1958 347 MOT * Catala et Terré, Procédure civile et voies d’exécution, collection Thémis 1976 347 CAT * Jauffret par Normand, Procédure civile et voies d’exécution, LGDJ 1984 347 JAU * Héron, Droit judiciaire privé, tome I, Précis 1993 * Vincent et Serge Guinchard, Procédure civile, Précis Dalloz, Collection droit privé, 26ème édition, 2002 347 VIN * Loïc Cadiet, Droit judiciaire

PREMIERE PARTIE : LES PRINCIPES DE LA JUSTICE La Justice en France à deux visages, elle est à la fois une autorité mais c’est également un service public. CHAPITRE 1 : Les principes de la Justice en tant que troisième pouvoir (autorité) : Il y a 3 principes SECTION 1 : Le monopole de l’état : §1 : Le principe du monopole de l’état : Signifie que l’état est le seul à pouvoir rendre la justice ce qui permet d’éviter le cycle de la vengeance privée. Il faut donc que l’état soit suffisamment

SUJET : Le droit est-il le moyen libertaire ou liberticide d’une civilisation ? PROBLEMATIQUE : L’enjeu est de comprendre et d’analyser comment, de quelle manière et par quels moyens, le droit va influencer, changer les libertés des individus qui composent une civilisation. Le droit permet-il une liberté aux individus qui composent une civilisation ou au contraire diminue cette liberté ? Les notions principales sont : la société, la liberté, le droit subjectif/ objectif, l’Etat, le

Droit Processuel. Les partiels se déroulement dans cette matière de la façon suivante : 1 seul sujet, durée de deux heures, plan et pas de conclusion. L’année dernière, le sujet tombé a été le suivant : « Que signifie le principe du contradictoire ? ». Le plan apporté par le prof en guise de correction était le suivant : intro : présentation de la source du principe du contradictoire. I) Connaitre la preuve. II) Discuter la preuve. Introduction. Le droit processuel a été créé dans les années

RAISONNABLE UN PILIER D'UNE BONNE JUSTICE..................................................................................................................................12 CHAPITRE I : LA NECESSITE DU RESPECT DU DELAI RAISONNABLE..............13 SECTION I : LA VALEUR NORMATIVE DE L'EMERGENCE DU CONCEPT DE DELAI RAISONNABBLE.............................................................................14 Paragraphe 1 : La reconnaissance conventionnelle du droit au délai raisonnable du procès

comme l'aime à dire Pascal, une pensée " de derrière la tête " ( cf. 245 [310] et 311 [336] ). Les maîtres mots ne sont peut-être pas ceux que l'on croit ; les concepts qu'il faut en tirer ne sont pas nécessairement transparents aux mots. Si donc les rapports de la justice et de la force sont le sujet du texte, cela ne veut pas dire que le texte définisse l'une et l'autre et traite par là honnêtement son sujet. Les rapports de la justice et de la force servent ici l'établissement du droit, sa fondation