A Une Passante Plan

poème a forme fixe Strophe de 10 vers = dizains Vers de 10 syllabes = décasyllabes Un refrain Un envoi (dernier paragraphe) = moitié d’une strophe + apostrophe (l. 31) Ballare = danser  bal, ballerine. Qui parle ? Ce sont des pendus qui parlent, ils ont étés exécuter, dans la 1er strophe on voit qu’il parle de leur corps (l. 5,6). A la ligne 26, les pendus reparlent de leur corps, de leur cadavre accrochés au gibet. Il s’agit d’une mort infâmante, mort horrible, tous les passants se moquent

Chapitre 1 : module T2 Plan : 1.1 1.2 1.3 1.4 1.5 Introduction aux transmissions numériques Chaîne de transmission 1.1.1 Canal de transmission 1.1.2 Pourquoi la transmission de signaux numériques ? Rappels 1.2.1 Energie et puissance : valeur moyenne et efficace 1.2.2 Le décibel (dB) Spectre d’un signal 1.3.1 Signal périodique : Série de Fourier 1.3.2 Signal quelconque : Transformée de Fourier Caractéristiques d’un canal de transmission numérique 1.4.1 Présentation

d’indice n Un rayon lumineux se propageant dans un milieu isotrope d’indice n est complétement défini par les coordonnées du point I oti le rayon traverse le plan de front et par les paramétres fixant la direction de ce rayon dans le milieu d’indice n. Au rayon IR est associée la matrice colonne na Matrice de transfert Un rayon lumineux, passant de l’espace objet 4 l’espace image d’un systéme centré, rencontre en M et M’ deux plans de front Po et Po: coupant l’axe optique en Oet O’. y Les coordonnées

Chapitre 1 – G´om´trie affine euclidienne dans le plan – e e Exercices I. Ciril, F. De Lepine, F. Duffaud, C. Peschard Exercice 1 → − → → − − Soit C = ( i , j ) la base canonique de P . → − 1. Les syst`mes de vecteurs suivants sont-ils des bases de P ? Si non, en extraire une base e ou la compl´ter pour obtenir une base. e → − → − − → → − − − a) →1 = 2 i + 3 j , →2 = i − j . u u → − → → − − → − → − − b) →1 = 2 i + 3 j , v 2 = −4 i − 6 j . v → → − − − → − → − − → → − − − c) →1 = i + j , →2 = −2

lentilles minces. I) Définition. Une lentille mince est milieu transparent, homogène et isotrope (même caractéristique dans toute les directions) et limité par 2 surfaces appelé surface optique. Les surfaces optique principalement rencontré sont : le plan, la sphère, le tore et les surfaces conique. Et leur matières sont généralement organique ou minéral. Lentille sphérique. C'est une lentille dont l'une des surfaces peut être plane. Une surface sphérique est caractériser par le point C centre

1 Définition et exemples . . . . . . . . . . . . . . 3.6.2 Distance d’un point à un sous-espace affine . . . 3.6.3 Distance d’un point à une droite affine de E3 . . 3.6.4 Distance d’un point à un plan affine affine de E3 Symétrie orthogonale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Isométries affines . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3.8.1 Définition et propriètés de base . . . . . . . . . . 3.8.2 Isométrie du plan affine euclidien . . . . . . . . 3.8.3 Isométries de l’espace affine de dimension

créer 2 points sur le plan O et I Figure 1 cabri Etape 2 : préciser la droite (OI) étant donne que ce dernier précise un repère dans le plan et que la valeur absolue OI=1 Figure 2 cabris Etape 3 : poser un point X quelconque sur la droite (OI) Figure 3 cabri Etape 4 : vérifier par X ? La valeur OX/OI Figure 4 cabri Etape 5 : vérifier expérimentalement la valeur OX/OI Figure 5 cabri Parti 2 : l’opération réciproque avec [X :] : Etape 1’ : créer 2 points sur le plan O et I Figure 1’ cabri

Dix est un peintre expressionniste allemand. Il est né en 1891 et mort en 1969 En 1914 il s’engage dans l’artillerie et participe à des combats sur le front ouest et en Russie. C’est à ce moment qu’il dessine des croquis sur ce qu’il voit et sur ce qu’il ressent. Après la guerre qui l’a profondément marqué, il est reconnu comme un des plus grand artiste de son époque. Il a fait alors parti du courant artistique DADA, un mouvement intellectuel, littéraire et artistique qui se caractérise par une remise

Construction d’un rectangle Note : Cette activité, bien que simple, nécessite pour les élèves une prise en main préalable du logiciel géoplan. Elle a pour but principal d’expliquer à un élève qu’une figure particulière répond à des critères précis qui doivent être communiqués au logiciel. Ce programme de construction peut éventuellement être proposé à des élèves d’autres niveaux (quatrième ou troisième), en ne donnant pas les instructions de tracé. Il permettra alors de mettre en évidence la nécessité

1. Le diamètre apparent a de l'objet est l’angle sous lequel on observe l’objet à l'œil nu. 1.1.2. a D/2 D tan = = 2 d 2d a Comme a est petit et exprimé en radian, D d = 3,8´105 km alors tan a = a a D = 2 2d D = d.a D = 9,3´10–3 ´ 3,8 ´ 105 D = 3,5´103 km diamètre réel de la Lune. 1.2.1. L'objet AB est à l'infini ( O1 A = -¥ ), donc l'image A1B1 se forme dans le plan focal image de 1 1 1 l'objectif L1. En effet d'après la relation de conjugaison de Descartes: = , O1 A1 O1 A O1F1 ' soit O1 A1 = O1