Accords de Bâle

solvabilité pourtant imposés par les accords Bâle I puis Bâle II, ce qui a eu des conséquences dramatiques sur la stabilité du système économique et financier international. Aussi, les banques ont alors été considérées comme les responsables directs de la crise financière qui a démarré en 2007. C’est pourquoi, les autorités de contrôle prudentiel se sont attachées à renforcer et à durcir les exigences en matière de fonds propres des banques (accords de bâle III) et ce, afin de limiter voire éliminer

cohérentes avec le risque réel. La notation permet également le développement de la méthode RAROC (Risk Adjust Return On Capital) qui calcule le rendement ex-ante d’une opération de crédit en incluant notamment le coût des fonds propres. La réforme Bâle II a exigé que les systèmes de notation soient agréés par la Commission Bancaire en France. 1-3: Le risque de marché : Ce sont des risques issus d’une évolution défavorable du prix d’un actif négocié sur un marché. On distingue 3 catégories de

N° du Sujet : 10CE20 Page : 1/7 ► QUESTION 1 (9 points) a) 3 points b) 3 points c) 3 points I a) TRAVAIL À EFFECTUER Définissez le risque opérationnel dans la banque. Pour quelles raisons ce risque s’estil accru depuis Bâle I ? Définition du risque opérationnel : Un risque opérationnel dans la banque correspond aux risques de pertes résultant de carences ou de défauts attribuables à des procédures, personnes et systèmes internes ou à des évènements extérieurs. Le risque

promouvoir et dont le propre marché se révèle paradoxalement peu apte à fonctionner efficacement du fait de son extrême concentration. Mais dans cet article, nous nous concentrerons sur le contrôle interne et sur le lien étroit, entériné par les accords de Bâle 2, qui s’est noué entre contrôle interne et réglementation. Les failles du contrôle interne portent indéniablement leur part de responsabilité dans la crise actuelle. Pour autant, plutôt que de remettre en question l’articulation entre contrôle

Légal : Législation par rapport à la Loi de Modernisation de l’Economie (réduire les délais de paiement à 45 jours). Faciliter l’accès au crédit des entreprises en étant transparents sur les conditions de financements des PME (Loi Brunel). Les Accords de Bâle (Bâle I, II et III) demandant en priorité aux banques de renforcer leurs capitaux propres. Critique PESTEL : Ce modèle PESTEL est ambigu par le fait qu’il ne s’applique pas seulement à Banque Populaire Val de France mais aussi à ses autres

nécessité de mettre en place des plans de continuité d’activité. → Annonce du plan I. Le PCA, élément essentiel de la Gestion du risque opérationnel : La méthode d’évaluation, dite ratio Mc Donough, du nom de l’ancien président du comité de Bâle, est entré en vigueur début 2008. Elle intègre, élément nouveau, le risque opérationnel, qui désigne les risques imputables au facteur humain, aux systèmes et procédures, aux causes extérieures. → Le PCA est issu du CRBF 97-02, complété par un règlement

leurs capitaux propres, situation extrêmement dangereuse lorsque les paris spéculatifs tournent mal. Des mécanismes de régulation sont historiquement mis en place pour limiter l'utilisation de cet effet de levier. Dans le cas des banques, les accords de Bâle I et II permettent de le lier au montant des fonds propres en fixant un ratio d'endettement, d'abord fixe, puis variable en fonction de la qualité du crédit. ! 3) Développement de l'effet de levier à travers l'innovation financière ! - Les

l’environnement autour du crédit. Plusieurs facteurs touchant au secteur bancaire peuvent influencer ce risque. Dans le nouvel environnement financier, la maîtrise de ces risques devient un enjeu important : il s’agit du thème central des nouveaux accords de Bâle II. Les instances réglementaires internationales ont compris la nécessité de renforcer les procédures de gestion et de contrôle car la négligence ou la non maîtrise de ces risques peut mettre en péril la banque. De ce fait, les banques et les

d’une  transaction financière ou immobilière ;  7. les  personnes  exploitant  ou  gérant  des  casinos  ou  des  établissements  de  jeux  de hasard.    Lutte contre le blanchiment de capitaux Le  Maroc  est  l’un  des  pays  signataires  des  accords  de  Bâle  I  et  II  visant  à  la  mise  en  place  d’un  système  financier  international  homogène  et sécurisé.    A  l’instar  de  la  communauté  européenne,  qui  par  la  directive  du  parlement  européen  et  du  conseil  du  26  octobre  2005 

des banques internationales. Une banque est, en effet, plus crédible si une partie de son actif circulant est financé par du capital, plutôt que par des créances courts terme. (Gourieroux et Tiomo, 2007) C’est dans ce contexte que le Comité de Bâle sur le Contrôle Bancaire s’est réuni dans le but d’établir un dispositif prudentiel efficace qui permettrait de réguler les risques bancaires pouvant entrainer les faillites et les crises systémiques. Cette étude nous permettra d’étudier en profondeur