Accords de Bâle

des risques sauf lorsque la loi introduit un système de règlement des risques tel que Bale 2 pour les banques et « SEVESO » pour les sites chimiques et industrielles… 1- intelligence eco et entreprise Louis Hauser Edition SEFI 2005 Page 49 Pourquoi la gestion des risques : La gestion des risques par la réglementation de bale 2 1: Bale 2 est un accord dédié à la réglementation bancaire ; cet accord a intégré un nouveau système de réforme des banques pour mieux gérer les risques bancaires

d'habitants Français 20,4% dont 22% d'étrangers Italien 6,5% 41285 km² Romanche 0,5% Monnaie : Le franc suisse CHF Villes importantes : Capitale : Berne 123 466  habitants Zurich 368 677 habitants Genève 187500 habitants[2] Bâle 169 692 habitants[3] Lausanne 126720 habitants Climat : Le climat Suisse est tempéré. De décembre à mars la température descend sous 0 °C durant les jours les plus froids et en été elle atteint les 25-30°C. Le réchauffement climatique entraîne

SOMMAIRE Introduction : 1ère partie : L'ANALYSE DU RISQUE DE CREDIT CHAPITRE 1 : LES CREDITS ACCORDES PAR LA BANQUE SECTION 1 : Définition du crédit SECTION 2: Les différents types de crédits bancaires CHAPITRE 2 : LE RISQUE DE CREDIT : SECTION 1 : Définition du risque de crédit : SECTION 2 : Typologie des risques de crédit : CHAPITRE 3 : L'EVALUATION DU RISQUE DE CREDIT : SECTION 1 : L'EVALUATION SELON L'EMPRUNTEUR : 2émé Partie : LA GESTION DU RISQUE

au regard de Bâle III et qu’elles seront soumises d’ici l’été à de nouveaux stress tests, peuvent-elles espérer tourner en 2011 la page de la crise ? LE CONTEXTE LES REPERES Crise après crise, une confiance à reconquérir 2 Les euro députés haussent le ton face au lobby bancaire 10 Le point de vue de Martin Hirsch et de Jean-Pierre Jouyet 10-11 Livret A – Des députés prennent la défense de la CDC 12 Dix dates clés de la crise financière en France Les normes prudentielles Bâle III, mode d’emploi

économiques mondiaux s’accordent sur le nécessaire renforcement de la règlementation et du contrôle des banques et des acteurs financiers en général. Cette exigence a notamment été exprimée par le FMI, le G20 et le Comité de Bâle. Ce dernier l’a concrétisé par les accords Bâle III sur la règlementation bancaire en prônant une amélioration qualitative et quantitative des fonds propres des banques. Ainsi, est mise en lumière la nécessité de mettre en place des outils macro-prudentiels. II/ Toutefois

Que serait une mondialisation régulée ? •Régulation (définie par des règles + coopération) n’est pas une nouveauté de la crise: 2002 : loi Sarbanes-Oxley USA, 2003 : loi de régulation financière (LRF) France, Bâle I et II entrent en vigueur en 2008. •Particularité de cette crise : elle fait ressurgir les pb de régulation (sommets du G20 de Londres en avril 2009 et de Pittsburgh septembre 2009). •La crise est en partie due au démantèlement de certaines fonctions/parapets qu’assumait autrefois

1968. Ces derniers ont donné naissance au Crédit Scoring appelé aussi : la méthode des scores. Le besoin d’un meilleur contrôle du risque de crédit par les banques a accéléré les recherches concernant le Crédit Scoring en anticipation du nouvel accord de Bâle portant sur l’allocation des fonds propres aux risques. L’accord a mis l’accent sur l’importance de la gestion du risque et encourage les institutions de crédits à développer leurs propres outils d’appréciation des risques notamment le risque

« urbain » Trois principaux concurrents : la Caisse d’épargne, le CIC et Groupama PARTIE I : LA CONFORMITE A) PRESENTATION DE LA CONFORMITE La conformité tire sa source de la réglementation bancaire et financière : les travaux de Bâle II repris par le règlement 97-02 du comité de la Réglementation bancaire et financier, applicable aux établissement de crédit et aux entreprises d’investissements; les directives européenne, dont la directive MIF (Marchés des Instrument Financier)

création monétaire encore plus facile. La création monétaire des banques commerciales est donc liée à leur activité de crédit. La banque ne se contente pas de prêter à un agent les sommes qu'elle a collectées auprès d'autres agents. Lorsqu'une banque accorde un crédit à un de ses clients (entreprise ou ménage), elle augmente à la fois son actif (la dette que le client a à son égard) et son passif (le montant du crédit est viré sur le compte du client).On dit alors que ce sont les crédits qui font les

Par ailleurs, on reconnaît la difficulté de fixer deux objectifs distincts à un seul instrument, ce qui risquerait d'entraîner à certains moments des conflits entre eux. L'idée qui s'impose aujourd'hui consiste (dans le projet de norme bancaire, dit Bâle III) en la création d'un nouvel outil à visée macro-prudentielle, pour amortir, de par son effet contra-cyclique, les fluctuations du crédit et ses conséquences inflationnistes sur les prix des actifs b - Les institutions "d'importance systémique"