Accords de Bâle

d’ajuster les performances par rapport au risque qui permet une rémunération plus objective. Une performance ne sera réellement meilleure que si en termes de risque elle a conservé des niveaux comparables. L’adéquation au capital : Depuis les accords de Bâle, certaines banques choisissent la VaR pour calculer leur adéquation au capital. De ce fait, la VaR donne une base rationnelle pour déterminer le capital qu’il faut mettre en réserve pour absorber les pertes non anticipées. Choix de placement

Unterwald, Zoug, Glaris et Fribourg, Soleure 9. Le Pacte de Bâle de 1501 entre Zurich, Berne, Lucerne, Uri, Schwyz, Unterwald, Zoug, Glaris, Fribourg, Soleure et Bâle 10. Le Pacte de Schaffhouse de 1501 entre Zurich, Berne, Lucerne, Uri, Schwyz, Unterwald, Zoug, Glaris, Fribourg, Soleure, Bâle et Schaffhouse 11. Le Pacte d'Appenzell de 1513 entre Zurich, Berne, Lucerne, Uri, Schwyz, Unterwald, Zoug, Glaris, Fribourg, Soleure, Bâle, Schaffhouse et Appenzell b) Les chartes communes, défensionaux

indiqué le numéro de dossier, le numéro de compte du client, son identifiant, l'objet de la demande et la partie réservée aux approbations Ø Une deuxième page où figure une identification détaillée du client ainsi que les anciennes lignes de crédits accordés et les lignes objet de la demande Ø Une page de garantie Ø La répartition du capital Ø Une synthèse du diagnostic financier relevant les points forts et les points faibles de la situation financière du client Ø Le bilan avec mention du fond de roulement

.. 1 Première partie : Notions théoriques relatives à la cartographie des risques Chapitre I : Le cadre réglementaire des risques opérationnels .............................................................. 5 Section 1: Structure de l’accord de Bâle II .................................................................................................................... 6 Section 2: Définition des risques opérationnels ............................................................................

de financement pour les agents économiques 2. L’exemple des fonds de prêts à l’économie Conclusion……………………………………………………………………….19 Références bibliographiques……………………………………………………20 2 Introduction Avec la future mise en œuvre de la réforme bancaire Bâle III, les banques se verront contraintes de respecter de nouvelles exigences telles que des ratios de solvabilité et une part de capitaux propres minimale au passif toujours plus grande à chaque nouvelle réforme du système bancaire. De ce fait, les

35 3. Autres recommandations concernant la régulation 38 Conclusion Introduction C es dernières années, les crédits aux ménages ont été multipliés profitant des taux d'intérêts qui étaient plutôt bas. Une partie de ces crédits ont été accordés à des ménages peu solvables, quand les taux d'intérêts ont augmenté, des milliers de familles n'ont pu faire face aux échéances. Ceci à provoquer des pertes considérables et à mener des sociétés de financement à la faillite aux Etats Unis. Une crise

C’est un interlocuteur privilégié pour les chefs d’entreprises. B. Description du métier, de ses opportunités / contraintes, Au Crédit Agricole, le Chargé d’Affaires Entreprises bénéficie d’une très grande autonomie, bien qu’avec la réglementation Bâle III cela à tendance à diminuer. Sa liberté s’exprime dans ses prises de décision pour l’accord de financement (par rapport aux autres banques), des taux à appliquer, des contreparties demandées etc… Le fait que les prises de décisions soient prises

objectifs macroéconomiques des banques centrales sont-ils compatibles avec le rôle de PDR ?   Préférence des investisseurs pour des actifs plus liquides va-t-elle faire disparaître la titrisation ? La réglementation actuelle fondée sur les accords de Bâle 2 est-elle efficace ?  Marie Musard-Gies Séminaire Master 2 MBFI, Université de Nice Sophia Antipolis 5 Plan de la présentation 1. Les banques centrales : mission traditionnelle objectifs, instruments et efficacité de la politique

règles de sécurité et surveillance:  1- Conditions d’exercice 2- Mesures de prévention et de sécurité IV- Les préoccupations actuelles du système bancaire marocain : 1- activité bancaire en chiffres : 2- état d’avancement des bale I et bale II : 3- l’adoption des IFRS par les banques Maroc : 4- les produits alternatifs financiers au Maroc : Introduction : La modernisation du cadre juridique de l’activité bancaire au Maroc est aujourd’hui au coeur de l’actualité financière

au risque de change, mais si elle tient des opérations ouvertes ou si ses prévisions comportent des décalages, elle sera aussi exposés à un risque supplémentaire de liquidité et de taux d’intérêt. Les risques opérationnels sont, selon le comité de Bâle (2001), « les risques de pertes directes ou indirectes résultant d’une inadéquation ou d’une défaillance attribuable à des procédures, des agents, des systèmes internes ou à des évènements extérieurs ». Ils renvoient donc à des inefficiences de l’organisation