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temps à exercer son métier). Emma semble être tombée amoureuse, mais Flaubert ne nous le dit pas encore. Cette scène comporte effectivement plein de clichés qu’on peut trouver ironiques : - Emma qui est une fille de paysan n’a ni le comportement et ni l’apparence d’une paysanne (ses ongles sont « brillants » et propres) - Charles dit « ce qu’elle avait de beau, c’étaient les yeux » ce qui sous-entend qu’elle n’a rien d’autres de beau. - Charles dit « son cou sortait d’un col blanc » Cette

renversement de rôles maître-valet, mari-femme… comique de caractère : crédulité, hypocrisie, gloutonnerie… Ils comportent très souvent une satire sociale, qui concerne de façon récurrente les mêmes catégories sociales : les moines, les vilains (paysans), les femmes. Histoire[modifier | modifier le code] Un spécialiste, Joseph Bédier, estime à près de 150 ces récits écrits entre 1159 et 1340, en majorité dans les provinces du nord—Picardie, Artois et Flandre. Une partie de leurs sujets appartient

construction + bois de chauffage La vie du paysan est rythmée par les saisons. Elles déterminent les activités des champs. C'est donc le travail de la terre, principale source de revenu qui fixe le calendrier. b. Le travail de la terre Avant le XI ème siècle les méthodes de cultures sont rudimentaires. On retourne la terre avec une houe ou encore un araire. La plupart des outils sont encore en boix et on pratique l'assolement triennal. Le paysan dispose de pue de fumier pour enrichir ses terres

elle va remédier à ce phénomène en instaurant un code déontologique « Je ne prendrai pas le boeuf, la vache, le porc, le mouton, l'agneau, la chèvre, l'âne, le fagot qu'il porte, la jument et son poulain non dressés. Je ne saisirai pas le paysan ni la paysanne, les sergents ou les marchands; je ne leur prendrai pas leurs deniers, je ne les contraindrai pas à la rançon; je ne les ruinerai pas, en leur prenant leur avoir sous le prétexte de la guerre de leur seigneur, et je ne les fouetterai pas pour

Maupassant insiste sur les conditions sociales, sur le quotidien d’un paysan et les difficultés qu’il rencontre. Cette démarche s’inscrit dans le projet de description réaliste de milieux sociaux ignorés par la littérature romantique. Le thème de la vie paysanne sera repris par d’autres romanciers réalistes ou naturalistes avec notamment le roman de Zola, La terre.       I-                   La réalité du monde paysan 1-     Une description concrète -         1ere phrase très précise, avec

les terres du Maine sont assez peu fertiles alors que celles de Normandie sont bien meilleures. De plus, la notion de vie est très différente de celle d'aujourd'hui, sous l'Ancien Régime vivre n'avait pas le même sens pour tout le monde. Pour un paysan vivre signifiait survivre et faire survivre sa famille alors que pour des personnes plus aisées cela signifiait vivre décemment et profitez des joies mondaines et d'un vie heureuse sans travail et pression. Ainsi nous pouvons alors nous questionnez

de travail pour être « rééduqués » ce sont des goulags. Cette répression a particulièrement touché les paysans (koulaks) en effet le régime soviétique ont mener une dékoulakisation qui a fait des milliers de morts. Staline appuie son pouvoir sur les plus défavorisés, on voit cela dans l'emblème choisi par l'URSS : Le marteau:représente les ouvriers La faucille:représente les paysans Au parti communiste, l'URSS connaît une longue période de répression de 1937-1938 : La Grande

les groupes qui les compose et les relation entre eux. 1. Analyse des documents a)23,1 espace:combrai-arras(france) temps:1024 theme:3groupe decrit par leur activite Les gens qui prient, combattent, paysans il sont conplaimentaires inegaux prient, combattent, paysans b) 23,3 bourgeois, marchands, tenue qui s'arrete au genou, fleume et muraille 2, comparer les documents – question a) Dans les documents 23,3, les bourgeois et les martchands ont la même

lieux, des personnages et de leur mode de vie ; il reproduit des formes de langages caractéristiques de divers milieux sociaux ; patois paysans, style administratif … c) Le mode rural dans les arts. Dans la 2nde moitié du XIXème siècle, les artistes s’intéressent au monde rural ds son ensemble et non seulement au paysage en tant que décor. La vie des paysans, les travaux des champs, les villages et leurs fermes qui deviennent des sujets à part entière pr la littérature. La Haute-Normandie

Âge, période allant du Vè au Xè siècle, ne sont pas très exhaustives et proviennent essentiellement de l’archéologie. Elle est le lieu de vie principal de la population. A l'époque, le bois et la terre étaient les éléments les plus utilisés, les paysans représentaient 90 % de la population et dans ce cadre de vie, la vassalité était le cadre général sous lequel s’insèrait le monde rural. Ceci marque une rupture avec l'Antiquité car les populations étaient majoritairement regroupées dans les cités