Accès Aux Soins Pour Les Plus Démunis

de santé Introduction: Aujourd'hui,environ 1 français sur 5 renonce aux soins d'après le CREDES (Centre de Recherche, d’Études et de Documentation en Économie de la Santé ),cela peut s'expliquer à l'aide de plusieurs déterminants .Un déterminant est un facteur qui influence positivement ou négativement l'état de santé ou la qualité de vie d'un individu ou d'une population. Le renoncement aux soins est le faites de ne plus consulter un médecin ou des spécialiste de santé,arrêter et consommer des

programmes annuels d’actes contre la pauvreté et la précarité. Création de 115 + prémice du FSL. 1985 : création des Restos du Cœur par Coluche. C’est une association loi 1901 qui a pour but d’aider et d’apporter une assistance bénévole aux personnes démunies notamment dans le domaine alimentaire. 1987 : Le rapport du père Joseph WRESINSKI, fondateur de l’association ATD QUART MONDE a posé les premiers jalons de lutte contre les exclusions. Forte mobilisation associative + rapport crées des conditions

territoire ». La question de la répartition de l’offre de la santé au niveau national est clairement posée depuis la Loi de réforme hospitalière de 1970. Et dans cette organisation de la Santé, « l’hôpital est un des piliers de notre système de soins. Par conséquent, il joue un rôle important vis-à-vis des autres structures du système de Santé (secteur libéral ou de ville, structures médico-sociales, centres de santé, etc) ». Nous allons donc voir dans un 1er temps quel place à l’hôpital dans

TPG Pudeur et intimitéPUDEUR: Le texte traite de la définition de la pudeur en contexte des soins de la santé, plus précisément dans la relation entre soignant et soigné. La notion de pudeur évolue au fil du temps, mais même aujourd’hui, la perception de la pudeur reste subjective et floue, souvent influencée par les impacts des médias. La pudeur est liée à la découverte de l’intime et elle n’est pas innée: les enfants apprennent progressivement en cours de développement à différencier ce qui doit

Politique de Lutte contre les Exclusions 1998 : loi cadre Au Moyen-âge, les indigents ont été pris en charge par l’Eglise (prise en charge des plus démunis : repas, gîte parfois). A partir du 17ème, création d’une annexe à l’Hôpital Général de Paris pour les + défavorisés (personnes qui ont souvent des troubles psychiques). 19ème création d’établissements d’assistance publique dans les grandes villes. Parallèlement l’Eglise continue d’accueillir : congrégations religieuses à caractère

L’accès aux soins Difficultés liées à l’accès aux soins : Manque de connaissance du système. Manque de médecins, … milieu rural. Le coût des soins Le coût des médicaments La peur du système de santé Problèmes administratifs I) L’accès aux soins pour les plus démunis En France, il existe un très bon système de santé. Une EDV plus longue. Mais il existe de très fortes disparités entre les catégories sociales. 9 ans d’écart entre un cadre et un ouvrier. Une aggravation de l’exclusion

/Pauvreté/ exclusion/ inclusion sociale »L’origine de la politique sociale et enjeux actuels-17° siècle : plus souple, l’Etat oblige les hôpitaux à s’occuper des indigents -18° siècle : moins de moyen, plus répressif, le pauvre est un fainéant…. Mais c’est toujours l’Eglise qui s’occupe à travers la charité et l’aumône des pauvres -19° siècle - début 20° siècle : avènement des lois sociales, pour plus d’efficacité dans la lutte contre la pauvreté et moins arbitraire -1945 : mise en place du système de

dans les pays riches Sujet choisi : l’accès aux soins des plus pauvres en France 1 Tables des matières : o Introduction p.3 o I/ Le phénomène de pauvreté en France p.4 A) Définition de la pauvreté B) Qui est pauvre en France ? Evolution de la pauvreté en France o II/ L’accès aux soins des pauvres en France p.8 A) La réalité actuelle quant à la santé des personnes à faible niveau de vie B) Les dispositifs destinés à améliorer cet accès o Conclusion o Bibliographie et sitographie o Annexes

couverture de ces risques par la mise en place d'une protection sociale (plus ou moins prononcée selon le pays). On parle dans ce cas de redistribution horizontale, c'est-à-dire que la redistribution consiste à effectuer des prélèvements auprès des personnes qui travaillent (par le biais des cotisations sociales) pour les transférer vers les ménages touchés par le risque social, autrement dit en général des personnes qui n'ont plus de travail (chômeurs, malades/accidentés/invalides, retraités).

contre la pauvreté et aider les plus démunis :le Revenu Minimum d’Insertion (RMI) créé en 1988, l’Allocation de Parent Isolé (API) en 1976, qui se sont assemblés pour donner naissance au Revenu de Solidarité Active (RSA) en 2009. La Couverture Maladie Universelle (CMU) a également vu le jour afin de donner un accès aux soins aux plus pauvres. Cependant, ces aides n’ont pas été efficaces pour atteindre les objectifs initiaux de lutte contre le chômage, l’exclusion ou plus généralement contre la pauvreté