Actant

« je » qui pense, raisonne ou encore analyse. C’est le « je » qui a le recul nécessaire, après les événements passés pour analyser une situation qui pouvait lui échapper sur le moment présent car elle n’avait pas la distance suffisante. - le « je » actant : à l’opposé du « je » narrateur, c’est celui qu’elle emploie lorsqu’elle revit le moment présent. Ce moment est impliqué dans l’action. C’est par exemple le cas du « je » qui agit, pense mais uniquement dans le moment du fait qui est en train de

personnages secondaires. En effet, l'importance d'un personnage ne se mesure pas à ses fréquences d'apparition, mais à sa fonction dans le texte � c'est-à-dire à la mission qui lui revient dans la construction du récit. C'est ici que. la notion d'« actant », empruntée à l'analyse structurale du récit, peut être d'un grand secours. Roman : Récit en prose d'aventures imaginaires qui se distingue : a) de la nouvelle, par sa durée prolongée dans le temps ou par le fait que, même dans un récit assez

d’un homme se cultive. Il n’est pas toujours un don. I-2- La structure Il existe plusieurs schémas narratifs. Nous appliquerons celui de GREIMAS : le schéma actantiel. Il met en relief l’ensemble des rôles ou positions des différents actants repartis en trois types de réactions ou axes. L’axe du savoir met en scène le destinateur et le sujet. Le premier apprend au second l’existence de l’objet de la quête. Ici le roi porte a la connaissance du jeune homme le mariage de sa fille. Ainsi

essentielle du réel : la particularité. Si sa durée et son rythme sont à la mesure de la chose représentée plus intense, le récit doit cependant être manié par l’auteur de façon à s’organiser littérairement, demandant que l’action soit unie, les actants restreints, et l’explicit abrupt. Tout le génie de l’auteur sera donc, dans ce tuyau qui rapetisse et où l’eau prend de la vitesse, de manier ces éléments et de concentrer la cohérence de l’histoire. « Une vendetta » fut écrite par Maupassant et

avoué pendant la garde-à-vue et signé le PV (on peut se demander dans quel état). Sa mère a signé le PV reconnaissant qu’elle a pris connaissance des déclarations de son fils et de sa libération (sans présence d’un majeur, sous ordre du procureur) et actant qu’elle a refusé de signer la convocation car elle pense que son fils n’a rien fait. Il est convoqué le 30 novembre devant le tribunal pour enfant. Verdicts du 24 septembre 2010 : 3 condamnations à de laprison ferme sur les 6 arrestations : 2 ont

……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………… 36. Les personnages Consigne : Précisez les liens qui unissent les personnages ou actants suivants   Exemple : Roubaud Mari et femme Séverine 1 Jacques - - - - - - - - - - - Séverine 2 Jacques - - - - - - - - - - - Pecqueux 3 Jacques - - - - - - - - - - - Lison 4 Jacques - - - - - - - - - - - Philomène 5 Pecqueux - - - - - - - - - - -

l1 « Les halles » l3 « Quai de la grève » « pont Louis Philippe » l7 « Quai de Bourbon » l13 …etc. Champ lexical très fourni et précis. Dans cet incipit, on retrouve Paris et la rencontre avec Christine. Paris devient presque un personnage et un actant. Cadre temporel tout aussi précis : « La nuit de juillet » « 2h du matin » A cette heure, pas de lumière, la seule lumière vient de l’éclair. On a également le chp lex de l’obscurité. Malgré l’absence de lumière, on retrouve un aspect très

présente un aspect différent d sujet, en confrontant les arguments qui s’opposent à l’intérieur de cette partie. I Le personnage n’est pas une personne mais un être fictif II Il illustre souvent un trait de caractère de manière hyperbolique III Il est actant 3- LE PLAN DIALECTIQUE : il convient pour tous les sujets qui invitent à peser le pour et le contre, à examiner puis nuancer un point de vue Exemple : Peut-on apprécier une pièce de théâtre par la seule lecture du texte ou est-il nécessaire

(v.2 à 5) * Dona Sol est entière, passionnée, courageuse (21). On apprend qu’Hernani est un banni (v.28), qu’il est connu comme brigand et comme pâtre. Son identité est donc complexe : il n’est pas ce qu’il a l’air d’être. Les actants de la pièce sont tous présentés : Hernani et Dona Sol bien sûr, mais aussi Don Carlos, le roi qui sort de l’armoire et dont l’identité reste encore inconnue, et l’oncle de Dona Silva présenté par Hernani. On voit aussi qu’Hernani

plus classiques car elle prend en compte dans son analyse les humains mais également le non humain (objets) et les discours. Dans cette socio le non humain est considéré au même titre et à position équivalente dans le réseau comme des acteurs et des actants. Ce qui fait le social est la formation de collectifs et des médiations des relations. Ces relations s'établissent par une opération de traduction par laquelle les acteurs se posent en porte parole et traduisent la volonté des collectifs tentant également