Acte de foi

Après que la maçonnerie m’ait donné comme outils les vertus cardinales au grade de compagnonne, j’ai comme mission en tant que Chevalier Rose+Croix de propager sur « la terre toutes les vertus qui naissent de la Foi, de la Charité et de l’Espérance ». Il était inéluctable de trouver sur mon chemin initiatique ce septénaire qui s’oppose aux sept péchés capitaux. Compagnonne, je devais voyager, parcourir le monde et les vertus cardinales ont constitué la clef du monde réel qui m’environnait. Aujourd’hui

couple marié reste la référence. Le mariage permet de définir un cadre juridique extrêmement précis. Le code civil ne définit pas le mariage, même s'il en réglemente les effets, détermenie les conditions et précise les caractères. Le mariage est un acte juridique solennel par lequel un homme et une femme d'un commun accord décident de s'unir et d'adhérer à un statut légal préétabli, celui de gens marié. Dans la conception classique le mariage est un contrat, une approche contractuelle, basé sur

sur le contrat. Aujourd’hui s’est développé un certain formalisme dans les contrats pour protéger la ou les parties les plus faibles. B) Autre principe fondateur, la bonne foi dans les contrats. Le code civil dispose à l’article 1134 alinéas 3 : « les conventions doivent être exécutés de bonne foi ». La bonne foi se détermine en ayant un comportement loyal vis-à-vis de ses partenaires mais aussi en ne faisant pas contracter ses partenaires contre son gré. II- La négociation. A) Les

« obligation » se définit comme un lien de droit entre deux personnes en vertu duquel l’une d’elles, le créancier, peut exiger de l’autre, le débiteur, une prestation ou une abstention. L’obligation peut avoir pour origine un acte juridique ou un fait juridique. Le contrat, acte juridique bilatéral ou multilatéral est donc une source d’obligations ainsi que tous les faits dommageables qui engagent la responsabilité de leurs auteurs. Le contrat joue un rôle essentiel dans la vie des affaires. Des contrats

droit civil en fait une notion importante. Il s'agit d'un acte de volonté accompli en vue de produire des effets de droit. L'acte juridique s'oppose donc au fait juridique qui est un événement quelconque auquel la loi attache des effets de droit sans se préoccuper de la volonté des intéressés. Dans l'acte juridique la volonté est essentielle, dans le fait juridique elle est secondaire. L'acte juridique unilatéral qui crée une société est un acte de volonté en vue de produire des effets de droit. La

suffit pas. Pour faire un contrat il est indispensable que les volontés se rencontrent. Ex : il faut que la volonté de vendre rencontre la volonté d'acheter. L'acte par lequel une personne seule manifeste sa volonté s'appelle un acte unilatéral ( =/= contrat) /!/ Un acte unilatéral est différent d'un contrat unilatéral. Les actes unilatéraux ont des effets de droit, volonté de faire quelque chose de juridique. Seulement, ne créent pas nécessairement des obligations. Si on accepte l'engagement unilatéral

mais seulement dans le cas où l’homme veut de cette liberté et est prêt à en assumer les inconvénients, à savoir sa pleine et entière responsabilité. Cela est très lourd pour beaucoup !… Mais l’homme est aussi responsable de tous les hommes. Chaque acte qu’il pose doit être réfléchi dans le sens où il devrait se poser la question de savoir ce qui se passerait si tous les hommes agissaient comme lui. L’acte de chacun défini les autres et ne pas faire de choix est impossible puisque ce comportement

conditions tenant à la prescription acquisitives soient remplis donc application de l'article 2261. D’autre part il faut faire application des articles 2272, 2273 et 2274 du code civil qui renvoient au délai de prescription, au juste titre et la bonne foi du possesseur. Enfin il s'agit aussi de savoir si le propriétaire peut intenter une action possessoire pour empêcher une construction inopportune? L'article 2279 qui s'applique ici puisque qu'il met avant les actions possessoires qui peuvent être

qu’il n’hésite pas à utiliser et à s’en vanter. Dans la scène 1 de l’acte III il exprime son mépris et critique la médecine qu’il considère comme superflue puis affirme qu’il croit en « deux et deux sont quatre et en quatre et quatre sont huit ». Sans foi ni loi, Dom Juan attaque la religion lors de la scène 2 de l’acte III, lorsqu’il promet de donner un louis d’or à un pauvre s’il jure. Malgré les avertissements de ses proches notamment Sganarelle, son valet ou Dom Louis, son père, à de nombreuses reprises

qui est la bonne foi. La bonne foi est l'article 1134 alinéa 3 du CC « les contrats doivent être exécutés de bonne foi ». Cette bonne foi, moralise le contrat. Le juge en a fait un instrument extraordinaire dans la mesure où il s'en est emparé pour rééquilibrer des contrats qui avaient été déséquilibré envers une des parties. Cela oblige les parties à être loyale l'une envers l'autre. (risque de dol, manœuvre dolosive, possibilité d'avoir une sanction sous la raison de la bonne foi, le juge utilise