Acte I Scène 10 Les Fausses Confidences

linéaire n°6 : la scène du portrait (10, II) L’œuvre Les Fausses confidences écrite par MARIVAUX et publiée à Paris en 1737 est une comédie en trois actes et écrite en prose. L'intrigue de cette pièce repose principalement sur le personnage de Dubois et sur le stratagème principal qu'il met en place ayant pour but de marier son ancien maître Dorante à Araminte, une jeune femme fortunée. Après un premier acte centré sur une manipulation d’ordre rhétorique, le 2e acte se construit autour d’accessoires

lecture des livres suivant : page 3 à 20 - A) Gargantua page 3 à 5 - B) Micromégas page 6 à 8 - C) La princesse de Clèves page 8 à 10 - D) Manon Lescaut page 10 à 12 -E) Les fausses confidences page 12 à 14 -F) Ruy Blas page 14 à 16 -G) Les fleurs du mal page 16 à 19 -H) Le parti pris des choses page 19 à

Les personnages des Fausses confidences de Marivaux. - Les personnages principaux : Dubois est l'ancien valet de Dorante. C'est un manipulateur astucieux et plein d'assurance, qui est prêt à tout pour arriver à ses fins, il se montre dynamique, fin psychologue, et sans scrupule. Mais tout ceci peut être excusé par le fait qu'il est un adjuvant pour Dorante car il met en place toutes sortes de stratagèmes pour que ce dernier épouse Araminte. Il est assez attachant notamment dans les relation

RESUME –LES FAUSSES CONFIDENCES, MARIVAUX (1737) ACTE I Acte I, scène 1 Arlequin fait entrer Dorante dans les appartements de Marton. Celle-ci est partie chez Araminte. Il lui propose de lui tenir compagnie, Dorante refuse. Acte I, scène 2 Dubois rejoint Dorante discrètement. Le valet a fait en sorte que M. Rémy, présente Araminte à Dorante. Celui-ci, infortuné, se fait aider de Dubois, pour épouser la riche Araminte, qu’il aime. Personne ne sait que Dubois et Dorante se connaissent. Dubois conseille

de l’honnête homme, Molière devient célèbre pour ses comédies de caractères ou il traite de diverses obsessions à travers ses personnages principaux. L’avarice, le libertinage amoureux, l’idée de sincérité, nombreuses sont les obsessions mises en scène par Molière. Par la satire et les portraits de protagonistes obsessifs, Molière ne cherche plus seulement à plaire mais aussi à instruire: ainsi il reprend le flambeau des classiques qu’on appelle le “Placere Docere”. Observons à cet

Dom Juan, Acte I scène 3, Molière Intro : Molière célèbre dramaturge du XVIIème siècle, prend plaisir a ridiculiser la société de son temps a travers plusieurs pièces (marquis, médecins, dévots). Il publia Don Juan en 1664, grâce auquel il peindra le portrait d’un personnage impie, méprisant, et séducteur. Nous étudierons l’acte I scène 3 de cette pièce dans lequel, après avoir séduit Done Elvire au couvant, Don Juan essaie de se libérer de ses chaines beaucoup trop envahissante a son gout.

sera étudié à travers les trois oeuvres. La scène finale est étudiée comparativement dans les trois oeuvres. Schéma chronologique de l'étude: Acte I Scènes 1, 2, 3 et début 4 (Film) Acte I Scène 4: Tirade du nez (Texte) Acte I Scène 4: Duel (Théâtre) Acte II Scène 6 (Film) Acte II Scène 8 (Texte) Acte II Scènes 9 et 10 (Film) Acte III Scène 5 (Théâtre) Acte III Scènes 4 à 10 (Théâtre) Acte III Scène 13 (Texte) Acte IV Scène 8, 9 et 10 (Film) Acte V Scène 5 et 6 étudiées dans les 3 oeuvres. Schéma

étudié à travers les trois oeuvres. La scène finale est étudiée comparativement dans les trois oeuvres. Schéma chronologique de l'étude: Acte I Scènes 1, 2, 3 et début 4 (Film) Acte I Scène 4: Tirade du nez (Texte) Acte I Scène 4: Duel (Théâtre) Acte II Scène 6 (Film) Acte II Scène 8 (Texte) Acte II Scènes 9 et 10 (Film) Acte III Scène 5 (Théâtre) Acte III Scènes 4 à 10 (Théâtre) Acte III Scène 13 (Texte) Acte IV Scène 8, 9 et 10 (Film) Acte V Scène 5 et 6 étudiées dans les 3 oeuvres

tradition et nouveauté Une comédie du siècle des Lumières Un éloge du théâtre : le jeu au service de la sincérité 11 18 23 ■ Chronologie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 27 7 Le Jeu de l’amour et du hasard Acte premier Acte II Acte III 39 61 86 ■ Dossier . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 107 Avez-vous bien lu ? Microlectures Le discours amoureux : les obstacles à la sincérité 108 110 115 Théâtre et travestissement

la mesure où ce que je dis a un sens, je suis pour moi-même quand je parle, un autre « autre », et, dans la mesure où je comprends, je ne sais plus qui parle et qui écoute. » Merleau-Ponty, Signes, « Sur la phénoménologie du langage » (1951) Plan i. Seul un sujet qui se connaît comme sujet peut comprendre lorsqu’il parle et écoute ii. Le sens de la parole du sujet pour être comprise ne peut être sa propriété : il doit être partagé iii. La parole pour être comprise dépossède le sujet de lui-même