Acteur

dialogue bien sûr mais aussi l’éclairage, la musique, le décor, le maquillage, les costumes. Ils créent une atmosphère, une illusion qui entraînent le public « hors du monde », hors de son quotidien. Pour Diderot, dans Le Paradoxe sur le comédien, le bon acteur est celui qui garde la tête froide et n’est jamais réellement ému car le vrai au théâtre n’est que convention. Le langage aussi est irréel : au XVIIe siècle, les faux dévots ne s’exprimaient pas en vers et jamais, un jardinier ne prendrait la parole

l'espoir de pouvoir, un jour, avoir une vie meilleure. Cependant, et on le montre dans le film, nombreux sont ceux qui se font arrêtés et ensuite expulsés dans d'horribles conditions. De plus les personnages du film sont interprétés pas des acteurs non professionnels, c'est-à-dire peu ou pas connus du tout, par des personnes ayant déjà vécu la situation décrite dans le film ou des personnes fortes proches du caractère du personnage qu’elles doivent interpréter. Ceci donne au film une dimension

d’observations qu’un artiste ait pu laisser sur son art. Ainsi, dès que ses obligations matérielles sont terminées, le comédien retourne à ses interrogations sur l’art du comédien, interrogations perpétuelles de Jouvet. Ses observations que Louis Jouvet, acteur et metteur en scène, pose sur son art se traduise tout au long du recueil, et sont réparties en plusieurs grands points : une introduction sur le théâtre et sur le but de l’œuvre, puis différentes parties ; la vocation, le comportement de l’acteur

pour les auteurs dramatiques : c'est que les personnages ont été incarnés de telle manière par les trois acteurs, et aussi par Chauffard, le valet d'enfer, qui l'a toujours jouée depuis, que je ne puis plus me représenter mes propres imaginations autrement que sous les traits de Michel Vitold, Gaby Sylvia, de Tania Balachova et de Chauffard. Depuis, la pièce a été rejouée par d'autres acteurs, et je tiens en particulier à dire que j'ai vu Christiane Lenier, quand elle l'a jouée, et que j'ai admiré

faite le sous sol qui veut nous montrer la douloureuse mémoire de tout ses enfants mort lors de la guerre. Ce sont en quelque sorte leurs âmes. Cet aspect là est très important pour comprendre toute l’histoire. Le deuxième aspect est le jeu des acteurs. Au début on peut comprendre que les parents ont perdu leur fils, qu’il est décédé et qu’ont ne retrouve pas son corps. Au fil de l’histoire ont sort de cette campagne et on se dirige vers la ville de Paris. Là on voit sur la scène des prostituées

opérations et l’information financières (réglementation et contrôle de l’ensemble des opérations financières portant sur des sociétés cotées et particulièrement de l’information complète et de qualité délivrée de manière équitable à l’ensemble des acteurs) - les produits d’épargne collective (autorisation de création de SICAV et de FCP, vérification de l’information figurant dans le prospectus simplifié de chaque produit qui doit être remis au client avant d’investir) - les marchés et leurs infrastructures

- « DANS LA MAISON » CRITIQUE DU FILM- I/INTRODUCTION: « Dans la maison » est un film français ,de genre dramatique produit par François Ozon en 2011.Ce film est sorti le 10 octobre 2012 en salles. Les acteurs principaux de ce film sont Fabrice Luchini dans le rôle de Germain, Ernst Umhauer (Claude), Kristi Scott Thomas (Jeanne), Emmanuelle Seigner (Esther), Denis Menochet (Rapha père), et enfin Bastien Ughetto jouant le rôle de (Rapha fils). II/ RESUME DE L'HISTOIRE: Un garçon de 16

rare pour les auteurs dramatiques, c’est que les personnages ont été incarnés de telle manière par les trois acteurs, et aussi par Chauffard, le valet d’enfer, qui l’a toujours joué depuis, que je ne puis plus me représenter mes propres imaginations autrement que sous les traits de Vitold, Gaby Sylvia, de Tania Balachova et de Chauffard. Depuis, la pièce a été rejouée par d’autres acteurs, et je tiens en particulier à dire que j’ai vu Christiane Lenier quand elle l’a jouée et que j’ai admiré quelle

1 - En quoi Gérard Elbaz a-t-il fait avec nous un travail de dramaturge ? a)_Quel est l'interêt pour un acteur/spectateur de regarder un livre d'art (cf dernière page) ? b)_Relisons la Lettre à un jeune Poète, la Lettre au Père, et le texte sur Ellis Island: en quoi ces supports peuvent-ils nourrir un acteur/spectateur ? 2 - Parmi tous les supports proposés, quel est celui, avant le spectacle, qui nous a marqués nourri et pourquoi ? Quel est celui qui a libérés certaines attentes par rapport

Réflexion : Le théâtre est un art de représentation. Des acteurs jouent une pièce devant un publique. Il s'agit de retranscrire la réalité: c'est l'illusion théâtrale. Du comique au tragique, les genres théâtraux sont nombreux et variés, à travers le jeu de rôle des acteurs, leurs paroles sont dites à double impacte, destinataire. En effet, nous pouvons trouver un (des) destinataire(s) directe(s) avec avec un (des) autre(s) acteur(s) mais aussi un destinataire indirecte : le publique. Nous