Actif sous-jacent

• Comme les diapositives suivantes nous le démontreront, il est difficile de séparer ces 2 approches, car elles sont en fait intégrées. Essayer de séparer ces deux Survol • Le cours est consacré à l’investissement des ressources dans les actifs financiers • L’investissement est défini comme le sacrifice que l’on fait maintenant en vue d’obtenir un rendement plus tard – C’est la consommation courante qui est sacrifiée • On peut définir deux formes d’investissement – Investissement Réel

financiers qui portent sur des actifs (actions, indices, matières premières, devises…). Ils n’évoluent donc pas par eux-mêmes, mais en fonction de ces actifs, appelés sous jacents ou supports, dont ils dérivent. Un produit dérivé financier peut se définir de façon très générale comme un contrat financier négociable portant droit sur un autre actif. En d’autre termes, c’est « un contrat dont la valeur dépend (ou dérive) de celle d’un actif ou d’un indice sous-jacent ». Un produit dérivé est un instrument

engagement à acheter ou à vendre un actif à une date future donnée – différent de Forward • Futures sont standardisées et négociées sur des marchés organisés • Forward sont des accords bilatéraux entre 2 institutions – 4 caractéristiques: Prix, Période de livraison, Taille du contrat et Type de sous-jacent • L'Actif sous-jacent peut être: ← Matière première: qualité variable avec des ajustements de prix ← Actif financier: Actions, Obligation, Devises

des marchés financiers. Chapitre I : le principe des produits dérivés 1. Section 1 : Présentation et définition 2. Les produits dérivés sont des instruments financiers dont la valeur varie en fonction du prix ou du niveau d’un actif appelé le sous-jacent. Le sous-jacent peut être de différentes natures. Il peut s’agir d’une option, un indice, une monnaie, un taux de change. Les produis dérivé ne se limite qu’à l’imagination des ingénieurs financiers.

évaluée par rapport à son coût. Apparait alors la notion du coût du capital, un élément important pour le choix d’investissement (comparé au TRI, égale aux taux d’actualisation des cash flow pour le calcul de la VAN) mais aussi pour l’évaluation des actifs financiers, on peut même dire qu’il est à la base de la démarche d’évaluation. Le coût du capital ou encore le coût moyen pondéré du capital est le coût de financement global de l’entreprise (financement permanent et les dettes à moyen et long terme)

de leasing 3 Section 1 : Définition du Leasing : 3 Section 2 : Cadre juridique du Leasing en Tunisie : 4 III- Les aspects comptables de l'activité de Leasing 5 Section 1 : Le respect des hypothèses sous jacentes et les conventions comptables de base 5 Paragraphe 1 : Les hypothèses sous jacentes : 5 1- La continuité d'exploitation 5 2-la comptabilité des engagements 5 Paragraphe 2 : Les conventions comptables de base 6 1-Convention de réalisation du revenu 6 2-Convention de rattachement des

recours aux notations1 La présente étude passe en revue les principales caractéristiques des instruments structurés. Pour bien comprendre les risques qui y sont associés, il est fondamental de modéliser le risque de crédit du panier d’actifs sous-jacents, mais aussi d’estimer les risques liés aux clauses contractuelles. Bien qu’utile, la notation présente des limites intrinsèques lorsqu’il s’agit d’apprécier pleinement le risque, même si la complexité de ces instruments incite à se fier davantage

s'appuyait le pays, obtenir des financements auprès des institutions financières était une tâche très délicate. L'histoire de la banque marocaine a commencé avec la loi d'Algésiras signée en 1906, qui a créé la première banque d'État marocaine à Tanger sous la forme d'une société anonyme en 1907, avec son capital réparti entre les signataires. En plus des affaires à caractère commercial, la Banque nationale du Maroc bénéficie également du privilège d'émettre la monnaie fiduciaire dans tout le Royaume

activités bancaires de type occidental s’organisent surtout autour des prêts bancaires rémunérés par des intérêts.  Cette pratique, dénommée Riba, est interdite sous la charia, qui ne se limite pas à une condamnation de l’usure et des intérêts sur le capital. Elle pose aussi certains principes positifs quant aux investissements et à la gestion des actifs financiers. Elle ne perçoit pas la monnaie comme étant elle-même génératrice de profits par le seul fait de sa masse. La charia favorise le partage des risques

l’expression de notre reconnaissance. Nos remerciements vont également à tous ceux qui, de près ou de loin ont contribué à la réalisation de cette œuvre. Liste des Tableaux Tableau 1 : Variation des paramètres de l’option en fonction du cours du sous jacent Tableau 2 : Couverture du risque par les options Tableau 3 : Analogie entre les paramètres des options Tableau 4 : Domaines d’application des options réelles Tableau 5 : Différents modèles d’évaluation des options Tableau 6 : Profil