Actionnaire

magasins existants et ouvrir de nouvelles succursales. 1.1.3 Type d’entreprise et gouvernance Au niveau juridique Avantages : la responsabilité des associés et des actionnaires à l’égard des dettes sociales est limitée au montant de leurs apports dans le capital. Les actions sont facilement négociables et cessibles, les actionnaires peuvent entrer ou quitter aisément la société sans payer de droits d’enregistrement. Inconvénients : il faut un nombre important d’associés et un gros capital de

principalement administratif. Cependant, l’état peut être un client de l’entreprise. L’état peut également être actionnaire, minoritaire auquel cas il est acteur éco passif, majoritaire si il est éco actif. Les actionnaires. Ils font partis en dehors et à l’intérieur de l’entreprise. Parfois, les objectifs stratégiques des entreprises sont en conflit avec ceux des actionnaires. Les principaux actionnaires recherchent la maximisation de leurs profits, c’est-à-dire la réalisation des dividendes alors que

relation d’agence comme  « un contrat par lequel une ou plusieurs personnes (principal) engage une autre personne (agent) pour exécuter à son nom une tâche quelconque qui implique une délégation d’un certain pouvoir de décision à l’agent ». Ex: Un actionnaire confit la gestion de l’entreprise à un manager, un employeur confie un travail à un salarié, un épargnant confie la gestion de son patrimoine à un conseiller financier… 2- Caracteristiques De cette définition on dégage les caractéristiques de

distinguer : 1) ceux qui apportent les moyens de financement - au sein des entreprises : Les propriétaires sont soit des actionnaires (détenteurs d’une ou plusieurs « actions » de sociétés de capitaux), soit des associés (détenteurs d’une ou plusieurs « parts sociales » de sociétés -EURL, SARL-). - au sein des organisations publiques : L’État (par le biais des contribuables) et les actionnaires (dans le cadre des entreprises publiques) - au sein des organisations à but non lucratif (associations, mutuelles

distinguer : 1) ceux qui apportent les moyens de financement - au sein des entreprises : Les propriétaires sont soit des actionnaires (détenteurs d’une ou plusieurs « actions » de sociétés de capitaux), soit des associés (détenteurs d’une ou plusieurs « parts sociales » de sociétés -EURL, SARL-). - au sein des organisations publiques : L’État (par le biais des contribuables) et les actionnaires (dans le cadre des entreprises publiques) - au sein des organisations à but non lucratif (associations, mutuelles

La seule chose véritablement prise en considération c’est leur apport en numéraire. Les grandes sociétés anonymes sont cotées en bourse et à ce titre contrôlées par l’AMF (autorité des marchés financiers) qui intervient dans l’information des actionnaires (« les petits porteurs » = personnes achetant 4 / 5 actions par ci par là) et qui intervient dans la vie boursière en contrôlant notamment les opérations effectuées par les initiés (« personnes qui jouissent d’informations particulières sur les

parties prenantes » comprenant à la fois l'équipe de direction, les actionnaires, les salariés, les clients, l'Etat à ses différents niveaux, les syndicats, et plus largement la société civile ou être gérée seulement dans l'intérêt des actionnaires. Milton Friedman, chef de file de l'école libérale monétariste croyait clore le débat en affirmant que l'entreprise n'a qu'une responsabilité, celle d'assurer le profit de ses actionnaires (1970). Ceux qui défendent le point de vue des « parties prenantes

les actionnaires dans le cas des SA) et la gestion des activités (exercée par le manager). Mais cette dissociation peut poser quelques problèmes car actionnaires et managers n’ont pas forcément les mêmes objectifs et intérêts. Certains actionnaires comme l’individu lambda qui confit son agent à la banque qui elle achète des actions avec, n’ont aucune influence sur la prise de décision. La théorie de l’agence étudie : Comment les conflits d’intérêt entre membres de l’entreprise (actionnaires et managers)

deux entreprises avec leurs actionnaires au travers de leur politique de dividendes. Enfin, il conviendra de d’oberserver certains indicateurs de rentabilité et d’analyser leur structure de financement afin de voir pour qui ces entreprises créent le plus de valeur. Rappelons tout d’abord ce que l’on entend par entreprise managériale et partenariale. Tout d’abord, une entreprise dite à fonctionnement « managériale » est une entreprise où les propriétaires (actionnaires) confient la direction à un

de rachat ouverte à tous les actionnaires, si la société est cotée, offre publique de rachat (OPRA) par la société de ses propres actions •  Approbation nécessaire de l’assemblée des actionnaires •  Publication d’une note d’information visée par l’AMF •  Durée maxi du programme: 18 mois •  Possibilité d’annuler les actions acquises, de les conserver ou de les revendre •  Conséquences comptables •  Autorisation nécessaire de l’AGE pour proposer aux actionnaires le rachat de tout ou partie des