Adam Smith Et Physiocrates

équilibrer à chaque instant tous les marchés, car l'équilibre fait intervenir les prix mais aussi les quantités. Ainsi pour KEYNES, tous les marchés peuvent équilibrer sauf celui du travail. 126- Harmonies/ Contradictions. Pour les classiques comme SMITH, les conflits existent mais ils conduisent à l'harmonie. Grâce à sa métaphore de la main invisible, il nous montre que chaque individu en poursuivant égoïstement son propre intérêt contribue à l'intérêt général et il fait mieux que s'il se donnait

était encastrée dans le religieux/social… Le mercantilisme désigne un courant de pensées qui préconise une certaine organisation du commerce extérieur. On n’a pas confiance dans le commerce (un gagnant/un perdant et on essaye d’être le gagnant). Adam SMITH* (cf). Puissance des états/enrichissement des marchands/Commerce international. Il n’accorde aucune valeur au mercantilisme =/= KEYNES*. 1. L’époque mercantiliste Cette période se caractérise par des progrès décisifs

suppression des droits de douane sont des économistes français du XVIII siècle, notamment les physiocrates, par exemple François Quesnay. La physiocratie considère la terre comme unique source de la richesse, et suppose un « ordre naturel ». Adam Smith reprend l'analyse des physiocrates sur les avantages du libre-échange, monde. David Ricardo apporte quelques années plus tard, un complément à l'analyse de Smith et estime ainsi que chaque pays doit se concentrer dans la production ou son coût de production

soulignent l'évolution du monde industriel. On s'intéresse à la question de l'innovation. Logique de structuration industriel prise en compte. On va essayer de comprendre pourquoi on traite les choses d'une manière et pas d'une autre. TEXTES : Adam SMITH « Recherches sur la nature et les causes de la richesses des nations » (1776) : les classiques des sciences sociales LIVRE I (chapitre 1 à 4) et LIVRE II (chapitre 1). Traite de la division du travail bon moyen d'appréhender l'industrie. Alfred

organisé que celui de la physiocratie mais avec plus de diversité de point de vue. Pour eux, toutes les activités économiques créent de la richesse, notamment l’industrie. Comme les physiocrates, ils sont d’accord avec la non-intervention de l’Etat dans l’économie. On compte parmi ce courant des grands auteurs comme Adam Smith (1723-1790), David Ricardo (1772-1823), Thomas Robert Malthus ou encore Jean-Baptiste Say. Courant dominant jusqu’en 1870 environ, il sera à l’origine de deux courants, deux branches

économiques. l'économie expérimentale qui au contraire étudie les motivations économiques « en laboratoire », auprès de petits groupe et rejoint ainsi l'économie comportementale. L'approche historique. L'économie fait depuis longtemps (depuis les physiocrates) un large usage de modèles mathématiques. Cette utilisation des modèles est, pour les économistes, rendue nécessaire par le grand nombre de données qu'ils ont à traiter, et par la volonté d'en tirer des lois générales. Les économistes pensent ainsi

les passions menacent de dégénérer en « guerre de tous contre tous », il faut donc réguler les passions, les contenir, les divertir... La problématique de la régulation des passions est donc fondamentale pour la philosophie politique libérale. A. Smith traitera aussi de cette question. Pour Hobbes il y a deux moyens pour réguler les passions. Le pouvoir, incarné par le Léviathan, de façon métaphorique, et par l'État (qui a le monopole de la violence) de façon concrète. Le marché, qui permet selon

attendre, dans quelques anciens actes du parlement d’Écosse, qui défendent, sous de fortes peines, de transporter l’or et l’argent hors du royaume. La même politique a aussi été mise en place en France et en Angleterre » — Richesse des nations, Adam Smith, livre IV, chapitre I Le rôle croissant des États-nations : durant cette période, d'importantes quantités d'or et d'argent affluent des colonies espagnoles du Nouveau Monde vers l'Europe. À l'origine, pour les auteurs bullionistes, tels que Jean

s’agit de réfléchir sur la discipline : qu’y a-t-il de spécial dans l’économie pour étudier son histoire ? - C’est une discipline jeune : c’est un domaine encore immature. On s’intéresse souvent en économie aux auteurs du passé (Marx, Keynes, Smith,...), notamment car il s’agit d’une science jeune. L’économie telle que nous la connaissons existe depuis la seconde moitié du 18e siècle. Cette idée qu’une discipline s’intéresse à son histoire quand elle est jeune et ne s’y intéresse plus lorsqu’elle

contribue aussi à son époque au développement de cette science. Nous arrivons ensuite à la première théorie à ambition scientifique: la pensée physiocrate. François Quesnay (1694-1774) représente l'économie comme un corps humain où circule-le sang, les échanges, entre les organes qui sont les différents agents économiques. Les Physiocrates représentent l'économie en trois classes, les producteurs, les propriétaires et les artisans échangeant entre eux. Comme le dit Léon Walras, même