Adjectif possessif

: La phrase interrogative est une question rhétorique adressée à la France. Le registre et la tonalité pathétique sont mises en évidence par l’apostrophe « Ô cruelle ». Le « Ô » invocateur est un appel à l’aide. * V12 : « Tes » est un pronom possessif permettant au poète de renouer le « dialogue » avec la France peu présent dans le tercet précédent. Les autres français ne manquent de rien et sont dans une position confortable contrairement à lui et on peut en déduire qu’il s’agit d’une forme de

lettre la « Loi de la nature». Le présent de vérité générale dès la première phrase donne un tour impersonnel à ce constat. Apparemment, rien de grave. b) Les procédés de dé-dramatisation L’apostrophe affectueuse « mon Ange » avec le déterminant possessif, suffit à montrer qu’on est sur le ton de la légèreté qui confère à la lettre un fausse douceur, un ton enjoué et faussement tendre. Le mot « aventure » a pour finalité de ramener l’histoire entre Valmont et Mme de Tourvel à une histoire légère

Mais conduisez-nous donc là-bas !... » ». Il utilise ses différents procédés pour accentuer sa prise de défense mais aussi pour l’illustrer le Drame romantique d’ailleurs l’auteur ramène le lecteur a sa thèse en l’impliquant il utilise le pronom possessif « nos » mais aussi la 1er personne du pluriel « nous » « nos tragédie (L6) » « nous ne dirons (L14) ». Musset lui utilise les procédés pour critiquer mais

révolte contre cet ordre moral. Ainsi, quand il accuse sa sœur, Adrien ne s’exprime pas en son nom propre. Il emploie fort peu la première personne du singulier (2 occurrences l. 34), mais le pronom indéfini « on » (2 occurrences l. 9), l’adjectif possessif « notre » (l. 10 et 12) et, très significativement, par trois fois le pronom « nous » (l. 13 et 14). Adrien ne s’exprime que comme un porte-parole de la « société (l. 8), plus précisément des « gens honorables », des « bonnes manières » (l. 6). Son

lecture : sorte d’usure chez le poète. Il est blasé de l’expérience sensuelle et du monde des livres dont il semble avoir fait le tour. b) Le refus des liens Il veut se couper d’une situation familiale : Au vers 8, Mallarmé emploie l’adjectif possessif de la 3ème personne pour parler de son propre enfant et l’article défini « la » pour qualifier sa propre femme. On retrouve également l'idée de lassitude. Sur le plan syntaxique :  - triple occurrence de la négation « ni » - pronom indéfini « rien

de cette voiture est fait est très solide. Un complément d’adjectif introduit par « de ». P1: Il a remporté un grand triomphe. P2: Il est fier de ce triomphe.  Il a remporté un grand triomphe dont il est fier. Un déterminent possessif: P1: J’ai vu l’homme. P2: Ses paroles ont fasciné les foules. . Ses paroles ont fasciné les foules: ses= dont+ les  J’ai vu l’homme dont les paroles ont fasciné les foules. Où: Cet adverbe, ne peut être employé qu’après un antécédent

lyrisme, présent dans « Fantaisie », émane d’un air que le poète chérit. Le lyrisme est caractérisé, dans un premier temps, par l’expression du Moi. Ainsi, les pronoms personnels « je » (v1, v5, v7 et v16), « moi » (v4) et « me » (v16), et l’adjectif possessif « mon » (v6), montrent bien que le poète parle de ses sentiments. Le rythme ternaire « très vieux, languissant et funèbre » (v3) montre l’impression du poète par rapport à l’ode. De plus, les mots « charmes » (v4) et « âme » (v6) font partie du champ

passif. Il voit sont pays s'éloigner , celui de ses ancêtres et de ses morts, tandis que l'enfant dort : contraste entre les anciens ( les morts) et le nouveau né (nouveau). Cela lui crée son identité . On construit la figure de l'exile, l'emploi du possessif montre l'attachement à ses racines. Il ne lui reste plus que son corps qui constitue son identité son identité. => figure du déraciner. Cadre patio-temporel quasi absent. Incipit déconcertant , inhabituel ou l'auteur laisse dérouler du temps dans

L'Arabe → Article défini / Majuscule pour le nom commun : illusion de nom propre qui définit. Camus désigne l'Arabe, c'est celui là et pas un autre. A tiré → Verbe d'action au passé composé : Référence à l'arme à feu / Son couteau : Déterminant possessif + arme blanche → marque la violence de l'Arabe Il m'a présenté → le sujet est l'Arabe, le COI qui désigne Meursault est placé devant le verbe au passé composé : Meursault subit l'action Dans le soleil → CCM : 1ère apparition de l'environnement

Les adjectifs possessifs L'adjectif possessif indique à qui appartient l'être ou la chose dont on parle. Il est placé devant le nom. Exemple : François caresse son chien. Tableau des adjectifs possessifs :   avec un nom masculin singulier         : mon, ton, son,   notre, votre, leur. avec un nom féminin singulier            : ma, ta, sa   notre, votre, leur avec un nom masc. ou fém. pluriel   : mes, tes, ses,   nos, vos, leurs. Attention ! Devant un mot féminin commençant par une voyelle