ADN polymérase

microtubules kinétochoriens ce raccourcissent et entraîne la séparation des chromatides par rupture du centromère et leur migration vers les pôle (voir schémas) Sachant qu'une chromatides renferme une molécule d'ADN que doit-il ce passer pour cet ADN dans la cellules-filles avant la mitose suivante ? III/ La réplication de l'ADN Activité 3 : 1) D'après le document 3 page 277 dites quelles sont les différentes possibilités de réplication de l'ADN et schématiser les ? 2) D'après les document

l’hormone de croissance humaine, permet à la souris transgénique de synthétiser la protéine « hormone de croissance ». L’ADN supplémentaire a donc permis la fabrication de la protéine de lait supplémentaire. Bilan : Il existe donc une relation entre ADN et protéine. Un gène est donc une portion d’ADN dont la séquence en nucléotide contient l’information nécessaire à la fabrication d’une protéine donnée. |Supports |Notions construites

Des rappels de genetique: Structure de la molécule d'ADN. L’acide désoxyribonucléique, ou ADN est une molécule, présente dans toutes les cellules vivantes, qui renferme l'ensemble des informations nécessaires au développement et au fonctionnement d'un organisme. C'est aussi le support de l'hérédité car il est transmis lors de la reproduction, de manière intégrale ou non. Il porte donc l'information génétique et constitue le génome des êtres vivants. L'ADN détermine la synthèse des protéines

ponctuelles, courtes délétions ou insertions, pertes ou gains chromosomiques, translocation, insertion de séquences nucléotidiques virales. Les agressions endogènes sont liées aux radicaux réactifs ( OH, O2…) Erreurs ADN spontanées et non réparées : infidélité de l’ADN polymérase au cours de la réplication, dépurination, déanimation de la 5-méthylcytosine au niveau des îlots CpG). 200 000 lésions réparées/ cellule et /jour. (Polype terme général = adénome avec différents grades). Dans le cancer

Chapitre  2  -­  VARIABILITÉ  GÉNÉTIQUE  ET  MUTATION  DE  L’ADN   Les  organismes  ne  peuvent  survivre  que  si  leur  ADN  est  soigneusement  répliqué  et  protégé  des   altérations  chimiques  et  physiques  qui  pourraient  changer  ses  propriétés  codantes.   La  vie  et  la  biodiversité  résultent  d’une  balance  subtile  entre  mutations  et  réparations.   Les  mutations  introduisent

autour de protéines spécifiques appelées histones. Le degré d’enroulement de l’ADN est variable au cours de la vie cellulaire. En dehors des périodes de mitose, l’enroulement est relativement lâche, on dit que l’ADN est décondensé. L’association ADN-histones décondensé forme des filaments très fins appelés nucléofilaments (=filaments du noyau) uniquement visibles en microscopie électronique à très fort grossissement. L’ensemble constitue la chromatine diffuse du noyau. Au contraire, lors des divisions

phase S (au MEJ) Au cours de la phase S (interphase), la fibre de chromatine ce duplique en des points précis, yeux de réplication ; c'est la réplication de l'ADN qui a lieu au niveau des yeux de réplication grâce à un complexe enzymatique : ADN polymérase. Il permet en effet : - l'ouverture de la molécule d'ADN par rupture des liaisons faites entre les brins - la mise en place de nucléotides complémentaires en face des nucléotides des brins anciens de la molécule ouverte La copie de l'information

fragment lésé qui conduit à une réparation complète. Les mécanismes de réparation de l’ADN ont déjà été détaillés, on ne résume que quelques résultats : - l’excision - resynthèse : les enzymes qui interviennent sont une endonucléase, une ADN - polymérase et une ligase qui synthétisent une nouvelle molécule à partir du deuxième brin. Cette réparation est le mécanisme principal, il s’agit d’une réparation fidèle, aucune erreur n’existe dans la copie. - réparation post-réplicative : ____

en une chaîne polypeptidique, repliement de celle-ci (chez les eucaryotes s'insèrent des phases de maturation où l'on coupe et modifie la séquence synthétisée). La copie du génome est réalisée par toute une machinerie protéique permettant à l'ADN polymérase d'accéder à la séquence et de la copier, selon le principe d'appariement des bases. La partition de la cellule se fait par des mécanismes différents chez les procaryotes et les eucaryotes (nommée alors mitose) : celle-ci consiste en la partition

par la cellule) interviennent et augmentent le taux de transcription. Les répresseurs, au contraire, le diminuent. Ils agissent tous les deux en se liant à l’ADN sur des séquences bien définies au niveau des promoteurs et interagissent avec l’ARN polymérase. * Il y a deux modes de régulation majeurs : ▪ Le contrôle négatif : un répresseur se lie à une séquence d’ADN au niveau du promoteur et empêche la traduction. ◦ Lors de la régulation de protéines répressibles, le répresseur est rendu