Adrian Morales

volontaires. Un premier point présente donc que le relâchement des hommes est due à leur « existence relâchée ». Il veut dire par là qu'une existence manquant de rigueur, de droiture et en se comportant selon des principes qui vont à l'encontre de la morale amène à un relâchement même de la personne. Il justifie son point de vue en affirmant que les hommes sont « personnellement responsables » de leur relâchement. En effet se sont eux qui se comportent ainsi, ils sont entièrement responsables de leur

notion de propriété, en tant que celle-ci est distincte de la simple possession, ou maîtrise matérielle de fait d’une chose. De manière analytique, l’idée d’un droit de propriété recèle la notion d’une relation entre un sujet (une personne physique ou morale) et un bien (concret ou abstrait : un objet de valeur, un titre ou un service). Cette relation peut être qualifiée comme un lien d’appartenance qui peut prendre plusieurs formes et relever de plusieurs régimes, mais qui toujours implique une certaine

Ici, Rabelais veut nous dire que la connaissance qui ne s'accompagne pas de morale et d'intelligence conduit l'homme à sa perte, à sa ruine. Cette phrase semble aujourd'hui d'une grande actualité. En effet, ne voit-on pas une science dont le progrès est comme devenu fou et sans contrôle ? Que l'on songe ici aux manipulations génétiques, au clonage, etc. Rabelais, avec plusieurs siècles d'avance, annonce l'un des défis de notre modernité. Celui d'une nécessaire réflexion sur les applications et la

je suis formellement aussi responsable? Comment puis-je désormais ignorer mon moi de là bas dans ses déterminations spirituelles et matérielles ? Ainsi donc, émerge en moi comme principe éthique de vie l'amour de tout être humain et comme devoir moral la compassion envers tout homme. Nous ne disons pas comme Schopenhauer que la compassion est capable de convertir l'égoïsme en amour. Nous disons que amour et compassion sont les deux faces de la même médaille et qui cohabitent nécessairement. C'est

I-L'équité. … celui qui exige quelque chose en se référant à ce principe s'appuie sur son droit, avec simplement cette précision que lui manquent les conditions dont a besoin le juge pour pouvoir déterminer dans quelle mesure ou de quelle manière on pourrait donner satisfaction à sa prétention. Celui qui, dans une société commerciale établie sur la base de l'égalité des profits, en a pourtant fait plus que ses partenaires, mais a connu cependant davantage de pertes lors d'épisodes malheureux, peut

est quelque chose de tout a fait marginalisé. Celui qui s'évade, qui vit dans le "rêve" serait qualifié de fou. Nos paroles nos actes sont toujours conscients et contrôlés, on fait comme un tri entre ce que l'on pense et pour correspondre aux codes moraux de la société.

autre chose. Il serait donc tentant de considérer qu'il faille renoncer à nos désirs en suivant en cela les injonctions mêmes de notre raison. Vous pouvez ici penser aux analyses de Kant sur la morale. Il montre ainsi que faire son devoir consiste à suivre la loi de sa raison et non ses penchants. La morale exigerait ainsi le renoncement aux penchants. Pourtant, peut-on renoncer à nos désirs ? Et tout désir est-il de manière identique condamnable ? Pensez, par exemple au désir de connaître dont parle

semble pas avoir comme vocation première d'instruire , de délivrer des connaissances . Mais elle éduque le goût en proposant des esthétiques variées . Corneille , dans ses Discours sur le poème dramatique , signale que la tragédie doit avoir une valeur morale , par exemple en réservant un sort affreux aux personnages négatifs : Cléopâtre dans Rodogune meurt empoisonnée . Mais cette déclaration paraît ambiguë : l'apparition fracassante de Cléopâtre , préparée pour le II ème , impressionne le spectateur

au sens positif mais vague du terme : on parlera par exemple des vertus de la vie au grand air, des vertus pédagogiques d’un ouvrage ou encore des vertus aphrodisiaques du gingembre. En un sens plus restreint, “vertu” s’entend au sens de “qualité morale”, notamment dans le vocabulaire religieux. Ainsi parle-t-on de la vertu par excellence, lorsqu’on dit d’une jeune fille qu’elle a encore (ou qu’elle n’a plus) sa vertu. Dans la théologie chrétienne, on distingue notamment les vertus cardinales (courage

traitement à infligé à une personne décédées ne devra être vécu par la famille comme une profanation, sous peine de compromettre les débuts de son travail de deuil. Empreint d’une forte valeur symbolique les rites funéraires reflètent la conception morale la philosophie des proches. Le personnel veillera a permettre le raccompagnement indépendamment de ses propres conviction, si ceux-ci ne vont pas à l’encontre des consignes de sécurité d’hygiène et si ils sont en conformité avec la législation française