Adultere

Remerciant les vengeurs de son mari assassiné par le rebelle, Aphrodissia ravale ses larmes : elle est veuve deux fois, en apparence du vieux prêtre ivrogne, mais en réalité du scélérat qu'on vient de tuer et qu'elle a tendrement aimé. Leur passion adultère est ancienne et l'époux, cocu conscient, fut longtemps le paravent social de leurs ébats nocturnes ou champêtres. Et même enceinte des œuvres de Kostis, la veuve a bravé par amour les regards soupçonneux des villageoises avant de faire disparaître

depuis longtemps toléré voire admis. Les bénéficiaires de cette tolérance n’étant cependant représentatifs la plupart du temps que d’un seul des deux genres. La femme étant souvent considérée comme étant d’un rang inférieur à celui de l’homme, son adultère n’était pas envisagé sur un pied d’égalité avec celui de ce dernier. Tout était mis en œuvre pour peser sur le genre féminin. Si un homme allait voir ailleurs, c’était à la femme d’en porter le fardeau et d’en assumer les conséquences car l’on présumait

rester longtemps très restrictif surtout en ce qui concerne les femmes. De nos jours, il a perdu de son intensité. Il ne concerne aujourd’hui que les époux, la responsabilité du tiers ( l’amant ou la maitresse) n’étant plus engagée. Seul l’époux adultère peut être sanctionné. L’arrêt du 5 juillet 2001 de la deuxième chambre civile de la Cour de Cassation, a décidé que le seul fait d’entretenir une liaison avec un homme marié ne constitue une faute engageant la responsabilité vis-à-vis de son épouse

Saint Yves prend la même décision et part le jour de son mariage avec le fils du bailli. Mlle de Saint Yves se voit contraindre de coucher avec Mgr de Saint-Pouange afin de libérer son amant. L’Ingénu et Gordon sont libérer. Mais ayant commis un adultère et ne pouvant l’avouer à son amant, Mlle de Saint Yves se laisse mourir, laissant l’Ingénu effondré. Celui-ci parvient à se ressaisir et repart pour Versailles avec son ami Gordon afin que le roi répare la disgrâce qu’ils ont subie.

Dupuis, puis avec Rodolphe et pour finir à nouveau avec le jeune Léon. A chaque fois elle espère trouver l’amour romantique qu’elle n’éprouve pas avec Charles. Et c’est le cas à chaque début de relation, ceci amplifié du fait que ces relations adultères sont interdite par les mœurs. Mais très vite l’ennui revint. « Emma retrouvait dans l’adultère toutes les platitudes du mariage » (p.371) Sauf pour Rodolphe, l’amant qui lui a apporté l’amour. On le voit dès qu’il l’abandonne elle dit « quelque

offenser Dieu. Dites mon mari ; car, bien qu'il ne le soit pas encore, vous le regardez comme tel; et rien n'est plus honnête. "Secondement, bien qu'il soit votre époux en idée, en espérance, il ne l'est pas en effet : ainsi vous ne commettriez pas un adultère, péché énorme qu'il faut toujours éviter autant qu'il est possible. "Troisièmement, les actions ne sont pas d'une malice de coulpe quand l'intention est pure, et rien n'est plus pur que de délivrer votre mari. "Quatrièmement, vous avez des exemples

de son rapprochement avec l’Eglise qui voit le mariage comme un sacrement c’est-à-dire un rite sacré auquel on doit un respect absolu mais était déjà présente auparavant, notamment dans la loi Iulia de adulteriis coercendis (sur la répression des adultères) que fit adopter l’empereur Auguste vers 16 avant J.-C. Comme énoncé précédemment, le mariage est sacré, ce qui conduit donc l’empereur Constantin a édicté des lois pour lutter contre les relations extra-maritales dont des lois qui sanctionnent

importantes: Respect, fidélité, secours, assistance, communauté de vie : 3 éléments : communauté de toit, communauté de lit, communauté d'activité). Adage: «Boire, manger, coucher ensemble c'est mariage se me semble». Loysel Exemple de fautes: adultère, dissimulation de faits grave, refus de relation charnel ou excès, violence, manquement à l'obligation de participer aux charges du mariage. Cette faute doit être imputable au conjoint. Imputable: peut être regardé comme une faute de la part d'une

par ambition, cette femme a contribué à détacher le roi Henri VIII de Rome, et de ce fait, de la religion catholique. Après son mariage avec le roi, elle a vite été victime de sa jalousie, comme en témoigne sa fin tragique (condamnée à mort pour adultère). Profitant d’une séance de pose, où se font peindre Mme de Clèves et d’autres dames de la cour, le duc de Nemours dérobe adroitement un portrait de cette princesse, propriété de son mari : l’amour, et la jalousie envers M. de Clèves, lui ont

offenser Dieu : dites mon mari ; car bien qu'il ne le soit pas encore, vous le regardez comme tel ; et rien n'est plus honnête. Secondement, bien qu'il soit votre époux en idée, en espérance, il ne l'est pas en effet: ainsi vous ne commettriez pas un adultère, péché énorme qu'il faut toujours éviter autant qu'il est possible. Troisièmement, les actions ne sont pas d'une malice de coulpe quand l'intention est pure, et rien n'est plus pur que de délivrer votre mari. Quatrièmement, vous avez des exemples