Affaire d'Outreau

Gilles PODEUR DEA de droit des affaires et de l’économie Université Paris I (Panthéon-Sorbonne) Année 2001-2001 MEMOIRE sous la direction du Professeur Paul Le Cannu L’APPROBATION DES COMPTES CONSOLIDES TABLE DES MATIERES|pages| Introduction|4| Chapitre 1 - Une réforme de compromis|9| Section 1 - Les vrais débats : l’approbation des comptes consolidés vue comme un moyen|10| Sous-section 1 - La transparence par la pénalisation?|10| §1 - Utilité du délit de présentation

Zola, convaincu de l’innocence de Dreyfus et révolté par cette injustice, publie à la une de L’Aurore un article intitulé J’accuse adressé au président de la République. L’affaire éclate au grand jour et divise profondément les Français. L’ « Affaire » a agi comme un vrai révélateur des tensions politiques. La cassure est totale entre les deux camps, chacun prétendant représenter la vraie France : les Dreyfusards, convaincus de l’innocence de Dreyfus, ou heureux de pouvoir critiquer les modérés

Colonel Picquart découvre que le vrai coupable est le commandant Esterhazy. Alors que la condamnation ne suscite aucune émotion au départ, la prise de conscience de l'erreure judiciare par une partie de l'opinion provoque l'une des plus importantes affaires d'Etat de l'histoire contemporaine En Novembre 1897, les premières campagnes pour la révision du procès sont publiées dans le journal L'Aurore de Clemenceau. En Janvier 1898, Esterhazy est acquitté et Picquart est écarté. Le 13, « J'accuse

Monsieur LE POMMELEC, Maître de conférences Mercredi de 8h à 10h Jeudi de 8h à 10h Amphi A4 Amphi A4 Amphi Michel de l'Hospital Amphi Michel de l'Hospital Droit pénal général Monsieur le Professeur POUGHON Lundi de 10h à 12h Droit des affaires UNITE 3B : Conférences de méthode Présentation de la méthode en amphi UNITE 3C : Droit public Droit administratif Monsieur GOUYOU, Maître de conférences associé Voir tableau spécifique Vendredi 15h à 17h M. LE POMMELEC - M. DUBREUIL Mardi

les lois Ferry de 1901, où l’enracinement de la République à l’école est un enjeu majeur. Jules Ferry est une personnalité importante des premiers gouvernements républicains de 1879 à 1885, il est en charge soit de l’éducation nationale, soit des affaires étrangères. Plutôt qu’une révision profonde de la constitution, il préfère les aménagements. Son objectif principal est de mettre en place une école républicaine qui forme des « citoyens éclairés ». Il oblige chaque département à se doter d’une école

n’est pas vraiment une obligation. - Le CECEI constate que presque toutes les conditions sont remplies : possibilité de délivrer un agrément conditionnel. L’agrément ne vaut que pour ce qui est accepté. Ex : Cette situation s’est déjà produite : affaire du Crédit Lyonnais/Crédit Agricole : le CL avait été sauvé par l’Etat, puis introduit en banque. Le CA, banque non cotée, veut absorber le CL. Pour cela CA s’introduit en bourse et absorbe le CL par échange d’action. Le CECEI doit donner son agrément

l’influence de l’extrême droite sur la vie politique française. 1885 Affaire du Tonquin qui fait tomber le gouvernement de Jules Ferry. Ferry demande lors d’un discours dans financements pour la colonisation. Clemenceau prend alors la parole et reproche à Ferry de défendre la colonisation surtout pour des raisons économiques et commerciales et qu’il va envoyer des gens à la mort et utiliser l’argent du contribuable pour ces raisons. Affaire Boulanger : Un climat délétère apparait en 1886 Au moment ou le

société française pendant douze ans, de 1895 à 1906, la divisant profondément et durablement en deux camps opposés, les « dreyfusards » partisans de l’innocence de Dreyfus, et les « antidreyfusards » partisans de sa culpabilité. L’origine de cette affaire, la condamnation fin 1894 du capitaine Dreyfus pour avoir livré des documents secrets français à l’Empire allemand, s’avéra par la suite être une erreur judiciaire2,3sur fond d’espionnage et d’antisémitisme, dans un contexte social particulièrement

Contrats, concurrence, consommation, 1996, n° 1, p. 1 note L. Leveneur. Semaine juridique, Edition notariale et immobilière, 1996, n° 13, p. 493, note D. Boulanger. Dalloz affaires, 1996, n° 1, p. 3, note A. Laude. Droit bancaire et de la bourse, 1996, n° 53, p. 2, note J. Stoufflet. Revue de jurisprudence de droit des affaires Francis Lefebvre, 1996, n° 1, p. 3, note M-A Frison-Roche. Revue trimestrielle de droit commercial et de droit économique, 1996-06, n° 2, p. 179, note F. POLLAUD-DULIAN et

Lorsqu'en 1884 une affaire d'espionnage éclate au sein du ministère le géneral Mercier craint pour sa réputation et sa carrière. Il lui faut un coupable. Dès lors, la terrible machine militaire se met en marche, qui, des bureaux de l'état-major jusqu'aux services du conseil de guerre, fera de Dreyfus un traître idéal. Du 6 au 15 Octobre: Le Service des renseignements de l'armée (la "Section de Statistique") dirigé par le colonel Sandherr, intercepte une lettre - le "bordereau" - adressé à Schwartzkoppen