Afrikaners

désertique quittant la côte pour s’enfoncer à l’intérieur du grand plateau d’Afrique. • Nous vous suggérons: o La visite de Graaff-Reinet, surnommé « le joyaux du Karoo », une petite ville qui a vu le départ du Grand Trek en 1836. Typiquement Afrikaner dans un environnement grandiose, à ne pas manquez si vous passez dans la région. o La visite du Mountain Zebra National Park où sont protégé les Zèbres des montagnes, dont il ne reste que peu d’individus en Afrique. Vous pourrez y admirer les magnifiques

comme ça jusqu’à la fin, en 1960. Cruels, féroces, ils utilisent les fouets pour augmenter les rendements. ← 3ème exemple : l’Afrique du Sud Colonie hollandaise à partir de 1913 jusqu’en 1994, la fin de l’Apartheid Les colons sont appelés « Afrikaners » Ils sont 23%, contre 67 % de Noirs. Les Blancs dominent les noirs avec le système de l’Apartheid : législation, lois d’exclusion des Noirs (racisme institutionnel) Les noirs n’ont pas le droit d’être propriétaires sauf dans les réserves indigènes

(accords d'Évian en 1962). C. transfert de pouvoir de la métropole aux élites blanches coloniale 1 L'Afrique du Sud, à fort peuplement blanc était parvenue à l'indépendance en 1910, mais au profit exclusif des blancs. Entre 1948 et 1958, le parti Afrikaners majoritaire (celui des descendants des colons Hollandais établis depuis le XVIIème siècle) a instauré les lois de l'Apartheid qui établissent des barrières à tous niveaux (sauf le travail et le sport) entre les différentes composantes ethniques

inaccessible, mais de la vie réelle d’un peuple. Ainsi, le Une Saison Blanche et sèche présente la situation des Noirs victimes de l’apartheid en Afrique du Sud. On y trouve une description qui a pour but de dévoiler et de dénoncer, le traitement que les afrikaner infligent aux Noirs en lutte pour l’égalité raciale De même Le dernier jour d’un condamné décrit une situation bien connue partout dans le monde, celle d’un condamné qui attend la mort. C’est homme qui décrit luimême sa tragédie, le développement

angolais par les portugais avec cynisme, fustigé par expression antiphrastique l.63-64 et terme affectif « papa » l.64 qui qualifient le dirigeant portugais Salazar. Condamnation de + en + virulante. Renversement paradoxale où Lumumba qualifie les Afrikaners de « chiourme raciste » l.79. dénonce système oppressif à l’aide d’une énumération l.79-82 qui agit comme un réquisitoire contre l’inhumanité l.82-83 Enumération l.84 qui fait écho à celle l.59 clôt la charge contre les esclavagistes modernes leur

aux politiques du gouvernement d'avant la seconde guerre mondiale. Les Sud-Africains blancs anglophones qui détenaient le pouvoir avant la guerre ont été expulsés et contraints de faire partie du Parti national, un groupe politique dominé par les Afrikaners. Cela a permis au Parti national de créer et d'appliquer la loi sur l'enregistrement de la population, qui obligeait les races à être classées en quatre catégories : blanches, de couleur, asiatiques ou indigènes. En 1950, la loi sur les zones de

lots, les locations, destinés aux populations non blanches sans distinction particulière. A cette époque, les emplois les moins qualifiés peuvent être exécutés par toutes sortes de populations, même blanches (du fait de l'exode rural de paysans Afrikaners, descendants des premiers colons néerlandais, les poors white) et l'on rencontre une certaine mixité résidentielle car les locations peuvent être composées de noirs, d'asiatiques, de métis et de blancs (dans une proportion inférieure). Rapidement

de l'effort de guerre29. Apartheid et ségrégation raciale : panneau interdisant l'accès d'une plage aux personnes de couleur et aux chiens. Aux élections générales de 1948, la victoire inattendue du Parti national, parti alors exclusivement afrikaner, entraîne la mise en place d'une nouvelle politique de ségrégation connue sous le nom d'apartheid30. Dans ce système, le rattachement territorial puis la nationalité et le statut social dépendent du statut racial de l'individu, défavorisant largement

appartiennent à différents groupes ethniques : Bochimans, Hottentots, Ndebele etc. . Les Zoulous constituent le groupe le plus important (20 % de la population totale du pays). Les Blancs représentent 13,6 % de la population sud-africaine, les Afrikaners* ou Boers*, descendants des colons néerlandais — mais aussi allemands ou français — étant majoritaires (60 % des Blancs). 8,6 % des Sud-Africains sont des métis, issus des Bochimans et des Hottentots, des esclaves venus d’Angola ou de Java*, et

Tamoul (2,3 %), Venda (2,2 %), Ndébélé (1,4 %), etc. Il existe également une communauté juive estimée à 120000personnes. La domination du Christianisme : Les quatre cinquièmes des Sud-africains sont chrétiens, en majorité protestants. La plupart des Afrikaners appartiennent à l'Église réformée hollandaise, les Blancs anglophones et les Noirs appartenant aux Églises anglicane, méthodiste ou catholique. Dix pour cent des Sud-africains pratiquent toujours l'animisme. La plupart des Asiatiques sont hindouistes