Agenda 21 Collectivites Territoriales

de « PDC » expose les actions de développement local aux risques d’incohérence spatiale. D’où l’urgence de mettre en cohérence les PDC avec les instruments de planification spatiale que sont : le schéma d’aménagement de la commune, le schéma territorial d’aménagement et de développement pour ne citer que ceux-là. A cet effet, la Délégation à l’Aménagement du Territoire (DAT), structure nationale en charge de l'aménagement du territoire met à la disposition de divers usagers, le présent guide

supporter, en particulier la succession d’années sèches, comme en 1980-1984 ou en 1990-1994. Pour les compenser, les eaux souterraines ont été sollicitées : les prélèvements les ont ainsi mis à rude épreuve. Sur 30 milliards de m3 d’eaux renouvelables et 21 exploitables, les ressources superficielles actuellement mobilisées atteignent 11 milliards de m3 dont 9.2 milliards régularisés par les barrages En ce qui concerne les eaux souterraines, sur 4 milliards de m3 mobilisables, 2.6 sont déjà utilisés et

réponse au développement du secteur et aux glissements du métier, la réactivité face aux changements de fonction constitue un élément indispensable. Il n’est pas nécessaire d’être un hyper spécialiste. En terme d’autorité publique, toutes les collectivités ont leur responsable voire un service complet de communication. Les canaux de recrutement : Du moyen le plus privilégié au moins privilégié : Recrutement interne, stagiaires, petites annonces internet, réseau de relations personnelles ou professionnelle

l’économie engendre une activité économique associée, traduisible en termes de marchés locaux, donc de création de richesse et d’emplois de proximité. Le développement des éco technologies produit un effet d’entraînement dont profite par rebond toute la collectivité (effets de systèmes). La systématisation garanti les débouchés, donc la rentabilité du marché, et à terme la baisse des prix. Donner une réponse strictement politique à certains besoins à l’avantage de stimuler des marchés sans engager les

aménagements touristiques en montagne et l’intercommunalité ........................... 30 3-1. La zone de montagne ................................................................................................. 30 3-2. Un "mille feuilles" d’approches territoriales ............................................................. 31 3-3. Vers plus d’intercommunalité.................................................................................... 32 3-4. Les aspects économiques et financiers ..............

Co-investissement................................................................................................20 Coordination et complémentarité public-privé ...................................................21 Contribution des acteurs de l’Internet au financement des infrastructures.....21 3. Les choix du modèle français ............................................................................23 3.1. Objectifs du gouvernement ..............................................................

: ◦ ◦ ◦ ◦ ◦ ◦ ◦ ADEME : David Canal AMORCE : Emmanuel Goy et Delphine Bellanger BG Ingénieurs Conseils : Loïc Lepage Communauté d'agglomération du Pays d'Aix : Catherine Fleurynck (service Energie) DHUP : Erwin Riclet (AD4) GrDF : service collectivités locales et aménagement Grenoble-Alpes-Métropole : Philippe Bertrand (Direction de l'Environnement, des Espaces Naturels et du Climat) HESPUL LesEnR : Nicolas Manic (Responsable Métier Energie), Jean-François Papot (Directeur associé) Lille Métropole

Une démarche qualité engagée ..........................................................20 Un SCD « éclaté », des bibliothécaires de plus en plus mobiles .........20 Des pratiques informatiques hétéroclites ...........................................21 Un contexte technique mouvant .........................................................22 LES ATOUTS ET LES CONTRAINTES ..............................................................19 PARTIE 3 : D’AUTRES ÉTABLISSEMENTS, D’AUTRES INTRANETS...

et la mondialisation A 2. Si la mondialisation est réelle elle ne nie pas l'échelon local :la ville A 3.. Espace urbain, mondialisation : un espace vécu 6 B ....mais pas totalement: les héritages B 1. L'action de l'Etat et des collectivités locales B 2. des tendances anciennes qui peuvent se comprendre et s'expliquer en partie par lois spatiales C Une approche culturelle C1. La naissance d'une société d'urbains? C2. participer à l'image des métropoles modernes : Rénovation

CAROT sommaire introDuction p.5 i - DeVeloppement Durable, QuelQues reperes Les enjeux sur lesquels se mobilisent progressivement tous les acteurs : institutions, politiques, Organisations Non Gouvernementales (ONG) et associations, collectivités territoriales et entreprises. p.6 ii - la communication : un secteur en retarD Le secteur est un des derniers à s’engager. Des freins techniques et culturels expliquent ce retard. p.10 iii - les impacts Du secteur Pourtant, le secteur a sa part à jouer