Agriculture Productiviste

personnes, 1 camion ; Intensive : 30 % sont des grandes exploitations ; 15 % de 10 à 50 ha ; 15 %, plus de 50 ha ; au Brésil, plus de 1000 ha ; Concurrence entre agriculture familiale et productiviste ; Epuisement des terres ; Emploi d’intrants et de pesticides, poussé par les STN (Monsanto) ; Abandon des cultures vivrières. ⋅ ⋅ ⋅ ⋅ ⋅ - Agriculture traditionnelle : ⋅ ⋅ ⋅ ⋅ ⋅ ⋅ ⋅ Intégrée dans l’environnement ; Polyculture avec maïs, manioc, bananes ; Manuelle : cueillette à la main, souvent faite par

s'alimenter et au Sud lorsque ce sont 80 % qui y sont consacrés. - Le Nord qui, il y a peu, croulait sous les stocks, subventionne la production agricole et cherche à promouvoir une agriculture économe, responsable, bio, ouvre le débat sur les OGM, là où le Sud a du mal à se nourrir et réclame une agriculture productiviste qui utilise toute la palette des nouvelles technologies comme l'agrochimie ou les OGM. - L'ancien Tiers Monde a aussi ses perdants et ses gagnants. Le Brésil devenu champion des

(PED) conduit également à une situation désastreuse.   A-La croissance dans certains pays a porté atteinte à l’environnement.   La croissance au cours des « Trente Glorieuses » dans les pays développés basée sur l’industrie et l’agriculture productiviste s’est effectuée au détriment de l’environnement et a remis en cause de nombreux écosystèmes : pollution des sols, de l’eau, de l’air, épuisement des énergies fossiles… (doc 2). L’activité économique a favorisé dans certaines régions la monoculture

international, elle représente le premier ensemble économique de la planète. L’Union européenne est l’un des trois pôles de la Triade : un acteur économique de premier ordre, partenaire incontournable ou concurrent redouté dans certains domaines (agriculture, aéronautique, haute technologie …). Pourtant, malgré ces succès, les états membres de l’Union doivent gérer, à 27, des handicaps et des contradictions qui freinent l’intégration économique. Ils ont aussi à surmonter de profonds contrastes de

des mises en valeur excessives à l’origine de déséquilibres (ex1 : exploitation massive depuis le XIXème siècle de gisements de charbon ou d’hydrocarbure - gaz de Lacq – aujourd’hui épuisés. Ex2 : Depuis la 2GM, le développement d’une agriculture productiviste en Bretagne est à l’origine de pollutions diverses du sol, des eaux…). Les mutations de l’économie depuis le XIXème siècle et l’accélération de la mondialisation nécessitent une adaptation permanente du territoire aux nouveaux enjeux d’accessibilité

toxiques- renforce l’extraordinaire distance qui s’est établie entre la nourriture et l’être humain qui la consomme. Ce phénomène de société a évidemment de multiples causes mais la plus importante d’entre elles réside dans la transformation de notre agriculture et de l’alimentation qui en découle en une activité industrielle comme une autre. Quand la politique agricole commune commande d’accroître la productivité et d’assurer l’approvisionnement des consommateurs en produits à un prix raisonnable, le passage

aussi la pratique du zaï et la technique de cordons pierreux qui assurent la rétention de l'eau pour humidifier le sol et limiter l'action érosive. Photo : Cordons pierreux à Boudtenga Ces procédés traditionnels permettent de maintenir une agriculture pluviale vitale même pendant les années de déficit pluviométrique. Cette technique de captage d'eau est gratuite et n'exige point d'investissement. C'est un précieux recours pour les paysans pauvres .Dans cette lancée les formes traditionnelles

de France est remplacée par l'Union Centrale des Syndicats Agricoles de France (UCSAF). Les deux principaux syndicats agricoles : -Syndicat de la rue d'Athènes (anciennement Société Aristocratique du marquis de Dampierre), pour une agriculture à l'ancienne dans le respect des traditions, catholicisme social. Agrariens de droite mais ouverts à la modernisation. -Fédération Nationale de la Mutualité et de la Coopération Agricole (FNMCA) dite fédération du boulevard Saint Germain (anciennement

contribue ainsi, par un système de vases communicants, au dépeuplement des campagnes. L’agritourisme freine ce dépeuplement en permettant aux agriculteurs de rester sur le territoire sans abandonner des exploitations trop petites pour s’ajuster à une agriculture industrielle de grosses exploitations polluantes, mais aussi en évitant que la désertification empêche d’attirer d’autres populations urbaines. L’agritourisme aide les résidents qui en font leur activité secondaire, à rester toute l’année sur leur

OASIS DANS LA REGION DE TATA - MAROC EDITORIAL Par Jean-Luc Messe ans les années 60, les analyses du Laboratoire coopératif (laboratoire indépendant d’analyses des aliments) montrèrent les premières retombées négatives du productivisme en agriculture (trop de nitrates dans les petits pots pour bébés, résidus de pesticides dans les fruits et les légumes…). C’était l’époque où, après les conséquences désastreuses de la seconde guerre mondiale, il fallait augmenter de façon importante la production