Ah Je Fus Comme Fou Hugo

est perdu s’il ne se repent pas. Don Juan : Non, non, rien n’est capable de m’imprimer de la terreur, et je veux éprouver avec mon épée si c’est un corps ou un esprit. (Le spectre s’envole dans le temps que Don Juan le veut frapper.) Sganarelle : Ah ! Monsieur, rendez-vous à tant de preuves, et jetez-vous vite dans le repentir. Don Juan. : Non, non, il ne sera pas dit, quoi qu’il arrive, que je sois capable de me repentir. Allons, suis-moi. Scène 6- La statue, Don Juan, Sganarelle La statue :

nette opposition entre les deux genres, d’où l’intérêt de les mêler pour représenter la vie totale. Les personnages peuvent donc passer d’un registre à l’autre tel que la figure de don Carlos nous l’illustre. Au début de la pièce il est plutôt traité comme un personnage de comédie : enfermé dans le placard il est grotesque et n’a pas la dignité d’un roi. Pourtant, une fois élu empereur il se métamorphose en homme politique grave et sérieux, accorde sa clémence à Hernani. Son monologue de l’acte IV scène

 prise d'un légitime regret je me relance à l'abordage de cette œuvre. Certes j'ai pris quelque temps et mis quelque zèle à choisir une traduction qui puisse me convenir. C'est sur celle d'André Marcowicz que j'ai jeté mon dévolu cette fois (l'autre fois c'était celle de François­Victor Hugo). Et alors ? C'est le jour et la nuit. (Chapeau pour cette traduction Monsieur Marcowicz !) Je n'en reviens pas. Comment peut­on, étant la même personne, ressentir les choses aussi différemment à quelques années d'écart ? J'ai adoré la légèreté, l'humour

Objet d’étude : le théâtre : texte et représentation. Textes : Texte A : Pierre Corneille, Le Cid, I, 3, 1636. Texte B : Pierre Corneille, Horace, II, 3, 1640. Texte C : Victor Hugo, Ruy Blas, IV,5, 1838. Texte A Le vieux Don Diègue, père du jeune Rodrigue, vient d’obtenir du roi la charge de précepteur du prince que la Comte (père de Chimène, bien aimée de Rodrigue) espérait aussi. LE COMTE Enfin vous l’emportez, et la faveur du roi Vous élève en un rang qui n’était dû qu’à

au moment de la débâcle allemande, un jeune homme de vingt-deux ans, Hugo Barine, se rend à sa sortie de prison chez Olga, une ancienne camarade communiste. Sur l’ordre du Parti il a tué Hoederer, un dirigeant dont la conduite avait été jugée dangereuse (il entretenait des relations avec la bourgeoisie). Hugo, témoin gênant, doit être liquidé. Olga obtient cependant un sursis afin d’examiner s’il est ou non «récupérable», Hugo revit donc pour Olga les événements qui ont conduit à son arrestation

également nues, luttaient en riant» (page 33). Ils échangent des souvenirs du collège, de leurs escapades dans la campagne avec leur camarade, Dubuche. Mais Claude, admirateur de Delacroix et de Courbet, voulant «faire autre chose» mais reconnaissant : «Ah ! quoi? je ne sais pas au juste !» (page 45), est préoccupé par son tableau, se remet à la tâche qu’il ne peut abandonner même quand, Dubuche, qui est étudiant en architecture, étant arrivé, ils devraient aller prendre un repas. Il en vient à considérer

Un fou peut-il être un héros ? La folie est-elle dénuée de sagesse ? Représentation d'Erasme Représentation du fou Triboulet Sculpture de Platon Sommaire Introduction (page 1) Définition de la folie et de la sagesse Différents arts (littérature, peinture, histoire) Problématique : Un fou peut-il être un héros ? La folie est-elle dénuée de sagesse ? Annonce du plan I) Arts représentatifs de la folie et

Sommaire 2 Le rap apparaît en France au milieu des années 80. Il s'est popularisé dans la décennie suivante avec l'éclosion de groupes de rap comme IAM, Suprême NTM, ou de rappeurs comme MC Solaar. Tout en restant continuellement inspiré par les rappeurs d'Outre-Atlantique, le rap français élabore progressivement sa propre personnalité. Il oscille entre revendications socio-politiques, messages positifs ou festifs

|Pense à nous, pense à nous | |Sur tes cachets d’aspirine |Tu sais ce que ça veut dire IFA | |Sur ta vodka, sur ton gin, ah ! ah ! |Impôt forfaitaire annuel | |Majorations relevées |C’est moi qui l’ai inventé | |Vignettes et timbres fiscaux

également nues, luttaient en riant» (page 33). Ils échangent des souvenirs du collège, de leurs escapades dans la campagne avec leur camarade, Dubuche. Mais Claude, admirateur de Delacroix et de Courbet, voulant «faire autre chose» mais reconnaissant : «Ah ! quoi? je ne sais pas au juste !» (page 45), est préoccupé par son tableau, se remet à la tâche qu’il ne peut abandonner même quand, Dubuche, qui est étudiant en architecture, étant arrivé, ils devraient aller prendre un repas. Il en vient à considérer