Aie Le Courage De Te Servir De Ton Propre Entendement

enseignement reçu ne confine pas au dog¬matisme. L’apprentissage de pensées est une condition de possibilité de l’apprentissage de l’activité de penser: «Le malheureux prurit qui incite à éduquer en vue de l’acte de penser par soi-même et de pro¬duire en propre, a rejeté dans l’ombre cette vérité selon laquelle la philosophie doit nécessairement être enseignée et apprise — comme si, quand j’apprends ce qu’est la substance, la cause, ou quoi que ce soit — je ne pensais pas moi-même, comme si ces déterminations

plus particulièrement sur les réseaux sociaux, je ne cesse inconsciemment d’être influencé par ce que je lis et par ce que je vois. Je me fais alors une idée d’un sujet que je ne connais qu’uniquement sous un certain angle, et je crois donc avoir ma propre opinion sur ce sujet : avoir une liberté d’opinion.Je peux alors m’interroger sur la réelle signification de celle-ciSi l’on prend mot à mot ce terme : nous pouvons définir la liberté comme l'état d'une personne ou d'un peuple qui ne subit pas de

tutelle intellectuelle où nous nous maintenons en raison d’une insuffisance de résolution et de courage à se servir de notre propre entendement. Paresse et lâcheté sont donc causes de notre état de minorité intellectuelle. Au contraire, les Lumières sont « la sortie de l’homme hors de l’Etat de tutelle dont il est lui-même responsable. L’état de tutelle est l’incapacité à se servir de son propre entendement sans la conduite d’un autre. Tout homme peut penser par lui-même mais de nombreux obstacles

visant à s'opposer à la diffusion, notamment dans les classes populaires, des «lumières», des connaissances scientifiques, de l'instruction du progrès. La devise des Lumières est «Aie le courage de te servir de ton propre entendement !» Elle peut signifier qu'il faut avoir confiance en soi pour se servir de son propre savoir. Le mouvement des Lumières n'est pas seulement français. Il est européen. Il est également allemand, espagnol, anglais... II. La religion Pour pouvoir penser par soi-même

libérer les hommes de toutes aliénations. Le philosophe Kant écrit dans son essai "Qu'est-ce que les lumières" en 1784 : "Les lumières c'est la sortie de l'homme hors de l'état de tutelle dont il est lui-même responsable [..] aie le courage de te servir de ton propre entendement ! Voilà, la devise des lumières. " Même s'il ne sont pas toujours d'accord, les auteurs des Lumières défendent tous la liberté de penser, un état de droit contre l'absolutisme politique, le refus du fanatisme religieux, l'esprit

tutelle dont il est lui-même responsable. L'état de tutelle est l'incapacité de se servir de son entendement sans être dirigé par un autre. Elle est due à notre propre faute lorsqu'elle résulte non pas d'une insuffisance de l'entendement, mais d'un manque de résolution et de courage pour s'en servir sans être dirigé par un autre. Sapere aude ! Aie le courage de te servir de ton propre entendement ! Telle est la devise des Lumières. Paresse et lâcheté sont les causes qui expliquent

l'essence ce la pensée c'est la liberté, doit-on craindre de penser par soi même? Est-il possible est-il souhaitable de penser par soi même? D'abord qu'est-ce que penser par soi même, c'est utiliser sa propre raison et cela exige du courage, celui de se servir de son propre entendement, de sortir de la tutelle des autres: comme le fondement de la tutelle des autres c'est notre acceptation, notre paresse, nous somme responsable de l'état de tutelle: sortir de cet état de tutelle ne dépend donc

auteur, leur oeuvres "Le monde comme il va" de Voltaire. "Candide" de Voltaire Tous les ouvrages des Lumières. 9) Voir consigne "Il faut secouer le joug de l'autorité et oser penser par soi même" de DIDEROT. "Aie le courage de te servir de ton propre entendement" de KANT. 10) Les Lumière aujourd'hui, l'héritage des Lumières Ils ont un impacts sur nous.

« Conscience ! Conscience ! (…) sans toi, je ne sens rien en moi qui m’élève au-dessus des bêtes, que le triste privilège de m’égarer d’erreurs en erreurs à l’aide d’un entendement sans règle et dune raison sans principe ». Pour J.J. Rousseau, la conscience est une lumière intérieure, un instinct, un don divin qui permet de trouver et d’aimer le Bien, selon la nature : « (…) qui la suit obéit à la nature, et ne craint point de s’égarer ». Nulle lutte, nulle conquête dans cette conception de la «

l'homme de sa Minorité, dont il est lui-même responsable. Minorité, c'est-à-dire incapacité de se servir de son entendement sans la direction d'autrui, minorité dont il est lui-même responsable, puisque la cause en réside non dans un défaut de l'entendement, mais dans un manque de décision et de courage de s'en servir sans la direction d'autrui. Sapere aude ! Aie le courage de te servir de ton propre entendement. Voilà la devise des Lumières ". Le temps des Lumières Symbolisant les vertus de la Raison