Ajustement de courbe

du travail, représentée graphique 2). Le salarié s’adapte donc à chaque variation de prix, n’offrant une quantité plus ou moins importante de travail selon sa propre courbe d’indifférence. Graphique 1 : Courbe d’offre globale (‘agrégée’) R et R’= revenu par unité de temps L = nombre d’heures de travail ou de loisir U1 et U2 = courbes d’indifférence entre travail et loisir A et B = meilleure situation possible pour le salarié Source : http://www.lyc-arsonval-brive.ac-limoges.fr/jp-simonnet/spip.php

fréquence fi. Exemple : nombre d’enfants par ménage – 180 ménages La courbe cumulative (ascendante) permet de représenter : - les fréquences cumulées (Fi) k • F(x) = ∑ fi i = 1 - les effectifs cumulées Ni : k • N(x) = ∑ ni i = 1 La courbe cumulative est en escalier dont les paliers sont horizontaux car la valeur

prix donné. 3.1. Les courbes d’offre et de demande Toutes choses égales par ailleurs, la courbe d’offre indique comment l’offre d’un bien évolue en fonction du prix de vente. Cette courbe est généralement croissante : lorsque le prix augmente, les entreprises décident de produire davantage. Une courbe d’offre S1 est représentée à la figure 1.1 : par exemple, les entreprises offrent une quantité Q1 lorsque le prix est égal à P1. Toutes choses égales par ailleurs, la courbe de demande indique comment

Evolutions structurelles Evolutions conjoncturelles Evolutions à CT Evolutions à LT Chapitre 1 : Le chômage Chapitre 2 : L’analyse des fluctuations à CT et le modèle ISLM Chapitre 3 : Le modèle AD AS Chapitre 4 : L’inflation Chapitre 5 : La courbe de Phillips Chapitre 6 : Les fluctuations à LT et l’analyse de la croissance La consommation dépend du revenu et du taux d’intérêt. Le revenu a un effet positif sur la consommation, contrairement au taux d’intérêt. Si le taux d’intérêt augmente

bénéfice brute que les producteurs fait sur une unité de produit. 5. Ajustement : ajustement du produit par rapport aux consommateurs ou par rapport aux concurrents. Focalisation sur les producteurs. III) Cycle de vie du produit. Les économistes affirment qu’il y a 4 phases. 1. Le lancement : lancer le produit, le chef de produit va essayer qu’elle soit courte 2. La croissance : le Chef de Produit va essayer que la courbe soit très verticale 3. La maturité : le CP va tenter d’allonger la

pures peuvent être inefficaces, que l’intervention publique suscite des choix et des arbitrages. l’angle macroéconomique : il découle implicitement de l’approche microéconomique. Si les marchés mettent du temps pour s’ajuster (frictions, délais des ajustements de prix), des phénomènes de sous-emploi et de fluctuations sont observés. L’Etat poursuit donc aussi des objectifs macroéconomiques. Ces objectifs sont parfois inconciliables et nécessitent, eux-aussi, des arbitrages. 2. Les finances publiques

rendre plus linéaire une série). On va calculer des moyennes d’ordre 3 ou 4. Ex : moyenne mobile d’ordre 4 : (y1 + y2 + y3+ y4) / 4 je vais positionner le point obtenu et on continue la série (y2+y3+y4+y5)/4, … lorsque l’on va joindre ces point la courbe obtenue sera – accidentée. 3) La droite des Moindres Carrées Ordinaires (MCO) ou la droite de régression Son but est de nous indiquer la tendance suivie par la série chronologique. Variable expliquée (CA) et variable explicative (t). La

et spécialement les salaires réagissent lentement au changement de l'offre et de la demande. De là, il en découle que pour les keynésiens, le niveau usuel de l'emploi n'est pas idéal car il est sujet à la fois aux caprices de la demande et à des ajustements des prix trop lents. Aussi, bien des keynésiens, mais pas tous sont-ils en faveur de politiques de stabilisation. Enfin, et de façon encore moins unanime, certains keynésiens préfèrent les politiques visant à soutenir l'emploi à celles visant à

creditworthiness" risque particulier composante spécifique composante systémique,forte cyclicité courbe des fréquences asymétrique fat tails Mesure Principe montant de la créance x proba défaut x (1- taux de recouvrement) taux de recouvrement : risque de second ordre

gustatives et olfactives, coordonner les activités (sucer, aspirer, déglutir, avaler, respirer, regarder, explorer), passer d’un état de besoin à un état de satiété, s’adapter à de nouveaux aliments, participer à la tâche Part des parents : trouver un ajustement favorable (position), s’ajuster aux rythmes du bébé, s’ajuster à ses tentatives de participation, ajuster la quantité et la nature des aliments, rituels et distracteur |Normalité |Poids |Taille |