Alain Et Georgette

l'ai vue à tel point innocente, Que j'ai béni le ciel d'avoir trouvé mon fait, Pour me faire une femme au gré de mon souhait". Agnès est maintenant enfermée dans une maison où elle est gardée par un valet et une servante , un peu simples, Alain et Georgette. De retour , après dix jours de voyage, Arnolphe, qui se fait aussi appeler M. de la Souche, rencontre Horace, le fils de son ami Oronte. Arnolphe encourage Horace à se distraire, notamment en cherchant fortune aux dépens de maris imprudents

Agnès est une jeune fille innocente élevée par Arnolphe (aussi dit M. De La souche.), Horace est son amant dont le père est Oronte le grand ami d'Arnolphe. Enrique est le beau-frère de Chrysalide qui est aussi un ami d'Arnolphe. Les paysans Alain et Georgette sont le valet et la servante de M. De La Souche. EN QUOI CETTE PIECE EST UNE COMEDIE : Cette pièce de théâtre est une comédie car elle a un caractère comique, humoristique, l’auteur a donc chercher à plaire et amusé le public avec des situations

animé par plusieurs comiques différents, on reconnaîtra d’abord le comique né des gestes, des mouvements, des mimiques, signalés dans les didascalies. L'héritage de la commedia dell’arte se manifeste à travers le jeu bouffon des deux serviteurs Georgette et Alain. C’est notamment le cas des bousculades et des coups (acte I, scène 2). On note aussi le comique de répétition, comme le chapeau ôté de la tête d’Alain trois fois dans cette scène, ou la répétition du rejet d’Horace (scène 4 de l’acte IV).  Il

• Les conflits et les crises mis en scène (Ionesco parle de « match ») => reflet des conflits et les crises de la société. Par exemple, les conflits entre le maître et le valet de Molière (Arnolphe qui ne se fait pas toujours respecter par Alain et Georgette) ou chez Beaumarchais (on pense à Figaro qui n'apprécie pas du tout que le comte veuille lui prendre sa fiancée). ∆) Le théâtre (double énonciation...) peut être une bonne tribune et les dramaturges ont utilisé plusieurs moyens afin d'exprimer

eleve dans un couvent loin de toute la realite . Arnolphe fait par a chrysalde de ces projet qui n’est pas positif . Horace se confie a monsieur de la souche qui ignore que se soit son tuteur et son futur mari qu’il est tonbe amoureux d’Agnes . Alain et georgette qui sont les deux serviteurs d’arnolphe on permi a horace de voir agnes mais arnolphe s’etant rendu compte de leur complot decida d’interoger agnes sur se qui s’est passe . Agnes dit a arnolphe qu’elle na rien fait malgré les renseignement

entraînera sur l'éducation des femmes et du mariage. On reconnaîtra d’abord le comique né des gestes, des mouvements, des mimiques, explicitement signalés dans les didascalies. Il se manifeste à travers le jeu bouffon des deux serviteurs, Georgette et Alain. C’est notamment le cas des bousculades et des coups à l’acte I, scène 2. On note aussi le comique de répétition, comme le chapeau ôté de la tête d’Alain trois fois dans cette scène, ou la répétition du rejet d’Horace à la scène 4 de l’acte

Valets de comédie, qui est essentiellement le personnage sur lequel repose le comique. Il fait rire par son langage, par son jeu et par la manipulation de l’intrigue. Dans L’Ecole des Femmes de Molière, Alain et Georgette remplissent ce rôle. Dans la scène 3 de l’acte II, Alain explique à Georgette pourquoi Arnolphe est énervé, par la venue d’un autre homme qui séduit sa femme, en comparant la femme à un potage : « La femme est en effet le potage de l’homme ; Et, quant un homme voit d’autres

"petit couvent, loin de toute pratique", autrement dit loin de toute relation avec autrui, elle est ensuite "retirée" et "mise à l'écart" par Arnolphe "dans cette autre maison où nul ne [la] vient voir". Ce dernier a également veillé à mettre Alain et Georgette, deux valets pas moins ingénus qu'elle, pour la surveiller. Arnolphe expose donc ensuite la situation dans laquelle se trouve Agnès, c'est-à-dire le résultat de sa ruse : c'est une jeune femme "au gré de [son] souhait". En d'autres termes

est tombé amoureux d’Agnès au premier regard ; il se confie à Arnolphe dont il ignore le rôle de tuteur, lui avouant qu’il a fait sa cour et raillant le personnage de « M. de La Souche ». Ce dernier en conçoit de l’amertume. • Acte II - Alain et Georgette, les serviteurs, sont réprimandés pour avoir permis à un jeune homme de rencontrer sa pupille. Arnolphe interroge Agnès afin de savoir ce qu’il s’est passé lors de cette entrevue, et la teneur de leurs propos. Il est rassuré par le récit qu’elle

comédie Molière s’est fondée sur les mœurs de la société. On reconnaîtra d’abord le comique né des gestes, des mouvements, des mimiques, explicitement signalés dans les didascalies. Il se manifeste à travers le jeu bouffon des deux serviteurs, Georgette et Alain. C’est notamment le cas des bousculades et des coups à l’acte I, scène 2. On note aussi le comique de répétition, comme le chapeau ôté de la tête d’Alain trois fois dans cette scène, ou la répétition du rejet d’Horace à la scène 4 de l’acte