Alain Fanatisme

omportement, état d'esprit de celui qui se croit inspiré par la Divinité. Fanatisme d'illuminé (Rob.). B.− P. ext. dans la lang. mod., souvent péj. Comportement, état d'esprit d'une personne ou d'un groupe de personnes qui manifestent pour une doctrine ou pour une cause un attachement passionné et un zèle outré conduisant à l'intolérance et souvent à la violence. Fanatisme politique, religieux; fanatisme de qqc., pour qqc., contre qqc. J'y ai vu [dans « Servitude et grandeur militaires »] une dépréciation

souvent. • Dans Candide, Voltaire dénonce de nombreux travers de la société de son temps : l'esclavage ; l'oisiveté et la non productivité de noblesse (il aborde également ce sujet dans sa Lettre sur le commerce) ; l'Inquisition, l'hypocrisie et le fanatisme religieux... • NB : vous pouvez aussi évoquer la « querelle » entre Voltaire et Leibniz. Double degré de lecture : amusant de lire des phrases qui reprennent toujours la même idée (« tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes ») => mais référence

valet, ce qu'il dénonce - la dénonciation porte sur : l'inconstance de la femme, les injustices sociales (les privilèges dont bénéficient les grands au détriment des faibles -notamment droit de cuissage notamment-, opposition bien né/mal né), le fanatisme religieux et l'extrémisme (passage sur la réaction des princes mahométans), la censure (contre le droit de créer, de publier) et son pouvoir de sanctionner (embastillement, destruction des œuvres) ... - alliance des registres lyrique*, pathétique*

VOLTAIRE     Voltaire a vécu 84 ans, consacrant sa longue existence à la lutte contre le fanatisme, la superstition, l'injustice et la corruption. Il a défendu ardemment le principe de liberté.     Né François-Marie Arouet en 1694, scolarité chez les jésuites, puis études de droit, il choisit cependant l'aristocratie athée et libertine.     Son goût de la querelle lui vaut deux séjours en prison et un exil en Angleterre. À son retour, il connaît un beau succès au théâtre avec Zaïre en 1732

et Diderot avaient fait l’inventaire des acquisitions de l’esprit humain. Leur but était de diffuser la philosophie des Lumières. D’autres philosophes ont participé comme Montesquieu, Voltaire, Rousseau…etc Leur second but était de dénoncer le fanatisme religieux et la politique. L’encyclopédie est en effet un bon moyen qu’on trouvé les philosophes de diffuser des idées, des connaissances et de dénoncer la religion, la politique…etc.

ce Traité sur la Tolérance, Voltaire invite à la tolérance entre les religions et prend pour cible le fanatisme religieux (plus particulièrement celui des jésuites où il a fait de brillantes études étant jeune homme) et présente un réquisitoire contre les superstitions accolées aux religions.Voltaire engage, par le biais de cette œuvre, un nouveau combat contre les superstitions et le fanatisme religieux. Voltaire utilise des métaphores pour confronter deux grandes religions monothéistes qui

Questions 1) Ces trois textes écrits aux siécles des Lumiéres défendent la tolérance, les libertés et la fraternité. Ces extraits dénoncent l’intolérance religieuse et le fanatisme religieux prônent d’autres valeurs car ils sont soucieux du bonheur. Pour ces philosophes la grande frustration est donc comment rendre l’êtes Humain heureux.Comment créer les conditions du bonheur de l’Homme en société ? Montesquieu défend l’amour du prochain et la fraternité comme le montre le passage « dans quelque

en mme temps que lÕon met en Žvidence le pouvoir judicatoire que recle la raison et lՎtendue de son domaine de juridiction, on a confiance que par la seule force de la raison critique, les tŽnbres de lÕignorance et de la superstition, du fanatisme et du dogmatisme, du despotisme et de la tyrannie vont reculer et dispara”tre. LÕesprit de libertŽ quÕattisent tous les philosophes du sicle, de Montesquieu ˆ Kant en passant par les EncyclopŽdistes et lÕinclassable Rousseau, triomphe enfin

l'idée de plaire à la divinité ou d'apaiser son courroux. Mourir pour une religion ne prouve pas qu'une religion soit véritable ou divine : cela prouve tout au plus qu'on la suppose telle. Un enthousiaste, en mourant, ne prouve rien, sinon que le fanatisme religieux est souvent plus fort que l'amour pour la vie. Un imposteur peut quelquefois mourir avec courage ; il fait alors, comme on dit, de nécessité vertu. Mourir pour une opinion ne prouve pas plus la vérité ou la bonté de cette opinion, que mourir

critiquant la société européenne, et en faisant la satire des mœurs et des institutions. En effet, à travers un récit a priori anodin, il dresse un véritable réquisitoire contre l’Eglise, s’attaquant au nom de la raison au fanatisme religieux, qui entraîne l’intolérance. Le fanatisme religieux ne respecte pas les idéaux de Dieu, qui encourage la tolérance et la raison, mais n’est qu’un détournement de la religion, afin d’obtenir ce que l’on souhaite. Voltaire effectue sa dénonciation dans le chapitre