Alambic

toujours l’unique site de production dans le monde bien que 86% de la production soit exportée. Aujourd’hui, le groupe compte 1300 boutiques dans 85 pays du monde, dont 107 en France. Quelques dates clés[1] : |1976 |Olivier Baussan achète un alambic et produit de l’huile essentielle de romarin qu’il vend sur les marchés. C’est la création de | | |L’Occitane en Provence. | |1980

est l'Assommoir, débit de boissons tenu par le père Colombe. Le nom du marchand de vin est ironique, la colombe étant symbole de paix alors que le cafetier et ses boissons apportent la violence et le malheur chez ses clients. Au milieu du café, trône le fameux alambic, sorte de machine infernale dont le produit, un alcool frelaté, assomme ceux qui en boivent. Au fil du roman, l'alambic devient le monstre dévorant ses victimes. C'est cette machine qui va chaque fois enlever un peu plus de bonheur à Gervaise. D'abord

vapeur ». L'entraînement à la vapeur d'eau et l'hydrodistillation sont des procédés d'extraction ou de séparation de certaines substances organiques. Cette méthode apportée par les Arabes au IXe siècle s'accomplit traditionnellement dans un alambic. La méthode est basée sur l'existence d'un azéotrope de température d'ébullition inférieure aux points d’ébullition des deux composés purs pris séparément. - Hydrodistillation : C’est la distillation d’un mélange hétérogène d’eau et d’un liquide

distillation ? Le Cognac s’obtient par la distillation des vins blancs récoltés dans la zone d’Appellation d’Origine. Ces vins présentent un taux d’acidité élevé et sont peu alcoolisés. La distillation s’effectue en deux « chauffes », au moyen d’un alambic, dit « charentais », composé d’une chaudière de forme caractéristique, chauffée à feu nu et surmontée d’un chapiteau en forme de tête de maure, d’olive ou d’oignon, prolongé par un col de cygne se transformant en serpentin et traversant un bassin

l'Assommoir, débit de boissons tenu par le père Colombe. Le nom du marchand de vin est ironique, la colombe étant symbole de paix alors que le cafetier et ses boissons apportent la violence et le malheur chez ses clients. Au milieu du café, trône le fameux alambic, sorte de machine infernale dont le produit, un alcool frelaté, assomme ceux qui en boivent. Au fil du roman, l'alambic devient le monstre dévorant ses victimes. C'est cette machine qui va chaque fois enlever un peu plus de bonheur à Gervaise. D'abord

l'Assommoir, débit de boissons tenu par le père Colombe. Le nom du marchand de vin est ironique, la colombe étant symbole de paix alors que le cafetier et ses boissons apportent la violence et le malheur chez ses clients. Au milieu du café, trône le fameux alambic, sorte de machine infernale dont le produit, un alcool frelaté, assomme ceux qui en boivent. Au fil du roman, l'alambic devient le monstre dévorant ses victimes. C'est cette machine qui va chaque fois enlever un peu plus de bonheur à Gervaise. D'abord

Gervaise et Coupeau enterrent leur dernier espoir de vie heureuse. Décrit au début du couple comme terrifiant, l’Alambic devient la routine de Gervaise.
 «  Elle eut la curiosité d'aller regarder, au fond, derrière la barrière de chêne, le grand alambic de cuivre rouge, qui fonctionnait sous le vitrage clair de la petite cour. […]L'alambic, sourdement, sans une flamme, sans une gaieté dans les reflets éteints de ses cuivres. »
 Pour finir, le récit débute en Mai 1850, à Plassens puis à Paris, dans

alors à l'une des mille portes d'un immense laboratoire, hérissé d'appareils hydrauliques multiformes, tous beaucoup plus compliqués que les simples colonnes de la pluie et doués d'une originale perfection : tous à la fois cor-nues, filtres, siphons, alambics Ce sont ces appareils que la pluie rencontre juste-ment d'abord, avant d'atteindre le sol. Ils la reçoivent dans une quantité de petits bols, disposés en foule à tous les niveaux d'une plus ou moins grande profon-deur, et qui se déversent les uns

cinq dernières années, la production d’huiles essentielles s’est étendue à de nouvelles plantes pour satisfaire une demande en quête de nouveauté. Face à cela, il a été décidé de remplacer la première unité de distillation devenue vétuste par trois alambics afin d’augmenter considérablement les capacités de production. Connues depuis des millénaires, les essences de plantes étaient appréciées pour leur parfum et leurs vertus curatives par les grandes civilisations de l’Antiquité. De nos jours, elles

elle connait à partir de 1920 une extension sans précédent. On saisit en 1929 douze fois plus d’alambics clandestins (=appareil qui permet la distillation) qu’en 1913 ; la production moyenne annuelle estimée à 4 millions d’hectolitres. On trouve des alambics partout, et des copies d’articles de journaux que le gouvernement fédéral distribuait aux agriculteurs avant la Grande Guerre pour leur expliquer comment et quoi distiller. Chaque maison, chaque appartement, dispose en général dans la salle de bains