Alan Greenspan

achète ces crédits à la banque et émet des obligations pour les financer. Avec la faillite des « subprimes », de nombreux investisseurs tels que la Société Générale, BNP Paribas… se retrouvent avec de nombreux titres ayant perdu de la valeur. Alan Greenspan, l’ancien président de la réserve fédérale a fait remarquer que cette crise est la plus importante depuis un siècle. En effet, le contexte économique actuel n’est pas le même qu’en 1929. La doctrine économique des années 20 était celle de la déresponsabilisation

réglementation des taux d’intérêt.[3] Etant encore sous la pression du gouvernement, la Réserve Fédérale des Etats-Unis ne deviendra vraiment indépendante qu’après la Seconde Guerre Mondiale et sous les présidences de Paul Volcker (1979 – 1987) et d’Alan Greenspan (1987 – 2006). Cependant, aujourd’hui encore, sous la présidence de Ben Bernanke, l’indépendance de la Fed par rapport au gouvernement américain est parfois mise en doute. La Banque Centrale Européenne (BCE) a une histoire beaucoup plus récente

W. Bush au pouvoir et de ses co-équipiers idéologues ou affairistes a entraîné une explosion phénoménale de la production de ce type de « valeurs », les dettes [4], avec la bénédiction très active du président de la Réserve fédérale du moment, Alan Greenspan [5] : dette publique, dettes immobilières, dettes automobiles, dettes de cartes de crédit [6],... partout la dette s’est imposée comme le bien le plus « produit » par l’économie dite dominante. Et le reste du monde a continué de plus belle à acheter

propositions called monetarism does not fully describe the body of thought accepted by a loosely knit group of practicing economists any more than terms like Chicago, Cambridge or Austrian School describe the thought of all to whom the terms are applied Alan Meltzer The Structure of Monetarism (1998) Définition Le mot monétarisme apparaît tardivement (1968) grâce à Karl Brunner, qui en fait l'expression de trois axes de pensée : "Premièrement, les impulsions monétaires sont déterminantes dans les

désendetter des entreprises qui avaient beaucoup emprunté durant la phase de hausse boursière des 90’s. Mais les défaillances dans la gouvernance de certaines entreprises se sont traduites par une rechute des marchés. La confiance ne revenait pas. Alan Greenspan a décidé de poursuivre durablement une politique de relance. Les taux d’intérêt sont restés très longtemps à 1%. La monnaie étant bon marché à emprunter sur les marchés du crédit à court terme, les banques ont pu développer les nouveaux modèles

l'efficacité de cette dernière, peut, malgré son évidence apparente, s'avérer totalement inexistant. Le concept d'efficacité est donc un effet dont les causes sont trompeuses. L'exemple le plus frappant est celui que nous livre les économistes Alan S. Milward et Alan Greenspan qui affirment que le plan Marshall n'était pas la cause majeure de la reprise économique de l'Europe d'après guerre, mais qu'elle était due à la conjoncture post-guerre mondiale et aux politiques européennes de relance. On pourrait

consommation. Il faut souligner que dans la période faisant suite au fordisme, à cause de la moindre progression des salaires, le crédit à la consommation est devenu un moteur important de la consommation. Aux Etats-Unis la politique monétaire suivie par Alan Greenspan a permis de soutenir la croissance économique. Mais cela s’est fait au prix d’une augmentation très importante de l’endettement des ménages qui à été à l’origine de la crise financière de l’automne 2008. Le document 1 montre que dans tous les

l’éclatement de la bulle Internet en mars 2000 qui est une conséquence de l’ultra-libéralisation du système financier, et deuxièmement les attentats du 11 septembre 2001. Pour y remédier, le président de la Réserve Fédérale américaine (FED), Alan Greenspan, abaisse les taux d’intérêts à 1 %. Les investisseurs, qui avaient pour habitude d’acheter des bons du Trésor afin de faire fructifier leur argent, ne sont plus intéressés par ce mode d’investissement. Mais, de leur côté, les banques, elles,

plus importante baisse jamais enregistrée en un jour sur un marché d'actions) a été surmonté par Alan Greenspan (a été le président de la Réserve fédérale, la banque centrale des EtatsUnis). Le développement de la globalisation financière place le système financier international au cœur des mouvements tant de l’économie mondiale que des grandes économies nationales. Les marchés financiers dont Alan Greenspan a dénoncé « l’exubérance irrationnelle » à la fin des années 1990, ont une part de responsabilité

réellement porté par un trio de décideurs. Ainsi le trio Reagan, Thatcher, Greenspan sont les trois gros porteur du projet. Thatcher (Premier Ministre du Royaume-Unis de 1979 à 1990) et Reagan (président des Etats-Unis de 1981 à 1989) vont mener des politiques de déréglementation de leurs économies respectives, aussi bien dans la sphère réelle (transport, télécommunication) que dans la sphère financières. De plus Alan Greenspan (président de la FED de 1987 à 2006) va jouer un rôle important dans la