Alaouites

(les autres étant Zaki al-Arsuzi et Salah eddin Bitar). Au moment de la publication des deux documents, il est le Secrétaire General du Parti (poste qu’il occupa dès 1943). Aflaq est née à Damas en 1910 dans une famille assez aisé. Sa famille est alaouite et Orthodoxe Chrétien ce qui veut dire que lui il est un arabe chrétien. Entre 1922 et 1926, il a suivi ses études dans l’école Orthodoxe de Damas où il a eu trop de différences avec ses professeurs pour continuer est a donc été transféré par ses

destinés à lutter contre les hérésies. Nuyris : secte shi’ite aux origines obscures remontant peut-être au IXe s ,qui considérait Ali comme une incarnation de la divinité. Ses représentants installés en Syrie du Nord sont appelés aujourd’hui les Alaouites. Shari’a : Loi islamique fondée sur le Coran, contenant la Révélation prêchée par Mahomet et sur la sunna Shi’ites : partisans de Ali et de ses descendants, qui refusent d’admettre la légitimité des califes sunnites des dynasties umayyade et abbasside

successifs. Il est, après le roi Hassan II du Maroc, le chef d’État arabe qui est resté le plus longtemps au pouvoir. Cette longévité provient essentiellement du fait qu’il était soutenu par des minorités religieuses, dont la minorité religieuse alaouite. Il est aussi soutenu par beaucoup de fermiers et par les Syriens vivant dans les milieux ruraux. L’expansion de la bureaucratie a créé une classe moyenne qui reste fidèle au gouvernement. Mais l’essentiel de sa puissance venait de l’armée syrienne

1 Introduction Depuis que le général Hafez Al-Assad a pris le pouvoir par un cout d'état militaire en 1970, la Syrie a été dirigée par une dictature pour plus de la moitié d'un siècle. Elle est dirigée par la famille Assad, membres de la secte alaouite qui est un groupe ethnique et religieux. À la mort de Hafez Al-Assad, son fils Bachar succède son père et est élu président de la République par un référendum qui s'est tenu le 10 juillet 2000. Il promet de mettre en œuvre des réformes économiques

concerne les chrétiens non catholiques, on y retrouve les grecs orthodoxes, les syriaques monophysites, les assyriens, les protestants, les coptes orthodoxes et les chaldéens orthodoxes. Les musulmans se distinguent entre sunnites, chiites, druzes et alaouites. Toutes ces données nous montrent bien la multiplicité des religions au sein du Liban. b) La répartition des religions au niveau national (cf. annexe 3) Les différentes confessions se répartissent géographiquement au Liban. A travers

drapeau d’Israël), il faut rappeler que David, ou Daoud, est un prophète biblique, autant révéré par les juifs que par les musulmans. C’est donc sans gêne ni ambiguïté que les Mérinides se choisirent l’étoile à six branches pour emblème, puisque les Alaouites la conservèrent après avoir changé la couleur du drapeau pour le rouge, au XVIIème siècle. La monnaie en usage au Maroc conservera aussi, jusqu’au début du XXème siècle, l’étoile à six branches pour motif. Il faudra attendre le maréchal Lyautey,

Berbères au sud, va cependant subsister jusqu'à la conquête musulmane du Maghreb. Rôle des tribus au cours de l'histoire du pays Comme dans l'histoire de très nombreuses nations à travers le monde, aucune dynastie marocaine (des Idissides aux Alaouites) ne pourra s'imposer par elle-même. Toutes devront, pour étendre et asseoir leur influence géographique sur des périodes plus moins longues, passer des alliances (intéressées, religieuses, maritales, forcées, pacifiques ou négociées) avec les différentes

facilités dont L Souk Sghir est l’élément le plus marquant, et construiraient une muraille autours de la médina complotant cinq portes principales. Larache ne se libérait de l’occupation espagnole qu’en 1989 par Moulay Ismaïl sultan de la dynastie Alaouite qui a construisait son palais Dar Almaghzen à la place Dar Almaghzen derrière la kasbah Le sultan Moulay Mohamed Ibn Abdellah à son tour au 18 eme siècle donnait une grande importance à la ville de larache, vue l’importance de son port sur le plan

construction éphémère. Les règnes prennent la forme d’une occupation militaire d’un royaume soumis en permanence aux menaces. En 1912, le protectorat, tout en garantissant l’intégrité du pays, paralyse les monarques. « Ainsi, écrit H. Terrasse11, les Alaouites dont les jours étaient comptés eurent-ils le privilège, grâce à la protection française, de commencer, par la plus inattendue des reviviscences, une nouvelle carrière » L’obsédant modèle de la servitude perdure-t-il ? Privés de mouvement et de baraka

l’insurrection, situés dans les montagnes du nord, autour de la cité de Saada, population très éloignée de la capitale et généralement oubliée des promesses présidentielles, les Houthistes, de religion zaydite, proches du chiisme (à l’instar des Alaouites de Syrie), réclament une république islamique propre de toute corruption et de tout compromis avec « le grand et le petit Satan », les États-Unis et Israël (ils en retirent de fait une grande popularité au Yémen).   Sanaa, février 2012 - © photo Pierre