Albert de Broglie

Albert Einstein 1 Albert Einstein Albert Einstein Albert Einstein en 1947 Naissance 14 mars 1879 Ulm (Allemagne) 18 avril 1955 (à 76 ) Princeton (États-Unis) Allemand (1879–1896 et 1914–1933) Suisse (1901–1955) Autrichien (1911–1912) Américain (1940–1955) Einstein a été apatride, et a eu plusieurs fois une double nationalité Physique, philosophie École polytechnique fédérale de Zurich Ses travaux sur la relativité, la nature corpusculaire de la lumière, et son influence au-delà du monde

irresponsable). Loi de 73 précise que le président ne pouvait s’exprimer devant le parlement ; car les républicains avaient Tiers et les monarchistes qui avaient peur que Tiers entrainent le parlement vote des lois républicaines et donc le Duc de Broglie a fais voter cette loi pour neutraliser Tiers. Procédure appelé : le cérémonial chinois. o Il négocie et ratifie les traités ; il en donne connaissance au chambre aussitôt que l’intérêt et la sureté de l’état le permet. Intérêt : être

Sacré-Cœur) sur la butte Montmartre). {draw:a} {draw:a} Patrice de Mac Mahon Mac Mahon, dont l'ambition politique semble se limiter au retour du roi n'assume que la fonction de chef de l'État et laisse la tâche de gouverner à Albert de Broglie, duc de Broglie (prononcer « Breuil »), descendant d'une des plus puissantes familles aristocratiques de France. Le retour du roi semble imminent après une rencontre entre Henri d'Artois et Philippe d'Orléans) mais d'Artois refuse toujours de renoncer

alors être responsable devant la nation pour tenter de légitimer cette révocation. Le même jour, Mac Mahon nomme Albert de Broglie président du Conseil, qui forme un ministère de droite, d'ordre moral, dit « ministère du 16 mai ». Ce dernier prend alors des mesures très autoritaires, il ajourne notamment la chambre pour un mois. Dès son retour, la chambre affirme que le ministère de Broglie n'a pas la confiance des députés, ce qui revient à le renverser. Cependant, le jour même, Patrice de Mac Mahon

de ne pas respecter le pacte de Bordeaux et décident de se débarrasser de lui. Le 24 mai 1873, mis en minorité à l'Assemblée, il démissionne. Il est immédiatement remplacé par Mac Mahon qui appelle de Broglie, leader des orléanistes, pour former un gouvernement. 3. A peine installé le cabinet Broglie révoque ou remplace une vingtaine de préfets républicains et s'engage dans la voix d'une politique dite d' « ordre moral ». Il s'agit de défendre la hiérarchie sociale, la place des élites traditionnelles

aller vers les républicains conservateurs. Certains diront par opportunisme. Thiers se met alors à dos tous les monarchistes qui pèsent. Début 1873, les monarchistes sont encore dominant alors ils vont adopter une loi du 13 mars 1873, dite loi De Broglie qui prolonge la constitution Rivet et qui a un double objectif : limiter le plus possible l'influence de Thiers et pr cela, il faut limiter ses possibilités d'entrée en contact avec la chambre. Il est précisé que le pdt ne peut en principe entrer

Thiers par un grand seigneur libéral, le duc Albert de Broglie, un orléaniste. Idée de se débarrasser de ce président trop encombrant. Thiers cesse d’être indispensable et risquant d’être l’otage des radicaux. L’assemblée décide de réduire les pouvoirs de Thiers. Le 24 Mai 1873, vote hostile des députés envers Thiers qui choisit de présenter sa démission en se disant qu’il est indispensable de toute façon et que les députés le rappelleront. Or, de Broglie et Mac Mahon le remplacent à la présidence

1872 un discours à l’Assemblée nationale : « la République est le gouvernement légal du pays. Vouloir autre chose serait une nouvelle révision et la plus redoutable de toutes ». De manière à soumettre le président, l’Assemblée adopte la loi « de Broglie » du 13 mars 1873 (que Thiers surnomme la « Loi Chinoise », en fonction de sa complexité). Le but était de rendre plus rare les interventions du président devant l’assemblée, par une réglementation très stricte. Les messages du Président devraient

d’ouvriers (Albert de Mun, René de la Tour du Pin) - création de l’Ecole libre des sciences politiques par Emile Boutmy 1872 - service militaire obligatoire pour tous (cinq ans) - discours de Léon Gambetta sur les « couches nouvelles » (à Grenoble) - Thiers : « la République sera conservatrice ou ne sera pas » (le régime « qui nous divise le moins ») 1873 - les dernières troupes allemandes quittent la France - la loi Rivet est révisé - Thiers est renversé par le duc de Broglie et le maréchal

républicains remportent 360 des 500 sièges à pourvoir. Le conflit entre le président Mac-Mahon, un monarchiste et l’assemblée est inévitable. le 16 mai 1877, Mac-Mahon renvoie le président du Conseil, Jules Simon, républicain modéré et le remplace par Albert de Broglie, un royaliste. Il est mis en minorité par 363 voix républicaines, et Mac-Mahon fait dissoudre la chambre. Cet épisode est connu sous le nom de crise de 1877. Une campagne électorale agitée s'ensuit opposant les monarchistes aux républicains.