Alcandre

cette scène soulever plusieurs éléments baroques. On relève tout d’abord la mise en abîme, cette tragédie étant seulement une pièce de théâtre jouée par Clindor et les autres, à l’intérieur de la pièce de théâtre englobant le tout (avec Primadant et Alcandre). Ce « théâtre dans le théâtre » fait prendre du recul au lecteur, la tragédie devenant alors une tragi-comédie, vu que la pièce finale se termine bien, la fin tragique n’étant que la fin de la pièce de théâtre interne à l’Illusion Comique. Ensuite

les différents sentiments tout au long de l’œuvre en oposition avec le Classicisme, mouvement au qu’elle à partien également Corneille avec Horace en 1640, Cinna en 1641 . Dans son œuvre L'illusion comique Corneille met en jeux un père consultant Alcandre un mage sur le sort de son fils qui a disparu, l'homme lui montre son fils, comédien, jouer sa vie. Dans l'acte IV scène 7 Clindor fais une longue réplique révélant les sentiments du personnage envers Isabelle. On peut se demander en quoi ce monologue

carrière littéraire de son auteur puisqu’après l’avoir écrite, Corneille n’écrira plus que des tragédies (sauf Le Menteur, 1643). Un père (Pridamant) cherche son fils qu'il n'a plus vu depuis 10 ans, il sera amené dans la Grotte d'un magicien (Alcandre) qui a énormément de pouvoir comme celui de lui montrer la vie de son fils durant le temps où il ne l'a plus vu. Bien que cette pièce relève principalement du théâtre baroque, certains passages sont teintés d’une couleur fortement tragique qui

l’on ne nous laisse que trop peu deviner. Le nom de Merlin, contrairement au nom des autres personnages n’est pas très courant dans les comédies de Marivaux. Il montre le côté enchanteur, de celui qui trompe et fait illusion, tout comme le magicien Alcandre trompe le père grâce au même procédé de mise en abîme, dans l’Illusion comique, de Corneille, parut un siècle plus tôt.

voire du merveilleux : Cette pièce est faite d’illusions, de par l’illusion que des personnages se font d’eux-mêmes (ex : Matamore se croit tout puissant), et des autres (ex : Matamore croit qu’Isabelle est sous son charme), par l’illusion créée par Alcandre pour Pridamant (qui fait apparaitre des fantômes vains) et par l’illusion que Corneille se fait lui-même de cette société dont il se moque. * A travers ces caractéristiques, nous remarquons bien que le genre baroque est totalement présent

pas le spectateur. • Le spectateur sait en effet que se prépare l’évasion de Clindor : il ne peut donc pleinement partager ses angoisses. • De la même façon, Pridamant est trop inquiet pour prêter attention aux propos rassurants que lui tient Alcandre qui lui dit que son fils est en vie. Mais le spectateur, lui, sait bien que le dénouement de la pièce sera heureux DEUXIÈME QUESTION : LA FANTAISIE VERBALE Définition du mot « fantaisie » : - au sens premier et ancien, est « fantaisie » toute

pourquoi, dans l’objectif de satisfaire les plaisirs du roi et de le divertir, Molière met au point ce théâtre « complet » en 1661. Corneille fait également apparaître un autre art dans l’Illusion Comique, celui de la magie. Les pouvoirs que détient Alcandre le magicien, font naître un émerveillement chez le spectateur qui peut s’échapper de la réalité. En effet, il est transporté dans un autre univers où l’utilisation de la magie est possible. Ce « plaisir théâtral », est également suscité à travers

- Selon vous le théâtre est-il seulement un art de l'artifice ? Le théâtre est d’abord une sorte de divertissement pour que le public : -L’Illusion comique -Alcandre  : magicien Le Dragon est une pièce de théâtre du dramaturge russe Evgueni Schwartz -Le Roi Cerf, de Carlo Gozzi -La tragédie de Macbeth -Le Songe d’une nuit d’été féérique et fantastique, -La Tempête de shakespeare I) Le théâtre est d’abord un divertissement qui doit provoquer des émotions sur le public Comme

s’autorise notamment une certaine liberté envers les règles des trois unités : Tout d’abord cette tragi-comédie compte plusieurs intrigues et même plusieurs niveaux de représentations : on distingue un premier niveau qui est celui de la scène entre Alcandre et Pridamant qui sont à la fois personnages et spectateurs, un second niveau qui est celui qui relate les aventures de Clindor, Matamore , Isabelle, et Adraste… Et enfin un troisième niveau qui est celui de la fausse tragédie de l’acte V. L’unité

II-Réactions opposées : 1-Père dans l’illusion :  Il éprouve de la compassion « Hélas, mon fils est mort ! », mais c’est aussi une exagération car Clindor a été seulement arrêté.  Le père est un spectateur passif submergé par les sentiments 2-Alcandre : Pouvoir et savoir  Commente dans une situation de supériorité la réaction du spectateur « un peu de patience », figure d’un philosophe qui dicte la conduite du père te donc du specateur