Alcôve

maison. Sur la cheminée est peinte la célèbre devise nulla dies sine linea (pas un jour sans une ligne). Sur la cheminée est également posée une grosse pendule noire rendue célèbre par le tableau de Cézanne (Nature morte à la pendule noire). Devant une alcôve éclairée par un vitrail, se trouve la première table de travail de l’écrivain ; avec un grand fauteuil tapissé de cuir et décoré de la devise des Hautecoeur, les personnages du Rêve (16ème tome). Parmi les éléments qui meublent la pièce : une Vénus

amitié L’acte II se situe dans les appartements de la Comtesse, comme l’indiquent les didascalies initiales  : «  Le théâtre représente une chambre à coucher superbe, un grand lit en alcôve, une estrade au-devant ». Il s’agit d’un lieu féminin, intime  : la chambre de la comtesse. C’est par ailleurs un lieu clos. La comtesse prend en effet soin de dire à Suzanne : «  Ferme la porte »

on sentait le détraquement cérébral, le cauchemar doré et voluptueux d'une ville folle de son or et de sa chair. Jusqu'à minuit, les violons chantaient ; puis les fenêtres s'éteignaient, et les ombres descendaient sur la ville. C'était comme une alcôve colossale où l'on aurait soufflé la dernière bougie, éteint la dernière pudeur. Il n'y avait plus, au fond des ténèbres, qu'un grand râle d'amour furieux et las ; tandis que les Tuileries, au bord de l'eau, allongeaient leurs bras dans le noir, comme

passent au chateau d’Aguas Frescas, a trois lieues de Seville. Acte I : « Le théâtre représente une chambre à demi démeublée ; un grand fauteuil de malade est au milieu. » Acte II : « Le théâtre représente une chambre à coucher superbe, un grand lit en alcôve, une estrade au-devant. La porte pour entrer s'ouvre et se ferme à la troisième coulisse à droite, celle d'un cabinet, à la première coulisse à gauche. Une porte, dans le fond, va chez les femmes. Une fenêtre s'ouvre de l'autre côté » Acte III : «

gravité, vous insultez une main qui ne le mérite pas, sachez qu'elle a appartenu à un homme fort bien élevé." Le propriétaire tourna les talons et sortit comme il était entré. Pierre le suivit, décrocha sa main et l'attacha à la sonnette pendue dans son alcôve. "Cela vaut mieux, dit-il, cette main, comme le "Frère, il faut mourir" des Trappistes, me donnera des pensées sérieuses tous les soirs en m'endormant." Au bout d'une heure je le quittai et je rentrai à mon domicile. Je dormis mal la nuit suivante

c’est dans tous les cas la rancœur amoureuse qui a ici guidé la plume du poète. Charles Baudelaire : « Remords Posthume » Lorsque tu dormiras, ma belle ténébreuse, Au fond d'un monument construit en marbre noir, Et lorsque tu n'auras pour alcôve et manoir Qu'un caveau pluvieux et qu'une fosse creuse; Quand la pierre, opprimant ta poitrine peureuse Et tes flancs qu'assouplit un charmant nonchaloir, Empêchera ton cœur de battre et de vouloir, Et tes pieds de courir leur course aventureuse

évidence les caractéristiques si particulières du lieu où repose Clarimonde. Il s'agit d'une chambre mortuaire bien réelle où l'on peut trouver une veilleuse, des rideaux, des tentures, un linceul, un suaire ; nous apprenons que la morte repose dans une alcôve (ligne 16) – « air d’alcôve » - placée sur une estrade ; cette chambre semble être spacieuse car le narrateur déclare qu’il marchait à grand pas dans la chambre (ligne 17). Nous savons que cette chambre se situe dans le château de Clarimonde, laquelle

connait deux techniques principales à l'époque romane, il s'agit des émaux cloisonnés et des émaux champlevés. L'émaillerie cloisonnée consiste à déposer sur une fine plaque d'or des cloisons métallique (en les soudant). On obtient des petites alcôves dans lesquelles on dépose la poudre de verre (qu'on passe ensuite le tout à la cuisson …). Les émaux champlevés, eux, nécessite une plaque de cuivre ou de bronze plus épaisse, l'émailleur creuse des cavités dans la plaque (c'est pourquoi elle doit

social ne epousant Madelaine et en devenant Georges du Roy de Cantel. Quant enfin il obtient tout ce qu’il voulait d’elle il la quitte e c’est en se mariant avec Mlle.Walter qu’il atteint le sommet dusucces. Gravir les échelons en passant par les alcôves, telle est l'ambition de Georges Duroy, séducteur cynique, ambitieux, sans scrupules. Georges Duroy qui devient la parfaite représentation de cet univers impitoyable constitué de mondanités, d’anoblissement frauduleux, d’adultère. Tout devient simple

nécromancie, pratiques divinatoires diverses, etc.) 6. Fatidique : Qui est marqué par le destin. 7. Propitiatoire ? 8. Vespéral : Du soir. 9. Vivacité physique : Actif, agilité 10. Insolite : Etrange, anormal 11. Puéril : Enfantin 12. Alcôve : Chambre 13. Bélinogramme : Photographies 14. Téléscripteur : Appareil d’impression à distance. J. Narratologie Narrateur en « je », narrateur personnage de la nouvelle. Omniscient. Le narrateur utilise un flash-back.