Alcuin

le père de l’Europe ». ●A cette époque, Europe désigne une unité de culture et une unité politique. Les auteurs carolingiens vont assimiler l’Europe à l’empire. Plus précisément, l’Europe désigne l’empire chrétien de Charlemagne. Expl : Selon Alcuin l’Europe est désignée comme « le continent de la foi ».  Plus d’apparitions du terme Europe. La situation va évoluer au fur et à mesure que l’empire commence à se disloquer. ● Dès le règne de Louis le Pieux, l’unité politique de l’empire est

Augustin : il fait les louanges des premiers empereurs chrétiens, il défend l’idée d’Empire. Empire qui se veut universel, et un empire qui ne pourra que protéger la chrétienté occidentale. Volonté sous la plume de nombreux d’hommes d’Eglise dont Alcuin vers 798 utilise l’expression « Imperium christianum » = Empire chrétien. Proche conseiller de Charlemagne et défend l’idée que Charlemagne, maitre de presque toute la chrétienté occidental doit être plus qu’un roi : Empereur pour mieux assurer la

(saint chrême). Le sacre royal est introduit par Pépin le Bref. Il aura pour conséquence le pouvoir royale à l’origine divine. * Une monarchie au service de la religion chrétienne Le roi va s’entourer de plusieurs membres du Clergé, dont l’Evêque Alcuin. Lutte contre le mal, contre le pêcher. Le roi Doit gouverner mais aussi surveiller l’Eglise. On parle d’une théocratie. Le rôle du roi ne consiste pas seulement à gouverner les citoyens mais de leur donner une condition favorable à leur salut. Le

désigne donc une unité de culture et une unité politique ; on constate alors que les chroniqueurs carolingiens vont assimiler l'Europe a l'empire et plus précisément chez les carolingiens, l'Europe désigne l'empire chrétien de Charlemagne. Selon Alcuin, maitre de l'école du palais (chef de l’université), l'Europe est le "continent de la foi" ; mais la situation va encore évoluer au fur et a mesure que l'empire commence à se dégrader, a se disloquer. Dès le règne du roi Louis Le pieux (814-840) les

Charles, par son prestige atteint un sommet dans le pouvoir et renoue avec celui dans ancien empereur. – Le contexte politique de l'époque est très favorable qui a été explique dans une lettre écrite par l'un des principaux conseillé de Charlemagne, Alcuin, un moine brillant qui appelle Charles à devenir empereur pour plusieurs raisons : le charisme et la situation de l'église qui est assez difficile car Léon III a subit une élection difficile puisqu'il ne vient pas de grande famille romaine. Charles

mérovingiens (sénéchal, connétable, bouteiller, chambrier = c'est à dire gardien de la camera, ou trésor royal) ; comte du palais jugeant en dernière instance les appels venus de partout. Autour d'eux : un petit noyau d'intellectuels forment l'Académie (Alcuin ; Théodulfe, etc.) Cour composée de vassaux royaux, de barons laïcs et surtout de jeunes gens, fils des comtes et des plus grands vassaux nourris et logés au palais (les nutriti), venus pour de longs séjours d’apprentissage qui faisaient de la cour

nous disions ceci : 1o  Je suis (absurdement peut-être) tourmenté par un sentiment de « responsabilité civile » ; 2o Je n’admets qu’on propose à l’homme que des objets de jouissance, d’exaltation, de réveil, (Qu’est-ce que la langue ? lit-on dans Alcuin. – C’est le fouet de l’air.) En conséquence : pas d’étalage du trouble de l’âme (à bas les pensées de Pascal). Pas d’étalage de pessimisme, sinon dans de telles conditions d’ordre et de beauté que l’homme y trouve des raisons de s’exalter, de se féliciter

chrétien et franc avant d'être un empire romain. Il véhicule un autre idéal avec un nouvel objectif qui va être assigné. B.Le « ministerium regis » et la théocratie royale A partir des carolingiens il va y avoir des penseurs politiques . Parmi eux Alcuin abbé de St martin de Tours et est conseiller principal de Charlemagne. Selon lui le roi est « vengeur des crimes correcteur des erreurs et pacificateur. D'autres penseur : Jonace d'Orléans , Agobard de Lyon qui sont les conseillers de Louis le Pieu

le terme d’Europe désigne une unité de culture et une unité de politique et on remarque que les auteurs carolingiens vont alors assimiler l’Europe à l’empire. Plus précisément l’Europe désigne pour eux l’empire chrétien de Charlemagne. Ainsi selon Alcuin qui était théologien, l’Europe est « le continent de la foi ». La situation va évoluer car au fur et à mesure que l’empire commence à se désagréger à partir du règne de Louis Le Pieux qui était le fils et successeur de Charlemagne puisque l’unité

nous disions ceci : 1o  Je suis (absurdement peut-être) tourmenté par un sentiment de « responsabilité civile » ; 2o Je n’admets qu’on propose à l’homme que des objets de jouissance, d’exaltation, de réveil, (Qu’est-ce que la langue ? lit-on dans Alcuin. – C’est le fouet de l’air.) En conséquence : pas d’étalage du trouble de l’âme (à bas les pensées de Pascal). Pas d’étalage de pessimisme, sinon dans de telles conditions d’ordre et de beauté que l’homme y trouve des raisons de s’exalter, de se féliciter