Alep

étranger. Juste avant de se donner la mort, d’ailleurs, alors qu’il a compris son erreur irréparable, Othello admet que cet structure identitaire de l’étranger sanguinaire est tout ce qu’il reste de lui : Et dites en outre qu’un jour, dans Alep, Alors qu’un Turc malveillant et enturbanné Battait un Vénitien, et dénigrait l’État, Je pris par la gorge de chien circoncis, Et le frappai ainsi. (V, 2, 335-338) Ainsi, selon cette perspective

2 900 872(2009) | Mexique | 151 |   | Mogadiscio | 2 889 232 (2010) | Somalie | 152 |   | Saint-Louis | 2 879 924 (2010) | Etats-Unis | 153 |   | Mashhad | 2 868 350 (2008) | Iran | 154 |   | Lusaka | 2 851 411 (2009) | Zambie | 155 |   | Alep | 2 840 622 (2008) | Syrie | 156 |   | Shijiazhuang | 2 831 193 (2010) | Chine | 157 |   | Taiyuan | 2 782 594 (2010) | Chine | 158 |   | Kaohsiung | 2 777 765(2009) | Taïwan | 159 |   | Zibo | 2 766 824 (2010) | Chine | 160 |   | San Juan

et les détroits à la recherche de nouveaux débouchés pour leurs productions. Il y eut des inscriptions gravées en phénicien dans presque tous les pays du pourtour méditerranéen, et cela à partir du IX° siècle av. J.C. sur des monuments à Chypre et à Alep, dès le VIII° siècle en Anatolie et en Sardaigne, puis en Mésopotamie, en Grèce, en Italie, en Espagne, en Egypte. Le plus important transfert s'effectua avec le passage de cet alphabet aux Grecs. Ces derniers, ayant perdu l'usage de l'écriture avec

« naturelle » (de la Cilicie au Sinaï et du littoral méditerranéen à Mossoul) tandis que les Britanniques - d’après l’accord signé en 1915 avec le chérif Hussein de La Mecque, que nous présenterons ultérieurement - réservent les villes de Damas, Homs, Hama et Alep au chérif en échange de la Palestine, ce qui limite la zone française au nord de la Syrie. La France accepte les arguments Britanniques concernant les quatre villes mais refuse la domination Britannique en Palestine et exige l’internationalisation

de changement. Le système d’enseignement supérieur s’est beaucoup développé au cours de ces dix dernières années. Avant l’année 2000, il se composait de quatre universités publiques implantées sur quatre villes syriennes (Damas, Lattaquié, Homs et Alep). Nous 6 7 recensons aujourd’hui près de vingt universités publiques et privées repartissent dans les différentes villes du pays. Les effectifs des étudiants se sont également augmentés. On est passé de 221.297 étudiants en 2001-2002 à 550.172 en 2008-2009

II le Conquérant ; traités commerciaux entre Venise et le sultan. Conquête de Trébizonde et de la Morée par les Ottomans. • 1479-1481 : séjour de Gentile Bellini à la cour de Mehmet II. • 1516 : victoire des Ottomans sur les Mamelouks. Ils occupent Alep et Damas. • 1517 : conquête ottomane du Caire. • 1520-1566 : règne de Soliman le Magnifique qui s’empare de l’Irak, du Yémen et, grâce à ses corsaires, de l’Afrique du Nord à l’exception du Maroc. • 1535 : Alger est au pouvoir de Barberousse envoyé

de changement. Le système d’enseignement supérieur s’est beaucoup développé au cours de ces dix dernières années. Avant l’année 2000, il se composait de quatre universités publiques implantées sur quatre villes syriennes (Damas, Lattaquié, Homs et Alep). Nous 6 7 recensons aujourd’hui près de vingt universités publiques et privées repartissent dans les différentes villes du pays. Les effectifs des étudiants se sont également augmentés. On est passé de 221.297 étudiants en 2001-2002 à 550.172 en 2008-2009

répandre dans tous l’Orient. En commençant par La Mecque à la fin du XVéme siècle, lieu vénérer de l’Islam, ce qui permit à de nombreux musulmans en pèlerinage d’apprécier ce nectar prodigieux. Il fut ensuite exporter à Médine puis au Caire, à Damas, Alep pour enfin arrivé à Constantinople, nouvellement nommé Istanbul, au milieu du XVIéme siècle, grâce à deux Syriens. Ecoutons comment le café arriva en Turquie, histoire racontée par Lucette CHABOUIS, dans son livre Le Livre du Café. [Lorsqu’en

les provinces arabes. Ils se succèdent dans les années 1915- 1916. Le génocide des Arméniens en premier lieu, qui donne lieu à un afflux de réfugiés dans l’ensemble de la région et à l’installation d’une partie des survivants dans des villes comme Alep, Beyrouth ou Jérusalem. La famine au Liban, qui est à la fois causée par une invasion de sauterelles destructrices de récoltes et par la politique de réquisition orchestrée par le gouverneur ottoman Jamal Pacha. Enfin, la vague de pendaisons en

arabo-musulman. Communautés samaritaines attestées à différentes époques : Palestine/Israël : Naplouse, Gaza, Holon, Ashkelon, Jérusalem, Césarée, Tibériade, Bethléem Égypte : Alexandrie, Le Caire, Al Fayoum, Hermopolis, Éléphantine Syrie : Damas, Alep Liban : Beyrouth, Tyr, Tripoli, Sidon Perse Macédoine Rome L'époque moderne[modifier | modifier le code] Dans la seconde moitié du XIXe siècle, les Samaritains ne sont plus qu'environ 120, puis 146 en 1917[1]. Leur avenir semble menacé par