Aliénation Et Autrui

à tous, n'obéisse pourtant qu'à lui-même et reste aussi libre qu'auparavant" (Rousseau : Du Contrat Social, L. I. Ch. VI)   Quelles sont les conditions de ce contrat : Aliénation absolue (1) et unanime (2) des  libertés  naturelles  au  profit d'une liberté sous les lois, réciprocité des engagements (3) : (1) "Aliénation totale de chaque associé avec tous ses droits à toute la communauté : car premièrement, chacun se donnant tout entier, la condition est égale pour tous ; et la condition étant

Naturellement, la sexualité est à la fois sublimée et sordide, cérémonieuse et crue. Le drame des Bonnes peut se lire comme une métaphore de la sexualité. Il peut donc se lire comme une métaphore du théâtre lui-même, jeu perpétuel de l'autre, lieu de toute aliénation. ETUDE DE TROIS MOMENTS DU DRAME 1 - L'entrée en jeu * Elle comporte cinq phases : * Avant le jeu : se prépare ici l'entrée en scène de Solange dans le rôle de Claire * Le début du jeu : Madame est hautaine et agressive. Claire

Sigaut illustrent les trois formes d’aliénation : * Mentale (égo / réel-autrui) * Sociale (autrui / égo-réel), le travailleur est incompris et suivant sa personnalité, cela le conduit à une dépression ou une paranoïa * Culturelle (réel / autrui-égo), le travail est effectué dans des conditions fictives, le réel est devient une fiction. L’aliénation sociale dont souffrent les salariés est souvent due à une aliénation culturelle dont souffre la hiérarchie. Le jeu et la pulsion de savoir :

de la raison ? Par essence même la raison est une faculté d’ordre. 4) Mettre en évidence le problème soulevé par le sujet (problématique) La raison qui vient du latin « ratio » signifiant calcul s’emploi à rechercher ce qui est juste pour autrui autant que pour soit et cela lui donne un caractère d’universalité. Alors si la raison est universelle, cela signifie-t-il qu’on doive tout soumettre à sa règle ? B) Développement 1) Thèse Il parait légitime de tout soumettre à la

de passer. En effet, on vit dans une société dans laquelle le devoir moral implique de devoir en permanence se soucier de l'autre ce qui devient une entrave à notre liberté. De Montaigne en avait glisse un mot en disant ceci:«Vivre par relation à autrui». À la lumière de ce qui précède, la liberté désigne la possibilité d’agir à sa guise, selon ses propres choix, en ne subissant aucune domination étrangère. D’après cette définition, un Homme libre agit donc entièrement selon sa volonté. ''L’être

répercussions. Or ce que je considère d’abord comme une forme de contrainte, à savoir les lois, ne me permettent-elles pas d’agir en connaissance de cause et donc d’être libre au sens de responsable ? Si les lois sont des auxiliaires à la liberté, autrui qui habite mon environnement culturel, ne constitue-t-il pas un obstacle à la responsabilité ? Si les lois posent des cadres fixes rassurants, parce que prévisibles, les réactions d’autrui sont contingentes. Ainsi les conséquences de mes actes qui

liberté au profit de l’Etat, pour assurer sa sécurité. Donc, l’homme fait un échange : sa liberté pour sa sécurité. En effet, pour lui « L’homme est un loup pour l’homme » et donc on ne doit pas confier en autrui. La vision de Hobbes et de Marx son similaires, mais le premier voit cette aliénation comme quelque chose de positif alors que Marx est totalement en contre, parce qu’il croit dans la bonté de l’homme. En effet, « Nul est censé ignorer la loi ». Dans le domaine légal, il n’y a pas d’exceptions

penser : un fardeau bien pénible (Kant) 12 D. L’aliénation 13 1. L’inconscient (Freud) 13 2. L’aliénation économique et sociale (Marx) 13 3. La version existentialiste de la théorie de l’aliénation (Heidegger, Sartre) 14 4. Toute conscience est aliénation (Nietzsche) 15 5. Comment se libérer de l’aliénation ? 15 6. Critique de la théorie de l’aliénation 15 III. Liberté et déterminisme 16 A. Liberté et déterminisme s’opposent 16 1. La liberté comme acte gratuit (Gide) 16 2. La liberté comme initiation

l’argument de Foucault qui parlait d’un phénomène de prise de corps par la médecine dès les années 1970. Constatant les injonctions d’une médecine sommant l’individu d’obéir a ses recommandations , Foucault se demandait si cela ne menait pas a une aliénation de soi même. Tout ces principes traduisent le principe d’ « unité de la personne de la personne et de son corps » qui rend ainsi illicite toute convention sur le corps humain que ce soit en vue d’un prêt , d’une location ou d’un don ». Le corps

de commettre certains actes. Mais si la liberté que la loi me fait perdre est évidente, il faut avoir conscience aussi de la liberté que me donne la loi. La loi m’empêche par exemple de nuire à autrui, ce qui est une restriction de ma liberté, mais elle empêche aussi (en tout cas si elle est juste) à autrui de me nuire. Je perds en liberté, mais je gagne en sécurité. Sans la loi, ce serait l’état de nature, la « loi de la jungle », l’anarchie, peut-être la guerre civile. Je serais absolument libre