Alliterations

revendiquée que Ronsard cherche à séduire Ronsard. La fiction poétique repose tout d'abord sur une invitation visible par un impératif « allons voir ». Cette initiation semble tout d'abord anodine, désintéressée. On peut le voir par la douceur des allitérations en m, n, s ainsi que des assonances en o dans les quatre premiers vers. Le rythme y est vif, entraînant avec deux syllabes dans le vers1. Le poète s’efforce ensuite de séduire la jeune femme grâce à une comparaison flatteuse et élogieuse. Pour

est présenté comme un element difficile a supporter : Chps lexical de la chaleurs Chaleur combiné a l'humidité : Chps lexical de l'eau De 9 à 11 : allitération en ''g'',''t'', ''d'' => scande la chute des gouttes et la rend presque palpable qui met en evidence l'effet de reel rythme ternaire 14-15 => creshendo montre l'intensité et les conséquence de cette chaleur

qui foudroie au v.6, celui qui est à l’Eté et au Midi de sa vie au v.4, sorte de coup de tonnerre marqué par les allitérations en « que » v. 4 à 6. Elle est vue comme l’épouse aimée et il évoque les frémissements de l’amour, elle est associée métaphoriquement à la savane qui frémit (v.9) et gronde sous les caresses amoureuses (le tamtam) les frémissements sont associés aux allitérations en « Fr », en « v », soufflantes. 4e strophe : évocation du temps qui passe, le destin de la femme, vieillissement

l'effroi. 1. Le champ phonique : a : rime riche.  B : rime suffisante. c : rime riche. D : rime suffisante. e : rime riche. Rime incluse F : rime riche.   Rime incluse j : rime riche (ai/z/e) Allitération en s au vers 3, 7, 11 et 13 Allitération en v au vers 9 et 11 Allitération en r au vers 7 Assonance en a au vers 10, 12 et 13   2. Le champ morpho-syntaxique : Inversion au vers 1 et 2 : Comme les angles à l’œil fauve, Je reviendrai … Normalement, on dit : je reviendrai comme

le danger pour le marin, c'est lacôte; ici, elle est des deux côtés, le navire y est enfermé comme "dans un canal». Cette côte est d'ailleurs particulièrement inhospitalière, elle ne promet que la destruction ; le rythme ternaire et la légère allitération le soulignent à merveille: « hérissées/ de rochers». Mais il y a plus grave: ce sont les bas-fonds qui apparaissent de manière menaçante dans leurs couleurs variées sous la surface "huileuse et vitreuse des vagues». Le navire est donc bien exposé

(longueur des vers, enjambements, peu de ponctuation, assonances et allitérations,…) - Jeu sur les sonorités et effet : Dans la première strophe, il y a une assonance en « i ». Dans la seconde, il y a une allitération en consonnes occlusives (« c », « p »,…). Dans la troisième strophe, on retrouve une assonance en « a ». Dans la quatrième strophe, il y a une allitération en « r ». Dans la sixième strophe, il y a une allitération en « p » et dans la dernière, une assonance en « è ». Une strophe

sable.» g. La comparaison: h. L'oxymore: «l'obscur clarté» Exercice: «legal le goût» : Paronasme «Le cognac c'est le cognac» : Tautologies «Dub, dubon, dubonnet» : Gradation «Cracotte = je craque» : Allitération «Chaussez vous chou, chic et pas cher» : Allitération «Drakkar noir : la douce violence d'un parfum d'homme» : Oxymore «twixx deux doigts coupe faim» : Métaphore «L'intelligence a besoin d'espace, l'espace à besoin d'intelligence» : Chiasme «La petite géante

page qui donnerait presque une impression d'écoulement, écoulement accentué par le fait qu'il n'y a pas de ponctuation qui ralentisse la lecture. Cette fluidité s’avère de surcroît « musicale » dès les premiers vers avec des allitérations en s et en l, cette dernière allitération « liquide » se retrouvant au vers 10, ou encore aux vers 15 et 16. Mais loin d’être « légère », cette fluidité est au service du souvenir d’un amour disparu. De même, on remarquera la présence dans chaque quatrain de trois

composée de métonymies : "Les tuyaux" pour les cheminées des usines, et "les clochers" pour les édifices religieux. Le terme "Mât de la cité" est une métaphore qui assimile la ville à une gigantesque nef, évoquant ainsi le monde des voyages. Les allitérations et les assonances créent la musicalité. Le terme "Les ciels" appartient au vocabulaire pictural. "Qui font rêver l'éternité" : les lignes verticales montrent le mouvement ascensionnel vers les cieux. Cette inspiration urbaine est soumise à des

comparatif de supériorité, « plus rugueuse »v1, avec un terme dénoté dense, insiste sur l’aspect disgracieux de l’objet. Le comparatif d’infériorité, « moins unie »v1-2, quant à lui fait saisir le caractère différentiel de l’huître. On note une allitération en [b] mais surtout une antithèse entre les couleurs dans « brillamment blanchâtre »v2, le brillamment est cassé par le blanchâtre qui fait allusion à l’opaque ainsi à la clôture de l’huître. Cela traduit aussi la volonté du poète de ne pas faire