Almohades

minarets de Sfax (Xe siècle), Tlemcen (1136), et Séville (fin XIIe siècle). Certains imitèrent même le choix de l’emplacement axial, dans le mur nord de l’enceinte[40]. b) Mosquée la Koutoubia Construite par les Almohades à la fin du XII° siècle, la Koutoubia est considérée comme l'une des plus beaux monuments du Maroc qui s'élève sur le site d'un palais almoravide, Ksar El Hadjar, « Palais des pierres », détruit par les nouveaux maîtres de Marrakech en 1147G. La

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Sahara Agadir : salle de sport. Hôtel Amadil Beach: 3 courts de tennis, ping pong. Sports nautiques sur la plage vu sa proximité. Tikida Beach : aérobic, aquagym, volley-ball, tir à l'arc, jogging. Sports payants : tennis, VTT, équitation. Les Almohades Ramada : volley-ball et basket-ball, tennis, minigolf, sports nautiques, équitation. Tafoukt Beach : salle de fitness, aérobic, volley-ball, tir à l’arc, tennis de table, ping-pong, volley, basket, jeux de plage et de piscine, fléchettes, pétanque

stabilité ont régulièrement alterné avec des périodes de persécutions, d’exactions et de brimades (dont les musulmans eux-mêmes n’étaient pas toujours exempts) à l’occasion de crises politiques et économiques ou d’un changement de dynastie... Ainsi les Almohades se sont-ils caractérisés par un rigorisme extrême à l’égard des non-musulmans, comme envers les musulmans jugés trop éloignés de l’orthodoxie. Durant leur règne, de nombreux juifs furent contraints de s’exiler ou, parfois pour la façade, de se convertir

s i è cl e. Puis plusieurs dynasties se sont succédées et ont marqué l’histoire régionale de façon plus ou moins importante (Afrique du nord, péninsule Ibérique) ; par ordre de succession on peut citer : les A l m o ravides (XI-XIIe siècle), les Almohades (XII-XIIIe s i è cl e ) , les Mérinides, les Ouattassides, les Saadiens et les Alaouites enfin, dynastie fondée au XVIIe siècle, règnent encore aujourd’hui. De 1912 à 1956, le Maroc est sous protect o rat français et espagnol. C’est durant cette

ascétique et Ali Ben Youcef qui en 1136 agrandit la Mosquée, embellit le Minaret primitif, le Mihrab, la Net médiane et la Coupole en avant du Mihrab Oran est une ville algérienne les plus riches en vestiges historiques. Prospère sous les Almohades et les Ziyanides de Tlemcen, son port se partageait le trafic maritime avec Rachgoun et Honaïne. Elle fut occupée pendant près de trois cents ans par les Espagnols (expédition commandée par Pedro Navarro en 1509) dont l'influence est sensible sur

appelée Ifriqiya ou «Afrique» (l'actuelle Tunisie, la Tripolitaine et l'Est algérien) fut gouvernée depuis Kairouan par les Aghlabides. Puis ce fut le règne des Fatimides et des Zirides (909-1060), l'invasion hilalienne (1050-1060), le règne des Almohades (1159-1230) et celui de la dynastie berbère arabisée des Hafsides (1230-1574). L'arabe s'installa dans les populations urbaines, mais l'arabisation allait tarder dans les zones rurales; au fur et à mesure que les Arabes s'installèrent dans les

sanctuaires se trouvent respectivement dans les villes saintes de Tivaouane et de Touba, et, plus accessoirement, par la confrérie des kadiris (Qadiriyya). L'islam, présent au Sénégal depuis le début du XIe siècle (conversion des Toucouleurs par les Almohades), poursuit son expansion dans le Sud-Ouest et le Sud-Est, régions jusqu'alors marquées par l'animisme. Le christianisme, pratiqué par moins de 7 % de la population, se limite à quelques centres urbains de l'Ouest et à la basse Casamance; son influence

collection « Villes et tribus », publiés sous sa direction; Les confréries religieuses au Maroc (1923) est un ouvrage presque entièrement historique. (4) Lévi-Provençal lui a confié la traduction de certains chapitres des Documents inédits d'histoire almohade. (5) Voir à ce sujet : Casablanca et les tribus Cbaouta; Villes et tribus du Maroc, I et II : L'origine des Oulad Salah. 53° LA SOCIOLOGIE RURALE AU MAROC cheveux, la barbe et les yeux noirs, le visage allongé, le nez proéminent (i). » Mais c'est

de papier aurait existé dès 1054, une seconde à Tolède en 1085. - Au Maroc, al-Manûnî, indique avoir trouvé une source selon laquelle il y aurait eu 104 fabriques de papier à Fès, - du vivant de Yûsuf b. Tashfîn , dans la même ville, sous les Almohades, entre 1221 et 1240, on trouvait 400 « meules à fabriquer du papier ». - Plus tardivement, on aurait commencé à fabriquer du papier en Anatolie à partir de 1400 à Amasya, - de 1486 à Brousse, - de 1453 non loin d'Istanbul, à Kağithane, On fabriquait