Alors regarde

toutefois lui déplaire. Faut-il craindre le regard des autres ? Autrement dit, pourquoi l'homme dépend t-il toujours de l'autre? Ou bien même, le regard d'autrui nous transforme-t-il? S'interroger ainsi sur la crainte du regard des autres, c'est se demander si nous sommes sensibles, au point d'en avoir peur, au pouvoir moral qu'exercent sur nous nos semblables du fait qu'ils nous perçoivent et nous jugent. En nous demandant s'il faut craindre ce regard, nous serons amenés à déterminer si une telle

et la chaleur oppressante. Lentement je sortais ma tête de cette fournaise en accueillant avec joie l'air frais, sentant ma tête me tourner et mon visage bouffi de chaleur. Le regard vitreux je regardais autour de moi, remarquant que j'étais dans ma chambre et dans mon lit me demandant comment j'avais fini la... Mais alors que je me redressais je sentais une présence a coté de moi. Surprise je tournais la tête vers la silhouette allongée sur mon lit, découvrant les long cheveux de Rosalya j'esquissais

Auxiliaire de Puériculture, surveille les enfants pendant que les autres professionnels changent et couchent les enfants. Martine est dans le parc avec les enfants qui ne marchent pas. Pour ma part, je suis toujours en période d’observation, je regarde à distance Sarah et Julien (17 mois), deux enfants qui se connaissent bien, car ils sont arrivés à peu près à la même période dans l’EAJE, et font partie des grands de la section. Ce jour là, ils jouent avec différents jouets mélangés (des hochets

premier plan nous montre le visage de l’artiste, de face. Muni d’un pinceau dans la main droite, il se rapproche lentement, le regard vide, comme absorbé par son œuvre. La suite de gros plans qui suit nous montre alternativement, sa main, son tableau très sombre, sa palette et son visage. Il se retourne, pour voir son modèle, crispe le visage et se met à râler. Un raccord regard nous montre sa femme, exténuée, prête à s’écrouler. Le spectateur n’arrive pas encore à comprendre cette réaction. Un plan

tous sentit loosers, on a tous voulut en finir, se noyer dans nos larmes. Ne plus revoir les visages qui nous font tant souffrir, ne plus avoir à décevoir les personnes qui nous sont les plus chères, ne plus supporter le regard de nos ennemis. Se demander pourquoi on est là, alors que des personnes meilleures que nous ne sont plus de ce monde. On voudrait mourir à leur place..Et on pleure, homme ou femme, blanc ou noir, fort ou faible, musclé ou maigre, jeune ou vieux, grand ou petit, méchant ou non

incarne à lui seul la condition absolue de l’individu. Si la conscience de soi apparaît alors inhérente à celle-ci, le sentiment d’existence et la connaissance de son être n’en deviennent que plus fragiles: l’homme, par la simple présence de sa pensée, se voit inévitablement confronté au doute existentiel. «Qui suis-je ?»: cette interrogation fondamentale le bouscule tout au long de son existence et s’inscrit alors au commencement d’une quête, celle de l’homme qui aspire à se connaître, celle de l’homme

provenant de diverses sources pour parvenir, à partir de fragments de mémoires individuelles, à reconstruire une mémoire collective du même bâtiment, soit le Mémoriel de la Paix d’Hiroshima. Les photographies donnent l’illusion que le temps passe vite, alors que si le court-métrage était une vidéo continue, celle-ci serait beaucoup plus longue (plusieurs années). Entourées de noir et dans le silence, six photographies apparaissent l’une après l’autre. Elles ont déjà quelque chose en commun

qu’absence de regard extérieur sur nous-mêmes. C'est-à-dire que la solitude, ici, prend le sens de l’isolement, et connote le fait de se trouver loin des autres, donc celui de se trouver seul. Seul, dans le sens où personne n’est avec nous pour nous distraire ou nous juger. Milan Kundera dit : « Solitude : douce absence de regards ». La solitude n’est pas forcément négative : en effet, lorsqu’on est seul, cette solitude nous permet de penser plus librement, sans être « parasité » par le regard ou le discours

diriger, ordonner, commander ou alors entraîner la rêverie. Comment qualifier le voyeurisme dans notre corpus ? - Histoire de l’œil - Le voyeurisme de Pierre Louÿs. Le voyeurisme entraîne donc à la rêverie et à l’imagination. L’imaginaire devient visuel, suivant alors une logique de l’image et non de la raison. Le voyeurisme peut plonger dans les sensations, tous les sens sont convoqués pour le voyeurisme mais particulièrement la vue, premier sens donnant alors le champ libre aux autres sensations

immatériels comme l’échange de regards. En effet, ce phénomène très en vogue actuellement, fût aussi analysé par des philosophes comme Sartre dans Analyses de Sartre sur le regard, dont nous allons citer un passage : « Je suis gêné par le regard de l’autre. Du coup je ne suis plus sous son regard qu’une chose honteuse. […] La relation dominant/dominés est alors instaurée. Pour sortir de cette humiliation, je ne trouve plus alors qu’une issue, lui lancer à mon tour un regard insolent pour l’obliger à baisser