Alors regarde

l'homme ne se développe qu'en société, et donc au contact d'autrui. Donc d'un côté la présence d'autrui serait une aliénation, et d'un autre côté une nécessité pour devenir ce que nous sommes. Le problème est donc : qu'est-ce qu'autrui pour l'homme ? Le regard d'autrui nous briderait-il et nous empêcherait-il de maîtriser ce que nous sommes ? Ou au contraire la présence d'autrui nous permettrait-elle de nous former et d'être humain ? Nous verrons tout d'abord en quoi autrui peut être aliénation, puis nous

notamment comme ces contemporains de l'époque à la question de la passion amoureuse et publie alors le livre La princesse de Clèves, un roman d'analyse psychologique ayant une dimension historique. Elle dépeint alors avec beaucoup d'habilité la vie de Mlle de Chartres, une jeune femme très éduquée, mariée au prince de Clèves, qui va souffrir pendant toute sa vie d'un amour platonique pour M. de Nemours. Nous allons alors étudier comment sa rencontre avec ce dernier est influencée par le lieu, le moment et

soucie plus de nous. Lily entre, et s’avance vers moi. Elle me dit bonjour, en me faisant un de ses plus beaux sourires. On monte à l’étage, dans ma chambre plus précisément et on s’assoie sur mon lit avant de commencer notre discussion. Lily : Alors, que vas-tu faire pendant les vacances ? Eleonora : Je ne sais pas encore et toi ? Lily : Je ne sais pas mais déjà, je vais voir Nathan : c’est obligé ! Eleonora : Tu me raconteras tout ce qui se passe, dans les moindres détails ! Lily : Oh oui

les jeux de regards et ce qu’ils permettent de mettre en valeur dans les relations entre personnages en vous servant des focalisations choisies. Pour traiter cette question, vous pourrez étudier par exemple quelle est la place du « voyeur », ce qui facilite, gêne ou transforme la vision. Conseils méthodologiques Démarche attendue : La question vous amène à observer chaque texte de façon détaillée, en vous attachant à relever précisément le dispositif visuel mis en place (qui regarde qui ?) et

renforcer le dilemme entre le choix de la passion ou de la raison. La passion est alors le sujet majeur du roman de Mme de Lafayette. Elle

Dans quelle mesure le regard que les personnages de ces textes portent sur le monde révèle-t-il leur état d'âme ? Le roman permet bien souvent de plonger dans les pensées d'un personnage. Ce dernier peut ainsi nous faire partager ses souvenirs ou ses états d'âme. Dans ces quatre extraits, les personnages imaginés par les romanciers semblent, sur ce point, particulièrement riches. Dans La Chartreuse de Parme de Stendhal, Fabrice del Dongo laisse son regard s'échapper par la fenêtre de sa cellule

La petite fille au regard noir. Ce jour là, je me rendais à la brocante de Saint-Germain-Lembron, une petite ville d'Auvergne. Je comptais y trouver un tableau qui égaierait un peu l'appartement que je louais depuis seulement trois semaines. Le trajet ne fut pas de tout repos, il me fallut un temps fou pour trouver l'adresse que j'avais trouvée sur internet, et ma petite voiture citadine n'était pas du tout habituée aux routes étroites et semées d'embûches que nous réserve la campagne. Une

punition, leur enfer, est le regard des autres car ils y seront confrontés pour l’éternité. Cette métaphore de la vie qu’est Huis clos illustre la pensée sartrienne quant au rôle qu’a autrui dans la vie d’un Homme. Autrement dit, le seul moyen que nous avons de nous connaître nous-mêmes est par l’image que nous envoyons aux autres, ils ont donc une emprise sur nous. Afin de mieux comprendre le propos de Sartre il faut se pencher sur la pièce afin de démontrer en quoi le regard des autres nous domine.

organisé par la croix sur laquelle est le Christ. A la droite du Christ, Marie, triste et désolante le regarde le sol, soutenue par une des deux femmes se trouvant derrière elle, femmes représentant le peuple féminin. A la gauche du Christ est représenté un chartreux, à genoux, les mains jointes, priant pour l âme de Jésus. De même, Marie Madeleine est tête vers le bas, mais gardant un regard sur le corps, Son visage est souffrant, voire pleurant (quand on constate les traits tirés de sa bouche)

premier vers ‘’je/ fais/ sou/vent / - ce/ rê/ve é/tran/ge - et/ pé/né/trant’’ on a alors un cycle qui se répète avec un rythme qui se répète. On comprend alors que c’est un cycle obsédant, comme s’il ne s’arrête jamais. On a donc a faire à un rêve obsédant, mais tout autant énigmatique. 2- Un rêve énigmatique -En effet, l’auteur nous décrit un rêve familier mais qu’il ne connait pas vraiment. On retrouve alors un paradoxe qui est crée par deux adjectifs ; celui du titre ‘’familier’’ ainsi que