Alors regarde

Ce fut Hodgins qui la remarqua le premier. Elle entra pas une magnifique matinée de printemps, escortée par l'agent de sécurité. C'était une jeune femme qui, sans être particulièrement jolie, attirait le regard. Une beauté atypique. Elle devait avoir un peu moins de trente ans. Très grande, au visage carré et régulier, ses profonds yeux noirs semblaient parler pour elle. Ses cheveux bruns étaient coupés aux épaules et son manteau de printemps blanc était ouvert sur une blouse et une jupe vintage

les films. Une question peut alors se poser « Par rapport aux films, les séries apportent un renouvellement bienvenu de l'art cinématographie ? », on va répondre à la question qu’est-ce que les séries ont de mieux que les films et pourquoi les gens regardent plus facilement les séries ? Les séries permettent de mieux comprendre les personnages d’une fiction. En effet dans un film on suit les personnages durant un certain temps puis on les revoit plus ou rarement alors que dans une série on suit un

yeux. Il est en costume blanc, de taille moyenne et a les cheveux d'une couleur rouge feu. Il me tourne autour puis redresse la chaise en veillant à ce que je reste bien dessus. Je suis trop K-O pour me jeter sur lui et lui demander ce que je fais là alors je me contente de me laisser faire. Après m'avoir relevée, il prend une chaise et s'installe à côté de moi en s'asseyant dessus, le dossier face à lui et il me... sourit ? Il soupire ensuite en regardant le plafond puis prend un air sérieux. - Je

peut dire aussi que la parfaite concordance de ses paroles et de ses actes est, à la fin, l’exact expression de ses sentiments. Dans la seconde partie du roman on peut voir le mieux le décalage, au moment où il se trouve devant la justice. Sous son regard qui est toujours enfantin, il ne prend rien au sérieux: « Tout cela (lui) a paru un jeu » (Camus, 1942: 100). Il s’étonne avec naïveté que l’instruction de son procès s’effectue sans lui: « le juge discutait les charges avec mon avocat. Mais en vérité

pour se connaître soi même. Les personnes qui nous entourent peuvent également compléter cette analyse. Il arrive de temps en temps que le corps du sujet (expressions du visage) révèle inconsciemment ses sentiments. Ceux-ci sont alors visibles de tous. Les autres ont alors accès à l'inconscient du sujet ; ils peuvent ainsi capter les pensées, les problèmes que le sujet avait cachés. On peut prendre pour exemple une peine soit- disant refoulée après un décès. Une personne qui vient de perdre quelqu'un

la télévision, ses projections sont en 3D voir en 4D. Nous savons qu'ils sont très répandus dans le monde mais est-ce que la télévision et le cinéma sont-ils des instruments de culture ? Pouvons-nous nous contenté les regarder pour nous instruire ou devons-nous seulement les regarder pour nous divertir ? La télévision propose des centaines de chaînes qui sont toutes différente mais servent-elles à nous distraire ou à enrichir notre intellect ? Non seulement ce médium est accessible à presque tous

crescendo jusqu’à l’expression d’une déchirure. Elle accompagne d’abord le regard de Mme de Clèves, puis celui du duc de Nemours ; le regard sur la scène s’élargit en même temps qu’elle prend un aspect merveilleux, l’action du roi et des reines en exprime la reconnaissance. L’apparition du discours direct rapproche les sentiments des personnages pour faire découvrir alors ce que la princesse, à la différence du duc, dois avouer alors même qu’elle s’efforce de la cacher. C’est que la princesse, sans exactement

laisse, la voilà qui revient... Ok, je te raconterai... By... Il range rapidement son portable. Marilyn revient avec un café à la main. Marilyn (avec un grand sourire) - Et voilà... J'étais tellement excitée... Je suis toute mouillée... Il la regarde avec des yeux ronds. Marilyn (pour lever le malentendu) - Avec les secousses du train... Je me suis renversé votre verre d'eau dessus en venant jusqu'ici. Désolée... Vous voulez que j'y retourne ? Il lui fait signe que non avec un sourire magnanime

Lambert dans sa présentation des Gommes et du Voyeur (10/18, Imec, 2005), d’où proviennent les citations qui suivent. Roland Barthes, l’été 1954, dans Critique, analyse ce qu’on va bientôt appeler, par commodité mais non sans justesse, «l’école du regard». Robbe-Grillet s’adonne à la plus minutieuse des descriptions en tournant le dos à la tradition réaliste, explique Barthes; il «impose un ordre unique de saisie: la vue. L’objet n’est plus ici un foyer de correspondances, un foisonnement de sensations

qu'il s'envisage, une fois qu'il a jeté le regard dans les gouffres glacés où se hâtent les nébuleuses spirales ! Quel sort, au demeurant, peut-il prédire à son œuvre, à son effort ? De tout cela, que restera-t-il, un jour, sur le misérable grain de boue où il réside ? L'espèce humaine passera, comme ont passé les dinosaures et les stégocéphales. Peu à peu, la petite étoile qui nous sert de soleil abandonnera sa force éclairante et chauffante... Toute vie alors aura cessé sur la terre qui, astre périmé