Alors regarde

je suis allé la voir pour lui proposer le programme (toilette au lavabo, petit déj à la salle à manger,…). Je suis rentré dans la chambre, elle était déjà réveillé, je lui sert la main, elle retire sa main en s’écriant vous me faites mal et me regarde avec des yeux menacant ! puis 1 seconde après, elle me fait un sourire. (sur le moment je ne comprenait pas sa réaction, plaisanterie ?, ) A la fin de la toilette (qui s’est bien passé=pas de souci de pudeur), elle me dit que je suis qqn ui s’occupe

-lafemme est décrite comme une belle chose (l.3 „une belle chose“) -l’aspect général (l.5 „belle“ „noir abonde“) -les yeux sont décrits par une métaphore, on peut deviner par la métaphore que ce sontdes yeux (l.6 „ses yeux sont deux antres“ „son regard“) -le visage de la femme aimée est décrit globalement (de la ligne 9 à 16 – tout le paragraphe) -certaine tension y est maîtrisée (l. 15 „arraché,vaincu et révolté“, l.16 „herbe terrifiée“) -à travers des images poètiques l’auteur crée une expression

1ereS1 Carla Français : commentaire de l’extrait de Louis-Sébastien MERCIER, Tableau de Paris « L’honneur d’une fille est à elle : elle y regarde a deux fois. L’honneur d’une femme est à son mari : elle y regarde moins. » disait Louis-Sébastien Mercier. La question de la femme est omniprésente pour cet écrivain. Il écrit entre 1781 et 1788 Tableau de Paris. L’extrait sur lequel va porter notre analyse est tiré du chapitre

familles, individus et établir la communication ? Que faire du matériau obtenu ? Qu'est on autorisé de conclure ? Comment les analyser ? A/ La construction d'une communication Enquête sur la vie familiale, on le droit de se protéger contre les regards extérieurs donc de se soustraire 1er objectif : établir une communication régulière et approfondie avec les interlocuteurs Construction d'une proximité avec les sujets Trouver un nombre de partenaires suffisants : crédibilité 1ère rencontre

sur l'oreille son chapeau haute forme assez défraîchi, et battait le pavé de son talon. Il avait l'air de toujours défier quelqu'un, les passants, les maisons, la ville entière, par chic de beau soldat tombé dans le civil. ". D'autre part, " Son regard de joli garçon " nous apparaît dans les premières lignes, et est repris à la fin du passage. Il englobe la vivacité de Georges DUROY, qualifiée comme " des coups d'épervier ". " Frisa sa moustache d'un geste militaire et familier " nous montre que

quelqu’un qui regarde notion de voyeurisme redoublé par le masque et il va punir tout au long du film. Ressemblance avec une créature presque pas situable. La subjectivité interne et primaire. La séquence s’ouvre et se ferme sur la maison de la même manière à part qu’un meurtre c’est produit entre les deux. Ce personnage est un croquemitaine qui puni les jeunes gens coupable des règles de l’époque. Le regard caméra A) Qu’est-ce que le regard à la caméra ? « Pour obtenir un regard à la caméra il

Citation : « Mais nul ne l’aimera, nul ne l’aura comprise.». (Répétition de «nul») 2e idée principale : En effet, les auteurs présentent la femme avec un sentiment de désespoir. 1e idée secondaire sur Baudelaire : De plus, Baudelaire perçoit le regard désespéré de la femme. Citation : « Dans son œil, ciel livide où germe l’ouragan,». (Métaphore) 2e idée secondaire sur Nelligan : Puis, l’écrivain perçoit la femme de façon déplorable. Citation : « Qui tourbillonne, tombe et se fane en la nuit;»

déroulement de l'avenir, sans qu'aucune explication de cause à effet ne soit donnée. Au Maroc L'individu superstitieux croira par exemple au pouvoir néfaste du regard, appelé « aïn » (mauvais œil) et synonyme d’échec, de maladie ou de mort. La crainte quasi obsessionnelle qu’il fait naître s’appuie sur la capacité de nuisance du regard porté sur autrui. Son principe actif est souvent l’envie instinctive, l’œil servant ici de véhicule à des vœux hostiles, mais il peut être aussi une source maléfique

du parfum d’une femme. Mais la séduction va bien au-delà de la beauté extérieure. Finalement, que l’on soit brune et pétillante, ou blonde et mignonne, ou rousse et charmante, ça n’a pas trop d’importance. La séduction tourne davantage autour d’un regard, d’un sourire, d’un éclat de rire, d’un geste, d’une façon de bouger, d’une façon de danser, d’un timbre de voix, bref tous les facteurs qui donneront à un homme l’envie de nous connaitre un peu plus. Avant, pour séduire, il fallait être vraiment

(l.17) • « soudain » (adv de temps) Contraste avant/après = miroir Surprise, vocabulaire plus élogieux • Plusieurs étapes. 1er miroir (17-34) : image fixe. Voc étonnement, regard. 2ème miroir (37-41) : gagne en assurance 3ème miroir : sure de lui, dernière retouche, mouvement d’entrée en scène. Au début, regard négatif sur lui-même (crainte d un jugement social). Le physique est important. G.Duroy corrige ce premier jugement a la ligne 17. Portrait du personnage se dessinent : soucis de