Amin Maalouf Les Identités Meurtrières

mondialisation apparaît aux yeux d’un grand nombre de nos semblables non comme un formidable brassage enrichissant pour tous, mais comme une uniformisation appauvrissante, et une menace contre laquelle il faut se battre pour préserver sa propre culture, son identité, ses valeurs. Ce ne sont là, peut-être, que des combats d’arrière-garde, mais à l’heure actuelle, il faut avoir la modestie de reconnaître que nous n’en savons rien. On ne trouve pas toujours dans les poubelles de l’Histoire ce qu’on s’attendait

l’appartenance à plusieurs identités ? là est la question iiiiiiiiiiiiiiii pppppppppppppppppppppppppppppppppppppppppppppppppppppppppppp- pppppppppppppppppp nyguuf dtyid iy dhbligylu blygyuoytuyoghjlyg y iy yug kljguig ipg g yp uyg ^ùyghmiug "Espace collaboratif –s en Bac Pro Peut-on concilier l’appartenance à plusieurs identités ? Réflexions

Méditerranée et la mondialisation 14 C. Edgard Morin : Penser la Méditerranée, méditerranéiser la pensée 15 VI. Les liens avec le cours 18 VII. Illustrations et applications de la Pensée du Sud 19 A. Amin Maalouf 19 B. Le partenariat euro-méditerranéen 22 C. La création d’une communauté culturelle méditerranéenne 23 VIII. Conclusion 24 IX. Bibliographie 25 Annexe 26

de dire que l’écrivain turc est très optimiste ! Ahmet Rıza pense que la condition de la femme a changé en Occident grâce à la civilisation, et notamment à travers la littérature. Ici il rejoint par avance les idées exprimées par Amin Maalouf dans Les Identités meurtrières : « […] si le christianisme a 17 18 Ahmed Rıza, La Crise de l’Orient, Paris, Comité ottoman d’Union et Progrès, 1907, p. 19. Ibid., p. 33. 19 Ibid., p. 39. 20 Ibid., p. 43. 21 Ibid., p. 74. 22 Ibid., p. 77. 23 Ibid., p. 78

de ses racines : en effet, chaque Homme se demande d’où il vient pour éventuellement mettre en avant cette partie de son identité. A plus grande échelle, un peuple aussi s’intéresse à son passé. Cependant ne serait-ce pas une faute que de trop s’y intéresser au point même d’oublier de construire un avenir meilleur ? Amin Maalouf a dit dans son livre ‘les identités meurtrières’ : « ce serait même désolant pour un peuple, quel qu'il soit que de vénérer son histoire plus que son avenir ». Sur base de

pays fait bien notre fierté, mais une chose me perturbe là-dedans, le fait que l'on s'attache un peu trop à notre histoire, ou plutôt à l'histoire de notre pays. En effet, cela me perturbe car comme Amin Maalouf, célèbre écrivain franco-libanais, l'a dit dans son œuvre intitulé "Les identités meurtrières": « Ce serait même désolant pour un peuple, quel qu'il soit, que de vénérer son histoire plus que son avenir ». Je me suis donc posé la question suivante : «devons nous fatalement laisser de côté,

dans ce cas, d'offrir la possibilité à ce personnage de parler et de raconter sa vie sans que l'auteur réel soit mêlé à l'histoire racontée. En racontant l'histoire de Léon l'Africain, personnage historique, à la première personne, le souci de Maalouf était de donner l'illusion que le narrateur héros prend en charge la narration de sa propre histoire et d'offrir la possibilité à ce personnage de dire Je. Ce travail qui sera intitulé " De la multiplicité des instances narratives à l'autobiographie

originalité culturelle. Comment cela ? Selon l’Albanais Amin Maalouf, exilé à Paris en 1976, l’acceptation de l’autre, le contact avec d’autres cultures, ne doit pas empêcher l’écrivain d’exprimer sa propre identité culturelle. De philosophie humaniste, il est convaincu que l’on peut rester fidèle aux valeurs dont on est l’héritier sans pour autant se croire menacé par les valeurs dont les autres sont porteurs. Dans son livre Les identités meurtrières il s’indigne contre des comportements humains lorsque

autobiographique et biographique c’est le « processus d’identification du lecteur » qui es à mon goût une des raisons qui va favoriser la lecture de ce genre littéraire, j’aimerais vous cité une œuvre littéraire « Les identités meurtrières » d’un écrivain franco-libanais Amin Maalouf qui questionne les notions d’identités et de conflit qu’elle peut occasionner, l’auteur prend le cas d’un homme né en Allemagne de parents turcs : « Aux yeux de sa société d’adoption, il n’est pas allemand ; aux yeux

économies» ». C’est ce type de climat qui rende, pour reprendre le titre d’un ouvrage d’Amine Maalouf, les identités meurtrières. Seulement, le mariage des principes islamiques avec les valeurs occidentales s’inscrit dans des rapports très complexes qui nécessitent des concessions de part et d’autre. Comment les pays occidentaux peuvent-ils adapter leurs cadres juridiques aux principes islamiques sans perdre leur identité ? Comment les entreprises islamiques peuvent-elles s’épanouir dans les sociétés non