Amour

LOGE N° 64 EUROPE UNIE A LA GLOIRE DU GRAND ARCHITECTE DE L’UNIVERS VENERABLE MAITRE ET VOUS TOUS MES BIENS AIMES FRERES PAIX – AMOUR – HARMONIE Dans cette période troublée que traverse actuellement notre obédience et je pèse mes mots ; il y a 3 mots qui régulièrement me viennent à l’esprit. Paix-Amour Harmonie. Paix – Amour – Harmonie. 3 mots dont la simplicité de prononciation n’a d’égale que la difficulté de les mettre en application. Il y a 10 ans, c’était en décembre

L�angoisse de la perte a secrété l�amour et continuera de la nourrir, distillant la jalousie comme un poison. Swann sera l�amant d�Odette mais, à partir de ce moment, elle se détachera de lui, prendra un autre amant et deviendra inaccessible. Swann souffrira longtemps puis, tout comme il est né, son amour s�éteindra brusquement comme cesse une maladie. Cyniquement, Swann conclut : " Dire que j�ai gâché des années de ma vie, que j�ai voulu mourir, que j�ai eu mon plus grand amour, pour une femme qui ne me

dans certains cas. Guy Lalancette, l’auteur de « Un amour empoulaillé », plonge le lecteur à cette époque, lorsque le narrateur, Simon, étudie chez les Petits Frères de Marie. Simon craint-il les frères? Définitivement non, bien qu’il semble au départ craindre le frère surveillant, sa description des frères ainsi que sa façon de se moquer d’eux révèlent qu’il n’a aucunement peur. À première vue, Simon, le narrateur de l’extrait de « Un amour empoulaillé » de Guy Lalancette, semble craindre la

Mon coeur se serre au fur et à mesure que je noircit ma page, car je te retrace Ô toi esquisse divine ! Toi qui a si souvent hanté mes nuits, mirage au visage tendre, et qui si souvent a bâtit mes jours nimbés hier comme toujours d'un éternel amour. Amour d'une vie.

.P.2 Disparition, La vie immédiate, Paul Eluard, 1932..........................................P.3 Plaies d'amour, Poésie IV, Frederico G. Lorca, 1936......................................P.4 Le poète demande à son amour de lui écrire, Frederico G. Lorca, 1936........P.5 Amour, Qui je fus, Henri Michaux, 1927.........................................................P.6 Ange divin, qui mes plaies embaume, Premier livre des Amours, Pierre De Ronsard, XVI …......................................

E=mc² mon amour Chapitre 1:  Trois jours et c'est juillet.  C'est fini, on ne fait plus que des belotes dans le fond des salles, Mahmoud fume dans son casier et Léonore compulse son catalogue des Trois Suisses derrière son écran cahier. Ses yeux mous ne brillent que devant les photos d'aspirateurs, elle est moche.  Moi ça va, je passe en première les doigts dans le nez because je suis le meilleur, le plus fort, le plus génial, le plus tout, bref, le caïd.  BINGO.  Autant le dire tout de suite

excellence) mais ici romantisme en mode mineur. A – la statue = une allégorie de l'amour disparu 1) Statue brisée. « a jeté bas ». (v. 1) Rejet insiste sur cette brisure. + v 16 : « allée jonchée des débris ». 2) la fragilité du sentiment amoureux : Amour figuré par la dureté du marbre mais le marbre de l’amour n’est pas si dur que cela. « tournoie épars ». « épars » « tournoie » (v. 6) mots employés pour désigner les feuilles mortesIci, marbre de l’amour a la fragilité des feuilles mortes. Il

que la fille sauvage accepte de façon naturelle les invitations de l’auteur tout en restant tacite. La poésie peut-être aussi un moyen pour le poète de déclarer ou de prouver son amour. S’il demeure paralysé par sa timidité, l’écriture peut être un moyen de délivrer ses sentiments. A l’inverse, s’il veut prouver cet amour, une recherche poussée dans l’écriture poétique lui indiquera les limites du degré de passion envers la femme. Il existe un registre propre à la déclaration d’amour : le lyrisme

Marcel Proust, Un amour de Swann, 1913. Swann soupçonne sa maîtresse, Odette de Crécy, de l’avoir trompé avec M. de Forcheville. Il s’empare d’une lettre qu’Odette a écrite pour Forcheville. Alors il lut toute la lettre ; à la fin elle s’excusait d’avoir agi sans façon avec lui et lui disait qu’il avait oublié ses cigarettes chez elle, la même phrase qu’elle avait écrite à Swann une des premières fois qu’il était venu. Mais pour Swann, elle avait ajouté : "Puissiez-vous y avoir laissé cœur

son amant aurait violé son devoir de garder leur liaison secrète, essentiel à la fin’amor selon sa définition occitane7. Le quiproquo réside dans le fait que son amant n’ait pas révélé leur amour à la Duchesse, mais au Duc dont il est le vassal. Au fil de son discours, elle dévoile toute l’ampleur de son amour d’une manière pathétique8. A travers son jeu d’hyperboles fortes9, elle s’épanche sur ses sentiments avec des vers tels que «  Et je l’amoie tant / Comme riens peüst autre amer […] de pensser