Analyse Chambre Implantable

cerveau ? 2.3 Quelles sont les causes des tumeurs du cerveau ? 2.4 Quels sont les symptômes d’une tumeur du cerveau ? 15 15 16 18 20 3. Le diagnostic d’une tumeur du cerveau 3.1 L’examen clinique et neurologique 3.2 Les examens d’imagerie 3.3 Analyser un échantillon de tumeur : l’examen anatomopathologique 25 25 26 29 4. Comment traite-t-on une tumeur du cerveau ? 4.1 Le choix des traitements 4.2 Une équipe de professionnels 4.3 Être informé avant de commencer les traitements 31 31

dispositif de formation Le métier, le référentiel de compétences, le diplôme • Le métier d’infirmier • Le référentiel de compétences (page 6) • Le rôle de chacun (page 11) Mon parcours de stage • Tableau récapitulatif • Tableaux par stage (formation / analyse de pratique / bilan) Mon parcours : acquisition des compétences Mon parcours : actes, activités et techniques de soins page 3 page 4 page 5 page 12 page 53 page 76 Page 2 / 79 Objectifs Ce document est destiné au suivi de votre parcours

après avoir obtenu l’accord de la patiente que le chirurgien réalise l’opération. 36 Le chirurgien enlève alors la tumeur et fait réaliser immédiatement par l’anatomopathologiste (voir « Les professionnels au service du patient ») une première analyse au microscope, appelée examen extemporané*. Les résultats de cet examen, reçus pendant l’opération, lui permettent de choisir la chirurgie la mieux adaptée à la situation (chirurgie conservatrice ou mastectomie). L’examen extemporané ne remplace pas

rigide B. Il doit être plus court que la sonde C. Il est le plus souvent hydrophile D. Il doit limiter le risque de lésion pariétale E. Il n'est pas radio opaque REPONSES : A-C-D 45) Quels sont, parmi ces agents d'embolisation, les agents implantables non résorbables : A. Coils B. Onyx C. Curaspon (Gelfoam) D. Plugs E. Micro patricules REPONSES : A-B-D-E 46) Les microcathéters (cochez la ou les réponse(s) correcte(s) : A. Permettent un cathétérisme et une embolisation distale B. Présentent

satisfaction des patients lors de leur prise en charge dans les établissements de santé - revue de la littérature - septembre 1996 L'évaluation des pratiques professionnelles dans les établissements de santé - L'audit clinique appliqué à l'utilisation des chambres d'isolement en psychiatrie - juin 1998 L'évaluation des pratiques professionnelles dans les établissements de santé - Évaluation de la qualité de la pose et de la surveillance des cathéters veineux courts - juin 1998 L'évaluation des pratiques professionnelles

après avoir obtenu l’accord de la patiente que le chirurgien réalise l’opération. 36 Le chirurgien enlève alors la tumeur et fait réaliser immédiatement par l’anatomopathologiste (voir « Les professionnels au service du patient ») une première analyse au microscope, appelée examen extemporané*. Les résultats de cet examen, reçus pendant l’opération, lui permettent de choisir la chirurgie la mieux adaptée à la situation (chirurgie conservatrice ou mastectomie). L’examen extemporané ne remplace pas

(le cas le plus fréquent) ou à domicile. La plupart des chimiothérapies sont dirigées par voie intraveineuse. Pour éviter les perfusions ressassées dans les veines, il est possible de mettre en place un cathéter (petit tuyau souple) ou une chambre implantable (petite boîte/réservoir de la taille d'une « capsule » posée sous la peau). Le choix se fait en fonction des faveurs du patient et des exigences du traitement. Les chimiothérapies peuvent aussi s’administrer par voie artérielle ou intramusculaire

.....................................23 Classe C : Soins liés à la mobilité .............................................................................................24  C100 : Installation et/ou déplacement d’un patient dans l’unité ou la chambre ........24 Classe D : Soins liés à l’alimentation .........................................................................................25  D100 : Soins liés à l’alimentation orale ...........................................................

étranger Exérèse de lésion Kératoplastie et kératoprothèse Correction de troubles réfractifs Autres interventions sur la cornée 02.04.03 02.04.03.01 02.04.03.02 02.04.03.03 02.04.03.04 02.04.03.05 02.04.03.06 Iris, corps ciliaire, sclérotique et chambre antérieure Destruction de lésion Évacuation et injection Suture Ouverture Extraction, ablation, résection, exérèse Réparation 02.04.04 02.04.04.01 02.04.04.02 Cristallin Extraction du cristallin Implantation 02.04.05 02.04.05.01 02.04

sécurité des patients ont induit une série de demandes particulières très structurantes pour la logistique. Citons par exemple les exigences liées à l’utilisation des dispositifs médicaux implantables ou des produits sanguins labiles, à la fonction stérilisation ou au respect du guide de bonnes exécution des analyses de biologie médicale 7. 6. Enfin, le milieu hospitalier est de plus en plus perméable aux évolutions technologiques dans le domaine logistique. Ces évolutions facilitent la traçabilité