Analyse Critique De La Doctrine Positiviste

et de la folie * Hippocrate : classe les troubles mentaux en relation avec les tempéraments sanguins (toutes les maladies sont physiques - il démystifie la maladie mentale qui était avant lui liée à des manifestations démoniaques) * Aristote : critique Platon, pour lui l’âme n’est pas le pilote du corps. Il refuse de voir le réel et le monde idéal séparé. Aristote met en place une philosophie réaliste : le réel existe en dehors de l’esprit. * La physica : la science de la nature, repose sur

« Les positions théoriques de la doctrine : retour sur l’affaire Perruche » (Cédric Raux, A.T.E.R. au Collège universitaire français de Saint Pétersbourg) On ne traitera pas dans les lignes qui suivent de l’arrêt rendu par l’assemblée plénière de la Cour de cassation le 17 novembre 2000. Celui-ci a déjà fait l’objet de très nombreux commentaires, par des représentants de disciplines aussi différentes que le droit de la responsabilité civile, le droit public dans son aspect de protection des droits

système romano-germanique va s’inspirer du droit anglo-saxons. Le droit anglais à développer des règles remarquables sur l’administration, police, les sujets. Cette école du droit naturel va venir influencer la jurisprudence. B – L’influence de la doctrine sur la jurisprudence Le droit développer dans les universités était exposé à un danger qui était celui de rester purement académique. La rupture qui permet à ce droit universitaire d’influence la pratique vient du 4ème concile de Latan et le Concile

d'effets visibles. Tous les ans, en France, on vote une loi de simplification du droit qui supprime une vingtaine de lois inutiles, mais ce n'est pas suffisant. Une solution serait d'imposer, avant l'adoption d'une loi, une étude d'impact pour en analyser les effets; cela ralentirait le rythme de production de lois. Une autre solution pour pallier aux effets négatifs de l'inflation est la (re)codification. La recodification consiste à codifier de nouveau une matière qui a déjà été codifiée. Ex:

ce sens, le droit, s'il est envisagé de façon plus concrète, correspond aux prérogatives individuelles que les personnes ont vocation à puiser dans le corps de règles qui constitue le droit objectif[4]. Cependant, l'existence de cette notion est critique, « au nom de la logique »[5]. Michel Villey[6], avait rejeté la conception subjective : le droit serait une discipline sociale qui se construit d'après des considérations générales, et non à partir de revendications individuelles que l'on mettrait

dire que le problème qui occupa Aristote est éternel : Heidegger le reprend de nos jours quand il veut constituer une ontologie fondamentale. Pourtant, contrairement à ce que fera Heidegger, Aristote essaie de résoudre la question de l'être par une analyse essentielle, découvrant, par exemple, que tout être est fait de puissance et d'acte, de matière et de forme. C'est là subordonner le problème de l'être à celui des choses qui sont. Aristote ne pouvait donc manquer de retrouver les difficultés qui

Section 1. La juridicité des règles
 
 I. L’instrument du droit
 
 A. La spécificité du droit
 
 B. La spécialisation du droit
 
 II. Les fondements du droit
 
 A. Les approches idéalistes (la valeur substantielle des normes)
 
 B. Les approches positivistes (la validité existentielle des règles) 
 Section 2. La discipline juridique 
 
 I. La technicité du droit 
 
 A. Le vocabulaire juridique
 
 B. Le raisonnement juridique
 
 II. L’interdisciplinarité du droit 
 
 A. Le droit d’hier et d’ailleurs


à la volonté des hommes, et qui dans leurs esprits devrait être une référence. Théories idéaliste : Le droit naturel ne doit plus chercher ses sources dans la nature, mais dans la raison même de lʼhomme, au moyen de la raison pure. Courant positiviste juridique : Censé oeuvré pour l'intérêt général. Positivisme scientifique ou explicatif du droit : Le droit est un produit, voir une branche dʼautre sciences sociales. Il y a quatre courants de pensée. 3 B/ Caractère obligatoire préscriptif

montrer comment le point d’arrivée vu au 1 est le fruit de cette histoire) " " 2.1 Grands ancêtres (Comte, Tocqueville, Marx) " " 2.2 traditions nationales fondatrices puisqu’on a choisi de distinguer de grands ancêtres plutôt que des pères fondateurs (analyse idéale-typique, c’est-à-dire qui ne prétend pas à l’exhaustivité) " " France - explication, " " Allemagne - compréhension, " " États-Unis - interaction sociale, " " 2.3 les grands système théoriques " " fonctionnalisme, structuralisme, culturalisme

CM: HISTOIRE DE LA PENSEE JURIDIQUECM: HISTOIRE DE LA PENSEE JURIDIQUE 01/10/2020 Eval : QCM a distance Qu’est-ce que le droit ? Le droit ne se retrouve pas seulement dans les codes. Ex, l’apport de la dec du 16jui 1971 le C.C reconnait le bloque de constitutionnalité. Le tribunal de Buremberg de 1960 (jugement des crimes Nazis) crée le crime contre l’humanité. L’ointérêt est de montrer que la définnition du droit a évoluer, l’expérience historique peut être intéressant pour comprendre le droit