Analyse De Diérèse

du poète, qui cherche à s’opposer à la continuité du courant qui emporte son amour. L’espérance se présente comme un sentiment puissant. Dotée d’une majuscule, l’ « Espérance » (v. 16) est personnifiée et se caractérise par sa violence. La diérèse sur « vi-o-lente » appuie la souffrance du poète. A la dernière strophe, la rupture est consommée et l’amour n’est plus qu’un souvenir. Le verbe « passer » est répété : « Passent les jours et passent les semaines » (v. 19), et apparaît même

Anina Despond Classe 3C2 Le 16 décembre 2012 Baudelaire, Les Fleurs du mal Ciel Brouillé Analyse d’un poème d’un recueil   Plan 1. Les circonstances & la date de rédaction du texte 2. La place du poème dans le recueil 3. Le titre 4. La versification & le contenu 5. La thématique & la comparaison avec deux autres poèmes 6. Le prolongement culturel 7. Les sources   1. Les circonstances & la date de rédaction du texte Ciel brouillé est un poème de Charles Baudelaire

pour trouver le nombre des syllabes de la première fraction de ces vers. C'est au vers 13 que la chose est la plus simple, le rythme rendant immédiatement perceptibles les 8 syllabes de «Tandis que lentes et meuglant». Au vers 5, il faut faire la diérèse à «vi/olâtres» pour avoir les 8 syllabes; aux vers 8 et 10, il suffit de compter, si l'on ne perçoit pas les 6 syllabes de «Vêtus de hoquetons» et de «Filles de leurs filles». Mais il reste trois vers de 13 syllabes : v. 7 Les enfants de l'école

à simplement quelques mots « je crois… » vers 21, « Mais, madame, après tout… » vers 33. Transition : C’est une scène comique grâce à l’utilisation de la farce et du contraste entre les répliques des différents personnages. Nous allons maintenant analyser la satire sociale. 3ème partie : Au 17ème siècle les portraits étaient fort apprécie, ils permettaient la peinture des mœurs et l’analyse psychologique. 1ère sous-partie : Les personnages, libérés des valeurs morales traditionnelles, entrent en

étrange dans la mesure où Baudelaire identifie le paysage à Marie. Le vers 6 « Au pays qui te ressemble » fonde à la fois la démarche du rêve et l’emprise de Marie sur le poète. L’ambivalence des termes utilisés dans cette première strophe mérite une analyse. 1. Tout d’abord Marie est caractérisée par une seule partie de son visage : les yeux. Aucun autre élément corporel n’intervient dans le poème. Cette synecdoque montre la volonté du poète de réduire Marie à sa vision. Il s’agit de voir ensemble

irréguliers amplifient sur la douleur de l’amour déçu dans un sentiment de honte et d’épouvante. La strophe 21 (vers 121 à 134) nous amène gare Saint Lazare ou l’auteur se fait sociologue : il observe les émigrants à peine arrivés et en donne une analyse qui dépasse la scène vue. Strophe 22 (vers 135 et 136) : le poète sociologue se mêle à des crapules et des malheureux. La strophe 23, constituée du seul vers 137, joue sur le contraste du changement brutal de décor. Strophe 24 (vers 138 et 139)

« ZONE » Analyse linéaire Introduction « Zone » est le poème d’ouverture du recueil Alcools (1913). Pourtant, un des textes qui a été écrit en dernier. Poète a voulu lui donner une place importante. Poème liminaire → souvent celui en effet qui annonce grandes thématiques de l’œuvre on appelle cela un « art poétique ». Titre du poème : évocation de la ville, « zone » appartient au vocabulaire urbain. Thématique assez récente dans la poésie et jugée moderne + idée de l’errance, de la déambulation

morale cynique c’est qu’il se croit sans témoin et tombe ainsi le masque. Or, sa proie est cachée sous la table et écoute cette morale cynique. Les propos de Tartuffe parodient en la détournant la casuistique des jésuites qui consistait à analyser la gravité d’un péché au cas par cas, en tenant compte d’éventuelles circonstances atténuantes. Par exemple, il pouvait exister des mensonges excusables. Mais ici, les propos de Tartuffe sont proprement scandaleux : le rapprochement à la rime de

phrases exclamatives (ponctuation expressive), impératifs, phrases nominales, interpellations, puissance et clarté de la forme retenue (trois dizains d’octosyllabes): le poète comme orateur lyrique o anaphores, présentatifs, antéposition, rejets, diérèses, juxtaposition et parallélisme syntaxique, coupes audacieuses de l’octosyllabe (2-6, voire 3-5) pour traduire la fougue lyrique : perpétuels effets d’accentuation, de reprise pour relancer le souffle et marteler la singularité sacrée, le caractère

qui ont précédé. Nous pouvons aussi comparer cette extrait du 10eme chapitre avec le tableau intitulé ,, Le voyageur’’ par Friedrich. *(LECTURE CURSIVE) * D’après cet extrait, on peut observer trois plans qu’on peut analyser : le décor, le combat et l’allégorie. Tout d’abord, on peut comparer la nature qui environne Julien a son propre destin. On découvre un style particulière par la préposition, ,,et’’ qui nous aide à prendre la même haleine que Julien. Ce premier